Vous répétez comme un perroquet les discours pontifiants des chantres d’un art qui ne peut s’imposer qu’à travers un discours abscon.
Pourquoi Picasso est-il devenu la coqueluche des ventes : par-ce qu’il avait une production suffisemment importante pour que sa cote ait un intérêt. Tellement importante qu’il était lui-même incapable de reconnaître ses propres tableaux parmi les copies des faussaires.
Il a peint pour gagner de l’argent et il a lui-même reconnu en avoir eu honte mais celà n’a pas été suffisant pour faire baisser sa cote, il y a trop d’argent en jeu !
Et c’est moi que vous accusez de "répéter comme un perroquet les discours gnagnagna..." 
Quand vous colportez, juste un peu plus bas des énormités de racontards foireux qui ne correspondent à rien.
Ainsi Picasso serait devenu la coqueluche des ventes "parce qu’il avait une production suffisamment importante pour que sa côte ait un intérêt"
Ce charabia ne veut strictement rien dire ; la côte d’un peintre n’ayant strictement rien à voir avec sa production ; sinon, Leonard de Vinci ne vaudrait pas un kopeck ! 
"Incapable de reconnaître ses propres tableaux"
Je vous conseille d’amener un faux Picasso pour expertise au Comité Picasso, et vous aurez une réponse instantanée. Vous confondez peut-être avec Dali ; renseignez vous.
"Il a peint pour gagner de l’argent et il a lui-même reconnu en avoir honte"
Vous serez aimable de me citer vos sources, pour de telles âneries...
Je vais vous dire un truc, Radix ; j’ai la prétention de m’y connaître un tout petit peu en peinture : j’ai un frère peintre, j’ai organisé des expositions de peinture, j’ai fait de la vente de tableaux, j’ai fait 7 films sur 7 peintres latino-américains, et je suis, toujours actuellement, agent d’un peintre.
Alors, vous comprendrez bien que vos colportages de ragots, et vos fausses idées préconçues sur l’art ne sont pas de nature à entretenir un dialogue productif entre nous.
Je vous le répète une dernière fois ; parlez de vous-même, de ce que vous aimez, n’aimez pas, mais ne vous targuez pas de parler de peinture, ni surtout de Picasso ; vous ne faites que vous discréditer auprès de ceux qui connaissent un tant soit peu l’art.