Le système de création et de gestion monétaire est le nœud gordien du système capitaliste qui étouffe le monde.
Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés.
— David Rockefeller, s’adressant à la Commission Trilatérale, 1991
Tout est dit NON ???
Et enfin www.simpol.org pour tenter de pallier à la réponse classique de perte de compétitivité propre au système qui voit en l’expression des intérêts individuels égoïste la satisfaction de l’intérêt collectif… Ah bon ? Quid des multiples crises économico-financières ? d’une misère mondiale grandissante ? d’inégalités sociales et culturelles croissantes ? d’une dégradation environnementale incontestable ? Quid de tout l’attirail financier, matériel et humain nécessaire pour corriger les dérives d’un système aussi abject qu’hypocrite ? Quid des guerres, du narcotrafic, de la traite d’êtres humains ?
Il nous faut donc délégitimer le dogme néolibéral (sommes d’intérêts égoïste = collectivement bon) mais aussi reconsidérer la richesse dont la comptabilité est bien plus fondée sur l’économie du mal-être que celle du bien-être [Patrick VIVERET http://ploutopia.over-blog.com/article-21609206.html]
Ne cherchez plus les causes de la misère ou des dégradations environnementales… elles font partie intégrante de notre monnaie, celle que nous utilisons tous, tous les jours, celle qui régit chaque jour un peu plus nos vies comme du papier à musique, celle qui est au cœur de toutes les passions et de toutes les guerres. Tant que l’homme ne changera pas sa relation à l’argent, au monde et aux autres, rien ne changera et ça ne fera qu’empirer puisque, jusqu’à preuve du contraire, nous vivons sur une planète finie. Le mensonge du crédit, de la délocalisation et de la croissance se heurte tôt ou tard aux limites temporelles et spatiales incompressibles de notre monde. Le XXIème siècle sera spirituel ou ne sera pas… Moins de biens plus de liens… L’avenir sera immatériel ou ne sera pas…