Qui a peur de Denis Robert ?
Le 16 octobre, Denis Robert était condamné trois fois pour diffamation à l’endroit de la banque luxembourgeoise Clearstream, devant la 11e chambre du tribunal de Paris. La Cour d’appel de Paris avait estimé que le journaliste avait diffamé Clearstream en l’accusant de blanchir de l’argent sale. Denis Robert avait réagi en vidéo à cette condamnation en assurant : "le combat continue !" Le 23 octobre, je vous proposais de lire un extrait du livre de Denis Robert, la Domination du monde, qui donnait des clés originales pour comprendre la crise. Le 29 octobre, Denis Robert répondait sur AgoraVox à Clearstream, suite à sa proposition de renoncer à ses actions en justice à condition qu’il reconnût ses erreurs et sa diffamation. Je vous propose aujourd’hui de lire la pétition qui vient d’être lancée en soutien à Denis Robert suite à la curieuse proposition de Clearstream, publiée dans Le Monde.

Une question reste sans réponse : comment est-il possible qu’au cœur d’une tourmente financière historique qui fait apparaître aux yeux des foules ébahies l’incompétence, l’irresponsabilité, la criminelle légèreté des dirigeants de toutes les banques du monde, ces hommes si importants qu’on voit courir à la porte des palais des Républiques pour mendier l’argent des contribuables, perdent leur temps et leur argent à tenter de museler un journaliste solitaire ?
Pour faire simple, rappelons que les chambres de compensation sont ces sociétés inventées par les banques pour simplifier et accélérer les transferts d’argent d¹une banque à une autre. Mais aussi les enregistrer. L’outil est pratique. Il a un grave inconvénient : il identifie, et mémorise toutes les transactions interbancaires à travers le monde. Si la majorité de ces mouvements d’argent sont légaux, beaucoup recouvrent des activités criminelles. Et énormément finissent leur course dans des paradis fiscaux, à l’abri des regards importuns. La vulnérabilité du système et l’accès à l’information financière passent par ces chambres de compensation internationales.
Il suffirait que les juges aient accès à cette mémoire informatique pour relever le cheminement de l’argent de la fraude et du crime organisé. Il suffirait que cette menace existe pour que les fraudeurs à l’impôt, mais aussi les trafiquants de drogue, d’armes et d’influence retirent leur argent des banques.
Et ça, les banquiers ne le supporteraient pas. Voilà ce que Denis Robert répète depuis plus de dix ans, à travers ses articles, ses livres et ses films. Il faut abattre ce type. Ils sont légion à s’y employer.
Pétition :
Les 50 premiers signataires :
Betty Mialet (éditrice). Isabelle Solal (éditrice). Christophe Alévêque (humoriste). Eric Landau (galeriste). Daniel Cohn-Bendit (homme politique). Lefred Thouron (dessinateur). Bernard Barrault (éditeur). Martin Messonnier (réalisateur). Lionel Duroy (écrivain). Diego Aranega (dessinateur). Fabienne Vonier (productrice). Francis Boespflug (producteur). Jacques A. Bertrand (écrivain). Blandine Grosjean (journaliste). Arnaud Montebourg (homme politique). Jean-François Didier (journaliste). Rémi Malingrey (illustrateur). Jean-François Diana (professeur université). Arnaud Baumann (photographe). Sébastien Balibar (physicien). Jean-Marcel Bouguereau (journaliste). Claude Sérillon (journaliste). Olivier Besancenot (homme politique). Bernard Barrault (éditeur). Christophe Nick (réalisateur). Florent Massot (éditeur). Guy Bedos (humoriste). Bertrand Tavernier (cinéaste). Pierre Siankowski (journaliste). Antoine de Caunes (réalisateur). Denis Labayle (écrivain). Philippe Ostermann (éditeur). Bruno Gaccio (auteur). Michel Embareck (écrivain). Florence Aubenas (journaliste). Yan Lindingre (dessinateur). Frédéric Bonnaud (journaliste). Benoît Delépine (Grolandais). Gérard Filoche (homme politique). Pierre Jolivet (cinéaste). Pierre Péan (journaliste). Régis Latouche (professeur université). Ariane Bouissou (journaliste). Dominique Gros (maire de Metz). Hervé Déplasse (producteur). Guy Seligmann (réalisateur). Didier Porte (humoriste). Francis Kuntz (Grolandais). Hervé Déplasse (producteur). Brigitte Secousse-Louit (commerçante). Pascal Lorent (journaliste).
Signez la pétition !
25 réactions à cet article
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Le texte de cette pétition révèle, avant tout, une profonde méconnaissance du fonctionnement du système bancaire international de la part de ses auteurs.
Les transactions entre banques sont toutes légales, à la connaissance des dites banques, et celles qui sont illégales, lorsqu’il y en a, sont cachées sous des prêtes-noms qui ne permettent pas de les repérer.
Par conséquent posséder les listings d’opérations en Chambre de Compensation ne servirait à rien si l’on ne connait pas l’existence et la nature du lien contractuel qui unit le prête-nom et le bénéficiaire.
