@ L’auteur,
En effet, Suzanne Vega avait quelque peu disparu de la circulation depuis ses tubes de la fin des 80’s. Je l’avais revu lors d’un petit concert à Toronto en 2002 ou 2003 que j’avais énormément apprécié, avec ce côté toujours très intime et acoustique de sa musique. Votre narration donne envie d’écouter le récent album... 
Entretemps, je me suis acoquiné avec la remarquable Beth Orton,
un tantinet inspirée par Suzanne Vega, mais avec une instrumentation souvent mais pas toujours légèrement plus musclée et une voix plus tendue et un soupçon plus rauque (Trailer Park, Central Reservation, Daybreaker, Comfort of Strangers). Elle fit d’ailleurs un très beau concert dans une fameuse salle du XVIIème à Paris Pigalle dont j’ai oublié le nom (trou de mémoire), avec Kathryn Williams en 1ère partie, également très acoustique.
Je signale que dans la pop-rock indé joué par la gente féminine, Vega a eu presque autant d’influence que Curtis Mayfield dans la soul.
Cordialement 
PS : Essayez White Chalk de PJ Harvey, qui réussit à enchanter le mélomane avec un piano presque désaccordé sorti d’un grenier. Sensuel, romantique un douceret vénéneux...