Précision clinique : l’article repose sur le postulat implicite (il était même EXPLICITE dans une première version du titre, heureusement corrigé !) qu’une personne se suicide en fonction d’événements CONJONCTURELS : certes, ils peuvent en être le CATALYSEUR, mais les RACINES PROFONDES d’un tel acte sont bien plus lointaines : des dizaines d’années, voire... plusieurs générations, dont chacune transmet cette quasi injonction à prendre congé.
De plus, les décisions de suicide correspondent à des systèmes "d’hystérisation" : le scénario qui "passe pour insupportable" ne l’est que parce qu’il fait écho, dans la fantasmatique de la personne, ANALOGIQUEMENT, à une autre situation "non traitée", qui n’apparaît qu’après transformations complexes (déplacement / condensation / symbolisation).
Il est donc NON-JUSTE (au triple sens de l’exactitude, de la musique et de la Loi !) de corréler une situation Institutionnelle & une telle décision.
Seule l’Histoire personnelle de cette dame -inconnue, et dont nous n’avons pas à connaître !- peut, si quelqu’un s’en donne la peine, montrer les ANALOGIES, les métonymies subtiles (manque de "narcissisation" archaïque sinon dans le domaine Performatif ? destin familial des Femmes ? etc...,la Clinique nous dit une bonne douzaine d’hypothèses......)
Bref, de la prudence !!!!