Je rappelle :
- Que tout ceux qui voudront faire des transactions sous un prête-nom bénéficieront toujours de toutes les aides et coopérations dont ils auront besoin pour réaliser leurs opérations, partout dans le monde. Car il s’agira d’affaire privée, dont tout le monde comprendra qu’elles doivent le rester.
J’ai expliqué ici-même un schéma de montage qui est utilisé à l’occasion.
- Et que la plupart de ces opérations discrètes ne concernent ni le trafic de drogue, ni le trafic d’armes, dont les banques ne sont pas très friandes, car il y a suffisamment de gens qui veulent être couverts par le secret pour faire des transactions, à commencer par les Etats eux-mêmes, pour que les banques n’aient pas besoin d’aller démarcher la clientèle des traficants !
Pour ne citer qu’un exemple : Toutes les opérations de tous les services secrets dans le monde sont financées par l’intermédiaire de comptes bancaires logés dans des pays qui pratiquent le secret bancaire. Ces comptes sont eux-mêmes alimentés par les budgets publics de ces Etats de telle façon qu’on ne puisse pas déceler la provenance des fonds, car sinon, le secret ne serait pas gardé longtemps !
Tous ceux qui tentent de percer ces secrets à jour, se condamnent à fabriquer et produire des faux documents pour essayer de prouver leurs assertions, comme Mr Denis Robert s’en est aperçu, car les montages sont bien sûr faits de telle façon que des documents authentiques ne puissent pas porter le nom des bénificiaires réels des opérations, ni permettrent de les identifier de quelle que façon que ce soit.
Ceci est facile à comprendre pour tous ceux qui veulent bien ne pas prendre ceux qui réalisent ces opérations pour des cons !
Les autres sont condamnés pour diffamation, faux et usages de faux.
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Vous avez en partie raison toutefois...voici une "lettre ouverte au premier ministre JC Juncker" (par Jerôme Truquey)
"quelle est aujoud’hui la situation du Luxembourg ?
Pour ce qui est du secret bancaire, je partage votre avis qu’il n’a rien avoir avec la crise. Ce qui me dérange en revanche, ce sont les propos du député Lucien Thiel. En tant qu’ancien président de l’ABBL durant plusieurs années, il a en effet déclaré juste après le début de l’affaire du Liechtenstein, engageant toute la place "ce n’est pas notre devoir de contrôler si le contribuable a été honnête "(l’essentile 27.02.08) Partagez-vous son avis ?
Le problème crucial du Luxembourg est en réalité la permissivité, car selon moi un certain laxisme s’est substitué au pragmatisme. Il s’ensuit des mises en causes récurrentes du Luxembourg dans des affaires internationales. Sans prétendre à l’exhaustivité sur les preuves tangibles de cette permissivité, je me permets de vous poser quelques questions sur quelques observations dans les sources publiques et officielles :
1) est-il sain que des pseudo-professionnels continuent à pouvoir créer des sociétés en lien avec des juridictions contestées ( BVI, Sechelles, etc) sans être experts comptables ou réviseurs d’entreprises, c’est-à-dire sas être contrôlés par ces deux institutions ? La question n’est pas nouvelle :
(Je rappellerais les propos devant l’ALCOMFI de Jeannot Krecké il y a dix ans de "faire le ménage" dans les métiers de la comptabilité (Luxembourg finance, N° 28, 1998)
- Je rappellerais les propos plus récents de l’ancien président de l’OEC dans paperjam sur le même thème ( 17 sept 2004 et 20 mai 2005)
2) est-il sain que des sociétés des BVI ou autres juridictions exotiques puissent être commissaire de S.A ?
3) pourquoi est-ce si difficile au Luxembourg de mettre en place une "centrale des bilans" ou d’avoir un accès libre en ligne aux jugements de justice judiciaire ?
4) pourquoi la notion d’éthique est-elle absente du monde des affaires luxembourgeoises, à commencer par la RSE (responsabilité sociale des entreprises) telle qu’elle est mise en oeuvre au Luxembourg ? La RSE au Luxembourg est sans éthique, limitée à des opérations de prestige par sponsoring, ou dons : elle est une manière de réintégrer les externalités négatives des mauvais comportements.
5) pourquoi est-il si difficile au Luxembourg de mettre en oeuvre les recommandations du GRECO et de l’OCDE en matière de lutte contre la corruption ?
6) pourquoi la CSSF ne communiique-t-ele les détails sur les professionnels qui ont fauté ? Ses homologues, suisses et surtout anglais, le dont et cela a un effet assurément dissuasif.
7) pourquoi au Luxembourg des professionnels qui ont eu un mauvais comportement (abus de bien social par exemple) retrouvent-ils plus facilement une place quand ceux qui appellent à la rigueur de comportement sont frappés d’ostracisme ?
au bout du compte, à force d’avoir dénié ses dysfonctionnements, voire, de ne pas vouloir en parler, le Luxembourg aborde en position de faiblesse les mutations accélérées du monde.
Pour conclure le citerais votre déclaration faite lors de votre investiture (déclaration du 4 août 2004) "nous voulons rester ce que nous sommes ? Oui, nous voulons rester ce que nous sommes et pour cela, nous devons changer, nous adapter et évoluer. Le monde ne nous attend pas. Et nous ne devons pas attendre le mode. Nous devons aller à sa rencontre, autrement il nous écrase"
je crains que vous n’ayez aujourd’hui raison.
ainsi donc de nombreux événements viennent s’ajouter les uns aux autres...et Claerstream ne peut échapper à de nombreuses questions....qui ne lui sont guère posées évidemment... ! (peut-être que ...)
