@ l’auteur
J’ai du mal à comprendre la logique que vous développez
Qu’on cherche à privatiser et à déréguler pour pouvoir faire du profit sans entraves, c’est logique, ça se tient.
Mais qu’ "on" (là, quelques précisions sur ce "on" seront les bienvenues) livre l’école publique au chaos de la délinquance, comme vous le dites, serait donc une action délibérée, destinée à détourner le public de l’enseignement public, et ce au profit du privé.
C’est bien ça ? Ou alors je n’ai rien compris, pas lu jusqu’à la fin encore une fois ?
Donc là, c’est le service public qui se saborde ?
Moi ça m’épate. J’avais cru remarquer qu’il y a surtout des directeurs d’école qui font leur boulot en veillant à ce qu’on vienne dans leur école pour travailler et pas autre chose. Et puis d’autres directeurs qui veulent surtout pas d’ennuis et sur lesquels il faut surtout pas compter pour faire régner l’ordre.
Là, c’est pas un problème de respect de règles mais de volonté de les appliquer.
Mais je ne suis pas de l’E.N. et je ne connais pas les critères de désignation des directeurs d’établissement. Y’a des gens qui disent qu’on choisit pour ça des types qui font pas d’emmerdes au syndicat. Mais ça doit être des mauvaises langues, hein ?