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Commentaire de Le chien qui danse

sur Philosophie de la crise financière... et question sur notre civilisation


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Le chien qui danse 18 octobre 2008 20:58

La solution nous l’avons dans la république, liberté égalité fraternité.
Le régime hitlerien à voulu prouver que les hommes étaient inégaux, hiérarchisation des "races", dégringolade finale.
Le Stalinisme à voulu prouver qu’il n’y a pas de transcendance, pas de lien entre les hommes aux delà des hommes, pas d’unité, pas de fraternité que des pions au service du pouvoir central, patatras final.
Le buschisme à voulu prouver que les hommes sont libre, que l’on peut s’affranchir des lois naturelles en fait qu’il n’y a pas d’économie du réel n’hésitant pas à mettre au pli le reste du monde, et bling bling bling bling bling jusqu’au bas de l’échelle c’est là qu’il nous aura amené.

Alors, la solution c’est le respect des trois valeurs dans la gratuité, l’argent n’est plus nécessaire, il est dépassé, la preuve il est complètement virtuel à 98% et ne correspond plus en rien aux réalité du monde des peuples, il ne peut plus produire d’évolution il est devenu une entrave au développement.

Si nous voulons vivre dans un monde viable il faudra juste se lever gratuitement le matin pour le construire, si on ne veut pas il ne se fera rien, les banques et les bourses ne résoudrons rien.

Nous avons de l’intelligence, du génie même, il ne nous manque plus que la gratuité du don et alors on fera des merveilles......quand on aura viré les chacals car , sans illusion, ils ne se virerons pas tout seul. la gratuité c’est plus de crimes, plus de guerre, plus d’injustices et j’invite nos brillants économistes citoyens à se pencher sur la compléxité d’une économie gratuite, une économie du réel ça serait utile....

Peut-être cette crise ne sera qu’un soubressaut de plus, plus intense que les autres. Mais la cupidité et le mésamour ne peuvent emmener l’humanité alors qu’apparemment nous sommes encore là pour longtemps, à moins qu’on décide d’en finir, pour de nouvelles aventures...

La crise du sens arrivera un jour ou l’autre, peut-être aujourd’hui, surement demain.


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