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Diffamer, c’est aussi laisser penser que Denis Robert est accusé de faux et usage de faux. Qui vous a soufflé cela ?
Visiblement vous n’avez lu aucun ouvrage de Denis Robert et vous faites un amalgame entre ses travaux et l’affaire du corbeau qui s’est vue baptisée assez vite affaire Clearstream.
imaginez les révélations que vous venez de faire. Les gens qui veulent faire des transactions discrètes utilisent des prête-noms. La belle affaire. Comment Denis Robert n’y a pas pensé en trois ans d’enquête !
La base des ouvrages de Denis Robert est fondée sur le fait qu’une centrale bancaire internationale (il y en a deux au monde), enregistre les milliers de flux journaliers qui s’opèrent entre la plupart des banques de la planète. Peu de gens savaient avant cette enquête journalistique qu’une transaction entre deux banques basées dans dans des paradis bancaires, fiscaux et judiciaires était enregistrée par une société quelques part dans un autre paradis bancaire. Les documents d’archives produits dans les livres et les films ne sont pas des faux et n’ont jamais été contestés par personne.
La deuxième révélation était de montrer que progressivement la clientèle de cette chambre de compensation a ouvert de plus en plus de comptes et de sous-comptes domiciliés dans tous les paradis judiciaires de la planète. Certaines banques ne disposaient que de sous comptes ne dépendant d’aucun compte principal dit publié. Quand on dit publié, cela signifie qu’il est publié au regard des autres clients de la firme. D’autre comptes n’appartenaient même pas à une banque et certains sont tout simplement des sociétés.
Une fois de plus des piles de vrais documents, des liste sur plusieurs années, jamais contestés dans les nombreuses procédures entamées par la firme et différentes banques.
Voilà dans les grandes lignes le contenu de ses ouvrages. C’est pas rien quand même.
L’utilisation de telles données aux mains de juges et informaticiens avertis peut permettre de visualiser certains flux et identifier une contre-partie, donc un prête nom, donc un client même si les valeurs ont fait virtuellement dix fois le tour de la terre.
tout système a sa faille.
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Vous me parlez des British Virgin islands et du Luxembourg, vous auriez pu me parler de Hong Kong et de la Chine, ou du Delaware et du Lichtenstein.
Figurez-vous que le Luxembourg, la Grande-Bretagne, et les USA, sont des pays souverains qui se moquent des problèmes de recouvrement des impôts que peut connaitre le fisc Français. Comme il y a peu de chance que des contribuables Luxembourgeois, Suisses, Anglais ou Américains se réfugient un jour en France pour échapper à leurs fiscs, l’Etat français n’ a pas de pouvoir de négociation.
Par conséquent il n’y a pas à sortir de cette vérité immuable :
Des personnes se réunissent tous les jours, quelque part dans le monde, pour mettre en place des transactions commerciales, qui impliquent des transferts de fonds.
Elles ne songeront pas à vous inviter pour participer à leur réunion et n’envisagent pas non plus de vous envoyer un compte rendu de leurs discussions.
Qu’est-ce que ceci peut bien vous faire ? En quoi celà vous concernent-il ?
Vous me dites qu’un tiers peut être lésé ? Car il aimerait effectuer un prêlèvement ? Comment va-t-il pouvoir s’y prendre à présent, alors qu’il ne peut plus attacher les contributeurs à un piquet comme des moutons afin de les avoir sous la main quand il a besoin de les tondre ?
Il a en effet un petit problème de contrôle, qui devient impossible. Même chose avec Internet qui ne peut pas être contrôlé par les Etats, car rien ne vous interdit d’ouvrir un compte chez un fournisseur d’accès hors de la juridiction de votre pays de résidence.
Le pouvoir de l’Etat repose sur son pouvoir de flicage et rien de plus. Il règne très largement par la contrainte, si la contrainte s’allège, tout le monde fiche le camp. On s’en aperçoit aujourd’hui.-
cette lettre d’un luxembourgeois à son premier ministre ne peut être contestée tout de même, elle est révélatrice d’une situation de profond malaise de la part de son auteur...qui n’est pas le seul à ressentir ce malaise.
..elle est parue dans "paperJam"
on peut "sous entendre" que des questions peuvent être posées à Clearstream notamment... ! -
@Fédéric Lyon,
En introduction, je serais très intéressé de pouvoir accéder ce que vous avez explicité : « un schéma de montage qui est utilisé à l’occasion. » (Apparemment il n’y a pas de lien ?)
