Commentaire de Le péripate
sur Lundi à quinze milliards, mardi dans le brouillard
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Ca me glisse dessus comme l’eau sur le plumage d’un canard. Mieux, je ne me sens, en fait, même pas insulté, mais j’ai plutôt un peu de pitié pour l’indigence de l’argumentation. Surtout quand ça vient de quelqu’un qui flirte dangereusement avec des thèses violentes, para-fascistes, elles, pour le coup. C’est très difficile de lutter à la fois contre le mensonge, et la violence.
Derniers commentaires
-
22/10 11:08 - Serge
Sur la crise nos idéologues et autres porte-étendards du capitalisme n’ayant rien à dire (...)
-
22/10 00:40 - Le péripate
Ca me glisse dessus comme l’eau sur le plumage d’un canard. Mieux, je ne me sens, (...)
-
21/10 23:32 - wesson
@Frederic Lyon "Seriez-vous des ingrats ?" ça, vous êtes allé le piquer dans un (...)
-
21/10 23:01 - Le péripate
Ce n’est pas bien, certes. Mais j’ai essayé de vivre ma véritable nature de (...)
-
21/10 22:10 - Le péripate
C’est que tu vas faire avec tes impôts, nos impôts. T’es content, j’espère, (...)
-
21/10 20:37 - ZEN
"les banques n’en peuvent plus" Pauvres banques, aidons-les (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération