par sheeldon (IP:xxx.x34.76.166) le 16 octobre 2008 à 10H52 							
							
															
							 								
mettre jean ziegler dans le meme sac que nicolas hulot .......
il y en a un qui travaille pour tf1 (bouygue l’écologique c’est bien connu ) et qui est sponsorisé par rhone poulenc et l’autre qui travaillait a l’onu et qui écrit des livres tels que "les nouveaux maitres du monde , ou la suisse lave plus blanc (de mémoire ) .
autant je trouve que jean ziegler est respectable et passionant meme si comme pour stiglitz ou amartya sen je ne suis pas d’accord avec leurs solutions pour changer ce système , autant le bouffon de bouygue me fait pitié !
Et d’une, je n’ai pas mis jean Ziegler et Nicolas Hulot "dans le même sac" ; j’ai rapproché leur travail de sensibilisation aux problèmes posés par l’écologie, la croissance, la pollution, l’injuste redistribution des richesses.
Tout le monde sait très bien faire la différence ; il est clair que le travail de Jean Ziegler est, de loin, plus important, que la campagne médiatique menée par Nicolas Hulot ...
Mais qui connaît Jean Ziegler ? A quel point est-il médiatisé, pour permettre de sensibiliser les citoyens ordinaires aux problèmes qui se posent ?
Je dis, simplement, que, dans ce travail de sensibilisation, toutes les contributions sont bonnes à prendre ; celle de Nicolas Hulot, comme d’autres. Et le mauvais procès d’intention fait à Nicolas Hulot, sur ses "employeurs" est hors de propos.
Oui, il produit ses émissions sur TF1 ; tant mieux, si ça permêt de toucher le maximum de gens.
Se servir de l’argent des "pollueurs", pour sensibiliser contre la pollution est, je trouve, une excellente chose, stratégiquement parlant.
Maintenant, le jugement que vous pouvez porter sur Hulot, ou Al Gore n’engage que vous ; pour moi, il m’est totalement indifférent ; l’important n’étant pas de porter un jugement subjectif sur tel ou tel, mais de les juger à l’aune de leur contribution à l’avancée du nécessaire combat pour la préservation des ressources naturelles, du vivant, la diminution des sources de pollution, une croissance ralentie et différente, et une plus juste redistribution des richesses ; c’est tout.