J’emmerde tous les connards (asses) qui viennent ici étaler leur petite prose hautaine et cynique.
Il arrive un moment où il n’est plus temps de finasser’, d’appeler un chat un chat, et les salauds des salauds.
Que ce soit par égoisme, bétise, cynisme ou intérêt personnel, le résultat est exactement le même : tous ceux qui continuent de défendre ce système mafieux de vol, d’exploitation, d’oppression et de mort, sont les collabos des affameurs et sont responsables de la misère, des enfants qui meurent chaque jour ; des ennemis de la démocratie, de la liberté, de la justice, et de la vie.
Si le miroir que je vous tends vous déplait, il ne faut vous en prendre qu’à vos sales gueules ; ce monde est celui que vous défendez ; moi, il me débecte, et je ne suis pas le seul.
Je suis du côté de ceux que l’on vole, que l’on pille, que l’on pressurise, que l’on exploite, qu’on empêche de vivre décemment, que l’on condamne à la survie ou à la mort, ceux qui se sont toujours battus pour arracher le moindre droit de vivre aux honteux voyous qui mettent la terre en coupe réglée.
Cette guerre, c’est ce système, et ceux qui le soutiennent, qui l’ont déclenché ; c’est une guerre d’une violence extrème, implacable, sanglante ; c’est 3 milliards d’êtres dans la misère, des famines, le manque d’accès aux soins, à l’eau, la privatisation du vivant au profit de quelques gangstters qui s’approprient les richesses produites par la majorité des hommes ; ça, c’est dire les choses comme elles sont, que ça vous plaise ou pas.
Ce n’est plus supportable ; il est temps que s’unissent ceux qui feront avancer le monde vers plus de justice, de respect et de dignité ; ceux qui ne sont pas de ce combat, sont ses ennemis objectifs.
Ya basta !