Concernant votre commentaire, je relèverais les phrases suivantes avec lesquelles je suis globalement en accord :
« Les transactions entre banques sont toutes légales, à la connaissance des dites banques, et celles qui sont illégales, lorsqu’il y en a, sont cachées sous des prête-noms qui ne permettent pas de les repérer. »
« Que tout ceux qui voudront faire des transactions sous un prête-nom bénéficieront toujours de toutes les aides et coopérations dont ils auront besoin pour réaliser leurs opérations, partout dans le monde. »
« Pour ne citer qu’un exemple : Toutes les opérations de tous les services secrets dans le monde sont financées par l’intermédiaire de comptes bancaires logés dans des pays qui pratiquent le secret bancaire. Ces comptes sont eux-mêmes alimentés par les budgets publics de ces Etats de telle façon qu’on ne puisse pas déceler la provenance des fonds, car sinon, le secret ne serait pas gardé longtemps ! »
Cependant, vos affirmations concernant le fonctionnement « des systèmes bancaires », et plus particulièrement en ce qui concerne les chambres de compensation ne semblent pas tout à fait vérifiées ou approfondies. En effet :
Si effectivement, « les listings d’opérations en Chambre de Compensation ne servirait à rien si l’on ne connait pas l’existence et la nature du lien contractuel qui unit le prête-nom et le bénéficiaire ». Néanmoins un juge, disposant d’un listing de comptes numérotés (déclarés ou pas), dans le cadre d’une enquête pour des transactions illégales, serait certainement très intéressé de connaître la destination des mouvements de fonds réalisés (comme par exemple le n° de compte destinataire). La volonté de l’appel de Genève en est l’exemple criant.
D’autre part, vous affirmez que « les opérations de tous les services secrets dans le monde sont financées par l’intermédiaire de comptes bancaires logés dans des pays qui pratiquent le secret bancaire », peut-être, mais si c’est le cas, je vous rappelle que ces comptes sont obligatoirement enregistrés dans une chambre de compensation, et qu’au regard des statuts de ces chambres : ils sont illégaux (appelés comptes non déclarés). Seules les banques sont autorisées (et déclarées) à réaliser des transactions au sein de ces organismes, conforment au statut de ces sociétés qui initialement ont été « inventées (par les banques) pour simplifier et accélérer les transferts d’argent d¹une banque à une autre » et uniquement pour cela. Les comptes que vous évoquez, sont donc illégaux et susceptibles d’être contrôlés par des juges (ce qui n’est actuellement pas le cas).
Enfin, concernant votre affirmation : « Tous ceux qui tentent de percer ces secrets à jour, se condamnent à fabriquer et produire des faux documents pour essayer de prouver leurs assertions, comme Mr Denis Robert s’en est aperçu, car les montages sont bien sûr faits de telle façon que des documents authentiques ne puissent pas porter le nom des bénificiaires réels des opérations, ni permettrent de les identifier de quelle que façon que ce soit. ». Cette déclaration est une pure ineptie, car au sein d’une chambre de compensation, la transaction réalisée est garantie (principe de novation) par cette chambre. Elle est garant de la solvabilité du débiteur. Elle représente une transaction légale et reconnue par le code de la finance internationale, cette dernière ne peut donc pas être considérée comme faux, mais comme une preuve.
En résumé, pour un juge, le problème est pouvoir tracer le chemin des transactions illégales qu’il a détecté. Si il a accès aux données des chambres de compensation, son travail est alors facilité. Le problème qu’il rencontre alors, est définir une traçabilité lorsque les fonds atterrissent dans un paradis fiscal.
En définitive, cela aborde un autre sujet de réflexion, que Denis Robert a posé dans la conclusion de ces différents ouvrages, touchant à la nécessité de réfléchir sur la suppression des paradis fiscaux. Il a également mis en exergue, sur le plan économique, la possibilité de taxer les transactions bancaires, par la mise en place d’outil simple (voir enfantin).
Et c’est certainement ces clarifications qu’il a mis en avant, au pris d’un travail rigoureux, qui l’a conduit, aujourd’hui, aux gémonies.
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Effectivement, avec l’affaires des frégates, et le reste à venir...
http://www.politiquedevie.net/Mafia-democratie/ClearstreamChristianBasano181206.htm
http://ferraye.unblog.fr/2007/10/11/7 (jamais entendu parlé...)
Gloups...-
C’est drole cette logique. Le type est condamne mais sur Agoravox on croit qu’on veut le faire taire... Curieux quand meme.
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à sébastien
Curieux qu’on s’acharne sur une seul personne,non ? Mais, ça, à priori, ça ne vous gêne pas trop...
Par contre qu’un journal comme Le Monde prenne fait et cause pour Clearstream...c’est "logique" pour vous ?
http://www.acrimed.org/article2954.html
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Ce n’est pas a moi avec les infos dont je dispose de savoir ce qui est logique ou ce qui ne l’est pas. De meme, ce n’est pas a moi de prendre position dans un dossier dans lequel je n’y connais rien.
Si ce journaliste est condamne, c’est bien pour quelque chose. Faut arreter la parano un peu... -
"Loin de l’instrumentalisation de vrais-faux listings bancaires pour des règlements de comptes à la tête de l’Etat, l’affaire Clearstream conduit à celle des frégates de Taïwan : cinq milliards de francs de commissions occultes et six morts pour étouffer le scandale. On ne connaît toujours pas aujourd’hui la vérité."
