Si ce Monsieur, aux propos certes raides d’équerre, avait été un philosophe, il ne se serait pas laissé intimider et n’aurait pas modifié sa vie quotidienne d’un iota, laissant le soin à la racaille de faire très éventuellement le sale boulot.
Car je ne sache pas qu’un philosophe ait peur de la mort.
Et comment se fait-il qu’écrivant un article sur les intimidations diverses et variées, il se laisse lui-même intimider ?
Mais voilà, bien que son écrit soit magnifique, même s’il est orienté et donc spéculatif, il n’est qu’un « professeur de philosophie », ce qui n’a rien à voir avec « philosophe ».
Il a une petite vie de famille et un salaire étatique assuré. Bref, il n’est pas plus que le vulgus pecus qui vit dans le supermarché de la trouille.
D’autre part, étant donné que si tout le monde porte l’étoile jaune, personne ne porte l’étoile jaune, je m’étonne qu’en France il n’y ait une multiplication généralisée des critiques de l’Islam tant par les livres que par les spectacles.
Car se laisser intimider revient à donner raison aux terroristes.
Qu’en France, un journal soit assigné en correctionnelle pour avoir publié des caricatures de Mahomet, est une véritable aberration car l’interdiction de ne pas caricaturer ce prophète pédocriminel - déflorer à 54 ans une fillette de 9 ans me permet d’employer ce mot puisque c’est ainsi que nous qualifions aujourd’hui ce genre d’infâmes libidineux - ne concerne que les musulmans et non les autres.
À aucun moment, nous n’avons à nous plier aux injonctions islamiques qui ne nous concernent pas.
Il faudra bien qu’on en finisse avec tout ça et que la peur change de côté.
C’est de toute façon ce qui va arriver, notre patience aura fatalement des limites.
À bientôt
Gilles