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Commentaire de Paul Villach

sur De l'art d'avouer les violences scolaires en les niant


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Paul Villach Paul Villach 13 octobre 2006 20:43

Oui, il existe un folklore scolaire qui a fait les délices de bien des auteurs et surtout de leurs lecteurs qui aimaient retrouver leur adolescence dans les espiègleries racontées, les tours pendables...« On n’était pas des anges, » aime dire à ses petits- enfants le grand-père, surtout s’il était un élève timide !

Oui, les médias aujourd’hui parlent des violences scolaires, parce que, pour une partie d’entre eux, le voyeurisme est le meilleur réflexe à stimuler pour vendre.

On peut sourire. Après tout, rien ne change sous le soleil...

Et pourtant si ! Quand une jeune professeur prend en classe sept coups de couteau, comme Karen Montet-Toutain, (qui n’est pas la première, c’est vrai : cf. l’affaire du collège « Les Fontanilles » à Castelnaudary , le 25 mai 1993) et surtout quand on mesure que c’est l’aboutissement de démissions successives, l’ironie n’est plus de mise, à moins de jouer les cyniques. Paul Villach


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