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=9908
"En mission pour la DGSE Pour le général Imbot, il ne fait aucun doute que son fils Thierry, tombé du quatrième étage d’un immeuble parisien, détenait des informations sensibles dans l’affaire des frégates. Autre élément nouveau, René Imbot a révélé au juge Van Ruymbeke que son fils, le lendemain de sa mort, avait rendez-vous avec un mystérieux journaliste. Un « rendez-vous » que le magistrat cherche désormais à éclaircir."
La commission consultative du secret de la défense nationale a autorisé, jeudi 13 (2004) mai, la communication d’une partie des rapports de l’ancien officier de la DGSE, Thierry Imbot, mort dans des circonstances mystérieuses. Mais ces documents n’auraient aucun lien avec les détournements de fonds.Si la CCSDN a donné son feu vert à la levée du secret concernant une cinquantaine de rapports, elle a en revanche refusé de déclassifier les autres notes rédigées par Thierry Imbot, estimant que leur divulgation risquait de dévoiler certaines méthodes de travail des services secrets français. Les avis de la CCSDN étant consultatifs, c’est à la ministre de la défense, Michèle Alliot-Marie, de prendre la décision de déclassifier. Historiquement, les ministres ont toujours suivi les avis de la CCSDN.
http://leruisseau.iguane.org/spip.php?article627
http://www.agoravox.fr/print_article.php3?id_article=29460&format=print
http://clearstreamthefrenchcorruption.blogspot.com/
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De Millésime :
"cette lettre d’un luxembourgeois à son premier ministre ne peut être contestée tout de même, elle est révélatrice d’une situation de profond malaise de la part de son auteur...qui n’est pas le seul à ressentir ce malaise.
..elle est parue dans "paperJam"
on peut "sous entendre" que des questions peuvent être posées à Clearstream notamment... ! "
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Encore une fois, la dernière :
1) Vous faites une erreur si vous croyez que Clearstream détient de quelconques secrets, volontairement ou non. Vous vous trompez de cible. Clearstream ne fait qu’enregistrer les opérations internationales de mouvements de fonds que les banques viennent échanger chez elle, parce qu’il est plus simple de tous se réunir et de tout mettre sur une table pour établir des soldes et de n’échanger que ces soldes.
De la même façon les banques françaises se réunissent à la chambre de compensation de la Banque de France tous les jours pour procéder aux mêmes opérations centralisées d’échange des mouvements de fonds qui ne concernent que des émetteurs et des bénéficiaires français.
Chaque banque intervenante chez Clearstream effectue les opérations ordonnées par ses propres clients et si cette banque doit respecter le secret bancaire, alors elle s’assure que les opérations qu’elle apporte ne divulguent aucun de ces secrets !
C’est le b-a ba !
Si vous êtes banquier, vous n’allez pas soigneusement respecter un secret lorsque vous êtes chez vous, pour le divulguer ensuite lorsque vous allez chez Clearstream, c’est à dire à l’extérieur !
Il n’y a donc rien à voir chez Clearstream, qui n’est pas maître du jeu, et qui se borne à enregistrer des mouvements comptables.
Je n’ai jamais compris pourquoi Denis Robert s’est intéressé à eux. Je pense qu’il ne savait pas ce qu’était une chambre de compensation internationale et qu’il l’a découvert peu à peu, sans en comprendre vraiment la nature et le fonctionnement.
2) Une reflexion plus générale : Je ne comprends pas non plus l’objet de toute cette affaire, encore une fois lorsque des personnes se réunissent sans vous prévenir à l’avance dans un endroit que vous ne connaissez pas et s’entendent entre elles pour faire discrêtement des opérations dont elles ne veulent pas que des tiers en prennent connaissance, comment voulez-vous vous y prendre pour essayer de connaitre leur secret à leur insu ?
Et pour quelle raison voulez-vous savoir ce qu’elles font ?
Vous pensez qu’il y aura quelque chose à grapiller, ou quoi ?
Dans ce cas vous serez déçu, car si aucune des personne ne trahit le secret, il faudra torturer l’un deux pour l’obtenir, et ceci alors que vous ne saurez à l’avance, ni qui ils sont, ni où ils se trouvent, ni ce qu’elles ont fait.
Et il y a des milliers d’opérations de ce genre tous les jours partout dans le monde !
Je peux à la limite comprendre que le fisc de tel ou tel pays puisse se sentir frustré de ne pouvoir encaisser son écot sur ces transactions, mais dans ce cas soyons clair : Percevoir l’impôt n’est pas un droit divin et ce droit peut être contesté de plus en plus facilement aujourd’hui, car il est impossible de confiner les contributeurs sur un seul territoire.
En d’autres termes, l’Etat n’est plus l’entité juridique adéquate pour percevoir un certain nombre d’impôts, notamment les impôts sur les opérations financières ou commerciales qui concernent plusieurs Etats.
C’est peut-être triste pour certains Etats, mais c’est comme ça. Ils sont soumis à une concurrence fiscale et ceux qui ne sont pas compétitifs seront perdants et n’auront aucune coopération de la part de ceux qui sont gagnants.
Dernière remarque : Il n’est pas necessaire de recourir aux "paradis fiscaux" ou au "secret bancaire" pour échapper à l’impôt : Il y a des centaines de milliers de travailleurs frontaliers et d’expatriés qui fraudent le fisc français tous les jours, en oubliant seulement de signaler qu’ils ont mis leurs économies de l’autre côté de la frontière.
