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Commentaire de Nobody knows me

sur La Marseillaise sifflée, un nouvel exemple du malaise communautaire


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Nobody knows me Nobody knows me 16 octobre 2008 10:40

mais ceux qui s’en disent victimes oublient trop souvent qu’ils sont responsables du comportement qu’ils choisissent d’adopter.

Bonjour, je n’excuse toutefois pas le vandalisme gratuit. Ce que je voulais dire, c’est que j’ai l’impression qu’on est entré dans un cercle vicieux où les gens se plaignent de ne pas voir les locaux entretenus alors qu’une partie de branleurs empêche l’entretien ou détruit de nouveau et de façon quasi-systématique. Cependant, après les années fastes de l’industrie, de nombreuses banlieues ont été délaissées pendant un moment. Si on a repris la barre par la suite, c’était probablement trop tard.

Je me souviens tout de même d’un reportage sur Otis qui avait fait une fausse prestation dans un immeuble avec une soi-disant cliente qui était en fait une employée. Par la suite, appel de la société pour un HLM en banlieue, réactivité nulle. Le technicien vient regarder et se barre sans rien faire. Cela est parfois dû au peu de liberté d’action des techniciens ou sous-traitants, qui ne peuvent pas faire grand chose pour réparer s’ils n’ont pas pour mission de le faire. Cependant, Otis est un cas particulier. Notre ascenseur est géré par eux et leur prestation est pitoyable.


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