@Traroth
"Ils ont un accès beaucoup plus restreint à un enseignement de qualité, et c’est vrai quel que soit le niveau d’étude. Ils sont notoirement sous-représentés dans l’enseignement supérieur, et en partlculier dans les grandes écoles. "
Pas d’accord.
Cet accès à l’enseignement c’est eux même qui s’en coupent.
Lorsque les mères ne peuvent pas apprendre le francais pour des raisons moyen-ageuses, elles peuvent difficilement aider leurs enfants dans la pratique.
Lorsque l’on se présente à une soutenance (enseignement supérieur) en jogging, on n’accuse pas les profs de partialité.
Lorsque l’on répond au prof "qui parle avec sa bouche" (ce qui nous rassure sur le caractère non extra-terrestre du prof) on ne s’étonne pas d’être viré du cours.
Lorsqu’on à treize ans et qu’on à pas le droit de manger lorsque le soleil est levé pendant un mois on est pas en état de suivre les cours.
Lorsqu’on à treize et qu’on se lève avant l’aube pour déjeuner et que l’on se couche après avoir diner et après le coucher du soleil, on est pas en état de suivre les cours.
En refusant nos codes, ils s’excluent eux même du système.
C’est tout bête.
"Les testings organisés par différentes associations montrent de plus une discrimination à tous les niveaux. Ca va de l’anecdotique (boite de nuit) au grave (embauche). "
En ce qui concerne les boites de nuits il faut voir les "lourdingues" et leur méthode de drague pour comprendre : non seulement ils ne comprennent pas quand ils se font remballer et insistent méchament. Mais si en plus la fille repart avec un autre grosier le lourding veut se battre à la sortie. C’est chiant.
La discrimination c’est dégueulasse. Mais quand on sème le vent...