Il y a donc un problème qui est particulier à la France, et qui est bien connu de tout le monde, disons que notre pays paye cher une de ses traditions les mieux ancrées : L’Etat a tous les droits et le citoyen est un serf. Cette conception ne peut plus être maintenue, et voilà tout, c’est la rançon du progrès technique dans les secteurs des transports et des télécommunications !-
De Pascal Lorent :
"Certaines banques ne disposaient que de sous comptes ne dépendant d’aucun compte principal dit publié. Quand on dit publié, cela signifie qu’il est publié au regard des autres clients de la firme. D’autre comptes n’appartenaient même pas à une banque et certains sont tout simplement des sociétés
.................
Excusez-moi, mais vous faites une faute de raisonnement.
Les opérations discrètes doivent ressembler aux autres comme deux gouttes d’eau, elles sont donc noyées dans la masse et ne sont surtout pas placées dans des comptes à part, pour qu’on puisse les remarquer au premier coup d’oeil !!
Pourquoi êtes-vous étonné du fait que des banques veuillent détenir des comptes chez Clearstream qui ne soient pas visibles par leurs concurrents ?
Ces comptes non publiés sont visibles par les autorités de tutelle, qui savent parfaitement ce qu’il y a dedans.
Vous, vous ne le saurez pas, Mr Denis Robert non plus, et les concurrents non plus.
Et alors ? -
exemple :
il suffit au "Grand Duc" de publier un décret :
"interdiction d’ouvrir des comptes à des "sociétés des BVI ou des Seychelles,etc..) "
et vous verrez que les choses changeront.alors...plus de compensation possible... !
(sauf à ce qu’il y ait d’autres organismes de compensation qui se créent dans des pays exotiques..bien évidemment, mais la clarification débuterait alors... !)
(pourquoi est-ce si difficile de mettre en oeuvre les recommandations du GRECO ou de l’OCDE......). -
Plus de compensation possible ?
Mais savez-vous ce que signifie le terme "compensation", oui ou non ? Et savez-vous quel est le rôle de ces chambres de compensation et le comprenez-vous, oui ou non ?
Plus de sociétés des BVI et des Seychelles ? Et plus de sociétés non-plus de Chine ou des USA ? Tous les pays vous aideront si vous le voulez !
Je crois que vous délirez, il est impossible de regarder par dessus l’épaule de six milliards d’habitants de cette planète. Vous voulez sonder les coeurs et les reins de tout le monde ?
Cinq milliards neuf cent quatre vingt dix neuf millions, neuf cent quatre vingt dix neuf mille neuf cent quatre vingt dix huit habitants de cette planète se mettront d’accord avec moi pour vous cacher les opérations que je compte réaliser à votre insu !
Abandonnez donc votre affaire, Clearstream a proposé à Denis Robert d’abandonner les poursuites et d’arrêter le match avant qu’il ne se retrouve en slip, et je crois qu’il devrait accepter cette proposition très généreuse.
Et d’autant plus généreuse que vous ne savez visiblement pas de quoi vous parlez ! -
ce que vous auriez pu souligner c’est ce qui suis (lu sur rue89)
Au début des années 70 les principaux états industriels et financiers signaient un accord de libre circulation des capitaux.
Des chambres de comensation ont alors pris en charge la diffusion des transferts d’argent entre banques et etablissements financiers du monde.
l’accord consciemment créait un espace international hors de portée de toute action judiciaire qui n’est donc soumis à aucun contrôle juridique, qui a rendu anonymes et incaccessibles les données concernant chaque opération de circulation de capitaux.
On ne peut rien savoir ni du compte payeur, ni du compte destinataire, ni le montant de la transaction et la devise d’échange.
C’est l’acte fondamental de l’ultra-libéralisme. Chevla de Troie des néo-cons qui a permeis peu à peu de sortir le Droit de l’acte judiciaire hors de la sphère économique.
Depuis l’attentat du 11/09/2001 seuls les US (donc la FED) a le moyen d’isoler complementent un système bancaire régional, a imposé l’accès à des infos financières à quelques banques dans des territoires off-shore soupçonnés de détenir des comptes d’organisation clandestines... !
Claerstream n’a vraiment rien à se repprocher ??? -
heue....j’ai encire quelques neurones qui fonctionnement... !
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@Frederic Lyon
Excusez-moi, mais vous faites une faute de raisonnement.
Les opérations discrètes doivent ressembler aux autres comme deux gouttes d’eau, elles sont donc noyées dans la masse et ne sont surtout pas placées dans des comptes à part, pour qu’on puisse les remarquer au premier coup d’oeil !!Jusque là je suis d’accord avec vous
Pourquoi êtes-vous étonné du fait que des banques veuillent détenir des comptes chez Clearstream qui ne soient pas visibles par leurs concurrents ?
le principe de Clearstream, comme toute les sociétés de clearing nationales ou internationales est le fonctionnement en coopérative ? C’est à dire que l’intérêt est d’y figurer.
