Je vais vous dire une chose, Cosmic dancer, qui vaut aussi pour Péripate et toutes les crapules libérales qui s’expriment ici.
Vous nous la jouez finaude, au dessus du panier, à ratiociner sur des pinaillages pseudo-théorico-jésuitico-philosophico-décadents, mais nous ne sommes plus dans des causeries mondaines à fleurets mouchetés, nous sommes, et vous le savez parfaitement, EN GUERRE.
Une guerre économique, sociale, mondiale, qui a été déclenchée par ceux que vous défendez, une minorité de mafieux, contre l’ensemble de l’humanité.
Vous ne pouvez l’ignorer ; tous les esprits éclairés de ce temps le signalent, et tirent la sonnette d’alarme depuis des années : V. Forrester, Noam Chomsky, Naomi Klein, Jospeh Stiglitz, Jean Ziegler, et tant d’autres.
Le système mafieux que vous défendez, qui provoque l’oppression, l’aggravation des inégalités, la misère, prive les hommes des ressources vitales, de l’accès à l’eau, détruit la planète, privatise le vivant, est l’ennemi acharné du genre humain.
Nous ne sommes plus là à discuter de fumeux points théoriques : nous sommes à nous battre pour reconquérir les droits à la simple vie, volés par les agresseurs, les pilleurs, l’armée d’occupation du monde que vous défendez.
Vous êtes donc du côté des agresseurs, des ennemis, des affameurs ; à ce titre, il ne saurait y avoir aucun compromis ; non seulement aucun dialogue n’est possible, mais il est de notre devoir à nous, citoyens du monde, de vous mettre hors d’état de nuire, pour pouvoir restaurer la démocratie, la justice, le droit de chacun de vivre décemment.
Ce combat est en cours ; vous y avez choisi votre camp, vous avez choisi de semer l’injustice, l’oppression, la haine ; apprêtez vous à en subir les conséquences.