Forcément il manque des références, c’est un article d’aurélien, un gars qui nous a déjà largement démontré sur le blog "Imposteurs" qu’il ne comprend rien aux OGM. Les gènes introduits dans les OGM actuellement commercilaisés ne codent que pour une protéine car ce sont des gènes bactériens et par conséqunet ils ne font pas d’épissage alternatif (gène codeant pour l’EPSP ou les gènes codant pour les protéines bt). De la même manière il nous parle des méthodes classiques d’améliorations variétales faisant appel à la mutagenèse chimique (EMS) ou physque (rayon gamma ou rayon X) en disant qu’elles sont marginales. C’est complètement faux. Pourtant c’est indiqué dans le cite mis en lien, ça fait plus de 80 ans que cette techniques est utilisée et les conséquences sur les mofications des génomes sont bien plus importantes que la transgenèse par insertion de T-DNA, il n’y a d’ailleurs rien de surprenant à cela. Ces méthodes d’améliorations variétales sont soutenues par des programmes de la FAO et il y a déjà plus de 2700 variétés issues de ces méthodes de mutagenèse qui ont été mises sur le marché (sans le moindre test de toxicité contrairement aux OGM). L’exemple classique étant celui des clémentines sans pépin, résultat d’une mutagenèse par irradiation ftp://ftp.fao.org/docrep/fao/006/x6732f/x6732f04.pdf. Ces méthodes sont très différentes de celle de la transgenèse puisque le nombre de mutations introduites est très élevé (plusieurs centaines pour la mutagenèse chimique). Alors vous pensez bien, qu’à côté, introduire un ADN-T dans un génome ce n’est pas la fin du monde. Vous devriez aussi lire ceci ça vous donnera un petit historique de la modification des génomes des plantes que l’on mange. Ou laors visionner cette conférence donnée par Michel Caboche, c’est assez instructif.