Une liste qui référençait tous les clients était envoyée à chacun, ensuite on pouvait la trouver en ligne sur le site de la firme. Depuis la sortie de Révélation$ (le premier livre de DR) elle a d’ailleurs disparu.
Les premiers à ouvrier des comptes non publiés ont té des banques italiennes, comme l’Ambrosiano, dans le but de séparer les actifs de certains gros clients. Puis progressivement
certaines banques, contrairement au réglement de la firme à cette époque, n’ont ouvert que des comptes non publiés, certaines banques russes, voire même des fiduciaires comme Rivunion (affaire Elf)
Ce qui veut dire que les principales banques adhérentes au système et personne ne connaît la présence de ces banques en Clearstream.
C’est encore plus discret, c’est noyé dans la masse sans apparaître.Ces comptes non publiés sont visibles par les autorités de tutelle, qui savent parfaitement ce qu’il y a dedans.
Quelles autorités de tutelle ? Vous parler de IML qui n’a certainement pas les moyens de comprendre le fonctionnement d’une telle machine.
Les seuls habilités à avoir un regard sur ces comptes était à cette époque KPMG rémunérée par la firme elle-même.
Si vous regardez les films vous y verrez un informaticien qui avoue avoir fait sur demande des effacements de traces de transactions. Son témoignage n’a jamais été attaqué.
Pensez-vous que c’était par rapport à des problèmes de concurrence ?Vous, vous ne le saurez pas, Mr Denis Robert non plus, et les concurrents non plus.
Et alors ?Et alors il serait temps que de telles institutions soient contrôlées par des instances publiques compétentes, car on commence à se rendre compte vers quoi nous entraîne ce capitalisme délirant !
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la proposition de Claerstream est....claire... !
"on arrête de t’emmerder, à condition que tu arrêtes de nous emmerder"... !
si cette vénérable et "respectable" chambre de compensation n’a rien à se repprocher, pourquoi ses avocats s’agitent-ils... et... agissent-ils ainsi ???
(ah j’oubliais presque...Denis Robert a fait appel ... !)-
C’est l’Intérêt Monsieur...
Rien n’est Gratuit avec un Avocat...surtout "Avocat Es Finances"
Même pour un renseignement par téléphone il vous envoie sa nôte d’honoraire....
La problématique dans ce genre de dossier , que vous ayez Raison ou Tort , c’est vôtre surface Financiére qui vous permet d’aller au bout de vôtre démarche.
Dans le métier d’Avocat plusieurs spécialités....comme pour les chirugiens...
Mais ceux qui vous améliorent vôtre " Etat " physque ou Financier sont les Mieux Payés...
Même si le Paralléle est hors propos....prenez l’exemple d’un licenciement (justifié ou pas ) l’entreprise qui a les moyens de ’s’offrir un bon cabinet juridique du droit du travail....n’hésitera pas à vous mettre dehors si tel est son bon vouloir.....Le temps que vous passiez aux prud’hom + l’appel si elle est condamnée à vous verser un indemnité...sera beaucoup plus long pour vous que pour elle.
Mais moi , je conseille à DR de continuer ,cela permet au moins de "Faire" Transpirer" la vérité...et surtout que ce dossier ne soit classé sans suite.
Quant à accepter la "Négociation" je dis NON , cela équivaudrait à se mettre à quattre pattes pour se faire sodomiser !!
Que l’on Aime ou pas Tapie , 15 ans de bataille sur un dossier ou l’Etat Avait Tous les Moyens pour gagner , oui tous les moyens (je vous fais grâce de la liste des moyens ) et bien il Avait Raison à la sortie !!!!
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De Pascal Lorent :
"Ce qui veut dire que les principales banques adhérentes au système et personne ne connaît la présence de ces banques en Clearstream"
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Personne ? Sans blague ?
Comment font-elles pour effectuer des transactions avec les autres participants ?
Puis du même un peu plus loin dans le fil :
"Quelles autorités de tutelle ? Vous parler de IML qui n’a certainement pas les moyens de comprendre le fonctionnement d’une telle machine.
Les seuls habilités à avoir un regard sur ces comptes était à cette époque KPMG rémunérée par la firme elle-même.
Si vous regardez les films vous y verrez un informaticien qui avoue avoir fait sur demande des effacements de traces de transactions. Son témoignage n’a jamais été attaqué"
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IML n’a pas les moyens de comprendre ? Je suppose qu’ils comprennent mieux que vous !
KPMG est une société d’audit et vous croyez qu’une société d’audit a le pouvoir de mouvementer les comptes de son client, ou, encore mieux, d’effacer des transactions dans les comptes de son client ?
Je suppose que Clearstream ne délèguera à personne le pouvoir de mouvementer ses propres comptes !
KPMG , comme toutes les sociétés d’audit est là pour certifier que les comptes qu’on lui présente sont exacts. Connaissez vous les règles de fonctionnement des comptes et les principes de base de la comptabilité ?
Je crois que non. Dans cette affaire, des gens qui n’y comprennent rien ont pris pretexte de leur ignorance et de leur incompréhension pour décréter que le système est opaque. Mais le système n’a rien d’opaque pour qui est outillé pour le comprendre.
Prétendre qu’il est opaque parce qu’on y comprend pas grand chose, celà s’appelle de la diffamation.
