"Loin de l’instrumentalisation de vrais-faux listings bancaires pour des règlements de comptes à la tête de l’Etat, l’affaire Clearstream conduit à celle des frégates de Taïwan : cinq milliards de francs de commissions occultes et six morts pour étouffer le scandale. On ne connaît toujours pas aujourd’hui la vérité."
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=9908
"En mission pour la DGSE Pour le général Imbot, il ne fait aucun doute que son fils Thierry, tombé du quatrième étage d’un immeuble parisien, détenait des informations sensibles dans l’affaire des frégates. Autre élément nouveau, René Imbot a révélé au juge Van Ruymbeke que son fils, le lendemain de sa mort, avait rendez-vous avec un mystérieux journaliste. Un « rendez-vous » que le magistrat cherche désormais à éclaircir."
La commission consultative du secret de la défense nationale a autorisé, jeudi 13 (2004) mai, la communication d’une partie des rapports de l’ancien officier de la DGSE, Thierry Imbot, mort dans des circonstances mystérieuses. Mais ces documents n’auraient aucun lien avec les détournements de fonds.Si la CCSDN a donné son feu vert à la levée du secret concernant une cinquantaine de rapports, elle a en revanche refusé de déclassifier les autres notes rédigées par Thierry Imbot, estimant que leur divulgation risquait de dévoiler certaines méthodes de travail des services secrets français. Les avis de la CCSDN étant consultatifs, c’est à la ministre de la défense, Michèle Alliot-Marie, de prendre la décision de déclassifier. Historiquement, les ministres ont toujours suivi les avis de la CCSDN.
http://leruisseau.iguane.org/spip.php?article627
http://www.agoravox.fr/print_article.php3?id_article=29460&format=print
http://clearstreamthefrenchcorruption.blogspot.com/