@ Sisyphe
Vous vitupérez, mais vous ne répondez pas à ma question : comment, CONCRETEMENT, vous imposez ces règles sur le plan international. Expliquez-nous. Le verbe "devoir" que vous utilisez comme la panacée n’est pas un programme politique satisfaisant, surtout lorsque vous prenez en compte les contraintes de l’organisation internaitonale. "Le système doit être régulé par des lois ; point barre." : je trouve cela bien court comme réponse. Tout le reste n’est qu’accusations et anathèmes non fondés.
Je n’ai jamais prôné l’anarchie internationale, mais je doute de l’efficacité de mesures que vous appelez de vos voeux. Il est très différent d’imposer un cadre législatif dans une nation ou à la communauté internationale. La "loi" comme vous la dénommez, est votée au sein d’un pays : il n’y a pas de Parlement international, je vous le rappelle. Je ne fait que constater, je ne cautionne pas.
En prétendant que je défends à un quelconque moment les salauderies de certains financiers vous extrapolez, purement et simplement : cela n’appelle aucune réponse. Pour que les choses soient claires : je n’ai jamais misé un euro en bourse, jamais acheté une quelconque action, et je n’ai aucune fortune personnelle.
J’accuse CERTAINS hommes, oui, pas vous ? Ne voyez-vous que le système en cause ? Alors détaillez-nous précisément celui que vous voulez y substituer. Et que ce ne soit pas une resucée du communisme, siouplaît, l’humanité a déjà donné...
Vous voudriez "m’empêcher de nuire", dites-vous ? Ce qui vous gêne c’est que je puisse exprimer des opinions que vous semblez ne même pas englober, au regard de vos remarques. Alors réclamez explicitement la censure, le traitement inégal selon qu’on soit d’accord ou pas avec vous... J’espère que vous n’accèderez jamais au pouvoir ! Sinon, nous aurions du souci à nous faire pour nos libertés publiques.