Alors encore une fois :
Si les banques qui participent aux opérations de compensation ont dans leurs listings des opérations qui doivent rester discrètes quant à l’identité de leurs bénéficiaires et clients, parce que ces banques respectent des legislations qui appliquent le secret bancaire, alors il n’y aura rien dans les documents qu’elles présenteront en chambre de compensation qui permettra de distinguer ces opérations de toutes les autres.
Si vous pensez le contraire, vous les prenez pour plus cons qu’elles ne sont !
Et j’en profite pour rappeler qu’il ne faut jamais croire à ces histoires de listings ou de CD qui proviendraient de telle ou telle banque et qui donneraient en clair le nom des véritables détenteurs de ces comptes, appellés improprement "comptes anonymes", qui existent dans les pays qui appliquent le secret bancaire.
Car le nom de ces détenteurs ne figurent nulle part dans les fichiers de ces banques et ne risquent donc pas d’apparaitre sur un quelconque document AUTHENTIQUE sortant de ces banques.
Et encore moins sur les documents que ces banques échangent en chambre de compensation, car c’est justement à cet endroit de la chaine des transactions que le secret doit être le mieux préservé, puisque la chambre de compensation est à l’extérieur de la banque !
Et pour couronner le tout, penser que la chambre de compensation isole ces opérations dans des comptes à part pour qu’on les remarque encore plus, est encore plus idiot !-
@Frederic lyon
Monsieur le professeur en transactions occultes,
L’informaticien qui avoue avoir effacé des traces de transactions ne faisait pas partie de KPMG mais avait le titre de vice-présidenr de clearstream et dirigeait une équipe d’informaticiens.
Vous portez des jugements sur une affaire que vous ne connaissez qu’à travers des rumeurs. Ou alors vous êtes salarié chez Clearstream. Une telle mauvaise foi me sidère. Je vous invite donc à lire Révélation$ et La boîte Noire (éd. des Arènes) et on pourra reprendre ce débat.
Bonne lecture
PL -
Je crois que vous n’êtes pas sérieux, je vous cite :
"Les seuls habilités à avoir un regard sur ces comptes était à cette époque KPMG rémunérée par la firme elle-même.
Si vous regardez les films vous y verrez un informaticien qui avoue avoir fait sur demande des effacements de traces de transactions. Son témoignage n’a jamais été attaqué"
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Sur demande de qui ?
Et pourquoi appelez-vous "occultes" des transactions qui ne vous regardent pas ? Il n’y a rien d’occulte là-dedans, il y a seulement le fait que ces transactions ne vous regardent pas et que ceux qui les ont faites n’ont pas de comptes à vous rendre. -
A Cameleon :
Et si vous consultiez un bon spécialiste, peut-être pourrait-il faire quelque chose pour vous. La CIA, les traficants d’arme, les traficants de drogue, et ............les Martiens. -
Beaucoup de termes techniques et de chipotage sur les mots.A qui profite le crime ?Pas à Mr Robert qui se voit traiter de tous les noms par des medias à la solde.CLEARSTREAM ici chez nous et S & L aux E.U fin des années 80 et début 90 :résultat 500 milliards de $ à payer pour le contribuable U.S.Dans le même temps un autre scandale plus significatif celui révélé par des sénateurs U.S et qui eut comme conséquence "logique" le déclenchement de la 1° guerre du golfe pour servir d’écran de fumée.Ce fameux scandale très révélateur nous montre comment on en a pu arriver au 11/09. Organisme mondial le BCCI (banque de crédit et commerce international , sic) achète des complicités dans tous les pays,présidents sénateurs,personnes à des postes de responsabilité en gros.Tout roule pour le mieux jusqu’à ce que des sénateurs U.S ,contactés par cet pieuvre internationale, tirent la sonnette d’alarme et dénoncent le fait,ce qui aura comme conséquence immédiate l’intoxication des foules par CNN entre autres pour que puisse commencer l’écran de fumée Saddam Hussein.On en est arrivé à cet extrème car il fallait absolument détourner les yeux des agissements de cette banque et surtout des propriétaires des comptes les plus importants : traficants d’armes,traficants de drogues,groupes terroristes et cerise sur le gâteau :CIA.
Plus question de laisser des traces car les transfers de fonds se font interieurement.Pour plusieurs personnes ayant laissé des commentaires critiques sur cet article , ce que j’écris sera resumé avec le doux nom de parano dont ils pourront affubler également le magazine qui a publié , peu avant le début de la campagne d’intox qui dura un an et culmina avec l’attaque de l’Irak ,ces informations.Au cas où cela interresserait ces détracteurs ( ou ces personnes qui se voilent la face ) je les invite à consulter l’année 1990 ,je ne me rappelle pas du mois ,et les infos relatives aux S&L et au BCCI dans les pages du magazine U.S nommé Time.
Je ne voudrai pas me faire traiter de menteur en plus de parano.
En tous les cas bravo aux journalistes qui comme Mr Robert essayent encore de bien faire leur travail et que l’on n’est pas prets d’embaucher sur TF1, bravo à ces gens que la mort , si elle devait les surprendre ,ne trouverai pas agenouillés avec les poches remplies d’argent provenant de leur silence.
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