Même si le fond de l’histoire est juste, tout ce texte sent le populisme de bas étage. J’ai fait l’effort de lire ce très long billet, espérant cette fois ci que l’auteur allait nous gratifier d’une réflexion au niveau de ce qu’il affiche sur son CV. Mais la déception fut une nouvelle fois au rendez vous. Et puis soudain, j’ai compris. Après avoir été largement contesté dans son dernier billet, l’auteur a choisi une démarche susceptible de mieux convenir à la satisfaction de son égo, et en surfant sur la colère légitime des citoyens, il espère ainsi rétablir sa crédibilité de penseur, scientifique, philosophe, sociologue, historien (je n’invente rien, tout cela est dans sa description). Mais surtout il avait des comptes à régler. Je cite :
"Toute cette comédie est vieille comme le genre humain dépeint par Molière et Balzac. Mieux vaut en rire, surtout à lire les commentaires des internautes et leur promptitude à ricaner des solutions alternatives, tout en gardant le sérieux affecté face aux mesures décidées, feignant de ne pas être cocus, trompés par leur propre vénalité ou alors leurs croyances formatées. "
L’auteur continue ses insultes. D’abrutis (selon ses propres termes) les gens qui ne voient pas d’intérêt à sa prose deviennent des cocus aux croyances formatées ! Bigre pourquoi tant de haine. En réalité, il n’a toujours pas digéré que certains se moquent des son "Plan monéthique", le vilain rancunier.
Bon, allez sans rancune Monsieur Dugué. Sachez que je n’accorde pas plus de crédibilité aux gesticulations actuelles de nos politiques et autres experts, qu’à vos dérisoires petits billets. Bien que, pour être tout à fait honnête, cela commence à m’amuser.