Finalement, je continue sur ma lancée :
La discrimination au niveau scolaire puis à l’embauche les cantonne à des emplois sublaternes, précaires et mal payés, avec impact direct sur la qualité de vie, et ils se retrouvent de ce fait parqués dans les désormais célèbres "cités", où leurs enfants apprennent très tôt la délinquance entrainé par le désespoir. C’est là que s’amorce le cycle de la haine. Il est frappant de remarquer que chez les immigrés de première génération, le "racisme anti-blanc" n’existe tout simpement pas.
Et là, je parle de ceux qui sont français. Parce que les immigrés (légaux) sont soumis à toute sorte de tracasserie administrative, carte de séjour, difficulté pour franchir une frontière, suspicions de mariage blanc, etc.
Mais il y a pire dans le malheur : les immigrés clandestins, dont le seul crime est de vouloir éechapper à la misère de leur pays, sont eux chassés comme du gibier, de nos jours. On les traque quand ils attendent leurs enfants devant les écoles, ou on les convoque en préfecture sous des prétextes bidons, et ils sont alors arrêtés, parqués dans des camps qui sont la honte de notre pays (batîments en préfabriqués mal chauffés et trop petit, où on parque hommes, femmes, enfants et vieillards) et expulsés avec une telle brutalité qu’on a cessé de compter le nombre de fois où des passagers ordinaires parfaitement étrangers à l’histoire se sont interposés (pour leur malheur, évidemment). Certains expulsés n’ont pas survécu au processus d’expulsion. D’autres, à qui on avait refusé le statut de réfugié politique (désormais une pure fiction, en France) ont été abattu dès leur retour.
Voila un petit panorama de la Grandeur de la France