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GFP

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  • GFP 30 octobre 2008 13:16

    message 3 :

    "Cela dit les modifications de protéines elles-mêmes ne résultent pas uniquement d’un phénomène d’épissage alternatif tels qu’évoqué par GFP"

    ... hé oui, il y a aussi la phosphorylation, la prénylation, la glycosylation, l’ubiquitination et bien d’autres... Bien entendu toutes ces modifications potentielles sont testées pour la protéine exprimée par le transgène (voir votre référence vers le blog "Imposteurs")
     



  • GFP 30 octobre 2008 13:15

    message 2 :

    "Ce que pointe GFP est l’utilisation de gènes bactériens qui permettent d’éviter l’épissage alternatif"
    Et quand bien même de l’épissage alternatif aurait lieu avec un gène eucaryote comportant des introns il est très facile par RT-PCR d’en détecter les différents variants... et si l’on ne veut exprimer qu’une seule protéine à partir d’un gène qui comporte des introns on clone et on utilise son cDNA... et le "problème" est résolu. Des concepts qui vous échappent surement.

    "A ma connaissance, l’industrie agrogénétique est loin de vouloir se contenter d’utiliser des gènes bactériens". Pour ce point ça rejoint ma phrase précédente. La plupart du temps on utilise le cDNA et aisni on ne s’embarrasse pas de "problèmes" d’épissage alternatif. Le biologiste moléculaire lors de la mise au point de la construction génétique qui sera introduite dans la plante sait ce qu’il fait.

    "Et étant donné les OGM actuellement commercialisés proposant aux consommateurs de manger des céréales arrosées d’herbicides". Aurélien vous oubliez de mentionner que les plantes non-OGM sont aussi traitées aux herbicides. Vous pourriez aussi préciser qu’en Amérique du Nord dès 1993 le société Dupont a commercialisé des variétés de soja résistantes aux sulfonylurées, les "STS soybean". Ces variétés, non-transgéniques, ont été obtenues par mutagenèses. Lors du boycott européen qui dès 1999 a restreint les exportations de soja OGM, les agriculteurs américains se sont tournés vers les variétés STS qui, malgré un bilan environnemental défavorable, leur apportait une plus value intéressante provoqués par l’attitude européenne. voir http://www.ogm.ch/. Vous devriez alors comparer "l’éco-bilan" du roundup comparé aux sulfonylurées. Il n’y a pas photo.

    "contenant à l’intérieur une toxine dont l’expression est instable au sein même de la plante (prouvé pour le coton Bt)" ... si c’est prouvé donnez nous des références SVP... et personnellement je ne mange pas de coton.



  • GFP 30 octobre 2008 13:14

    Aurélien, vous dites "Difficile de répondre à toute la désinformation présente sur internet sur les OGM". Tout à fait d’accord avec vous je pourrais y passer mes journées. Mes interventions ne sont pas pour faire de la propagande mais simplement pour rappeler des faits et rétablir la vérité que vous malmenez.

    Ensuite vous dites "GFP peut venir et essayer de faire de la rhétorique et jouer avec les mots". Je ne fais pas de réthorique mais je rappelle au lecteur que les gènes présents dans les OGM actuellement commercialisés ne codent que pour une protéine, en quoi cela serait-il faux ?

    "il est existe des méthodes de sélection fines"... mais je vous en prie, décrivélez en détail qu’on rigole.

    " je ferai remarquer que la FAO soutient en partie les OGM, sous la pression des industriels" ... mais où sont les références, des preuves s’il vous plait.

    "Le site Canal U est également un site gouvernemental dont on connaît la position sur la question"... trop drôle, et "anti-OGM" nous annonce la couleur dès le titre. D’ailleurs voosu le dites vous-même " Et notre position est le refus catégorique des OGM agricoles, complètement inutiles"... J’ajouetrai que s’ils sont complètement inutiles on se demande bien pourquoi les agriculterus sont si nombreux à en planter.

    "La preuve en est que vous ne trouverez aucune réflexion critique sur l’équivalence en substance, comme cet article, chez aucun de ces organismes proOGM". Forcément, pour analyser un OGM il n’y a pas mieux que de comparer avec son équivalent non-OGM. Avec quoi voulez-vous comparer un maïs OGM... une carotte bio ? C’est pas ma faute si vous aussi vous ne comprenez pas le principe de ces tests.



  • GFP 30 octobre 2008 10:00

    Forcément il manque des références, c’est un article d’aurélien, un gars qui nous a déjà largement démontré sur le blog "Imposteurs" qu’il ne comprend rien aux OGM. Les gènes introduits dans les OGM actuellement commercilaisés ne codent que pour une protéine car ce sont des gènes bactériens et par conséqunet ils ne font pas d’épissage alternatif (gène codeant pour l’EPSP ou les gènes codant pour les protéines bt). De la même manière il nous parle des méthodes classiques d’améliorations variétales faisant appel à la mutagenèse chimique (EMS) ou physque (rayon gamma ou rayon X) en disant qu’elles sont marginales. C’est complètement faux. Pourtant c’est indiqué dans le cite mis en lien, ça fait plus de 80 ans que cette techniques est utilisée et les conséquences sur les mofications des génomes sont bien plus importantes que la transgenèse par insertion de T-DNA, il n’y a d’ailleurs rien de surprenant à cela. Ces méthodes d’améliorations variétales sont soutenues par des programmes de la FAO et il y a déjà plus de 2700 variétés issues de ces méthodes de mutagenèse qui ont été mises sur le marché (sans le moindre test de toxicité contrairement aux OGM). L’exemple classique étant celui des clémentines sans pépin, résultat d’une mutagenèse par irradiation ftp://ftp.fao.org/docrep/fao/006/x6732f/x6732f04.pdf. Ces méthodes sont très différentes de celle de la transgenèse puisque le nombre de mutations introduites est très élevé (plusieurs centaines pour la mutagenèse chimique). Alors vous pensez bien, qu’à côté, introduire un ADN-T dans un génome ce n’est pas la fin du monde. Vous devriez aussi lire ceci ça vous donnera un petit historique de la modification des génomes des plantes que l’on mange. Ou laors visionner cette conférence donnée par Michel Caboche, c’est assez instructif.



  • GFP 30 octobre 2008 01:19

    Je ne suis pas agronome (simple biologiste moléculaire) mais je peux vous dire que la solution réside dans la transformation des plastes. Lors de la pollinisation les plastes ne sont pas transmis à la descendance par le pollen (hérédité maternelle). Un petit article sur la technique est en accès libre ici.
    Cordialement


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