@ mako, je suis en accord avec vous pour dire que la circulaire Royal concernant la pédophilie est une grave erreur ; dangereuse ; et inéfficace.Une sorte de bombardement massif sur une population innocente pour atteintre un ou deux "terroristes" qui y seraient cachés.
Le problème cependant c’est qu’il y a bien -bien entendu- quelques pédophiles à l’Ecole de la République. Comment n’y en aurait-il pas ? comme dans toutes les professions qui amènent à être au contact des enfants ? Tout autant parmi les hommes d’Eglise. Le problème c’est que l’institution Eglise comme l’institution EN ici, fort embarrassée par cette rélité gênante a préféré, a choisi pendant des décennies le SILENCE, l’occultation, le déni et donc choisi de défendre son image plutôt que la victime (l’enfant), de défendre "les siens’ fussent-ils criminels, plutôt que l’enfant victime. Le vrai coupable c’est l’esprit (le réflexe ?) de corps, LE CORPORATISME de l’EN. (comme celui des Eglises) Pendant des décennies lorsque un instit "dérapait" au point que des parents risquaient de faire des vagues, les collègues se taisaient, et la hiérarchie étouffait l’affaire en mutant le coupable dans une autre école ! (Avec bien entendu l’accord des syndicats si non l’exigence) Mais comme l’évolution des sensibilités au problème de la pédophilie amenait les parents à ne plus être dépendants de l’Autorité de l’Institution mais que le corporatisme de celle-ci ne diminuait pas, cela devint un problème politique : Mme Royal commit alors sa calamiteuse circulaire et provoqua une réaction de rejet justifié sans que la calamiteuse culture corporatiste de l’EN en fut affaiblie mais bien au contraire en fut renforcée. Hélas, deux fois hélas !