Bonjour,
Olivier, expliquez moi ou est la contradiction ?
Comment pouvez-vous penser que les droits de l’homme, texte humain, non respecté et imparfait, puisse répondre à toute les formes de sociétés démocratiques ou fixer leurs règles ?
Comment pouvez-vous croire qu’une société faisant abstraction de la propriété est forcement antidémocratique ?
Comment pouvez-vous mettre sur un piédestal une déclaration qui fait l’apologie du capitalisme ? Article 17 : notion de propriété. Article 25 : notion de chômage. Article 26 : éducation « gratuite » mais pas entièrement : notion de prix à payer et ouverture au gain. Article 27 : notion de propriété moral plus notion d’argent… Et je dois en oublier.
Nous restons, même lors de la rédaction d’un texte soi-disant universel, baigné et bercé par cette culture capitaliste…
Nous restons, même lorsque nous parlons du communisme, baigné et bercé par cette culture capitaliste…
Nous restons, même lorsque nous essayons d’appliquer le communisme, baigné et bercé par cette culture capitaliste…
Car en substance, c’est bien ce que veut dire votre texte ?
Merci d’avoir posé une très bonne question : Alors que faire ?
Une piste peut être : commencer par envisager et accepter qu’il existe des alternatives…
Qu’au lieu de parler de propriété, on ferait mieux de parler de toit et de confort.
Qu’au lieu de parler de chômage, on ferait mieux de parler du partage du travail.
Qu’au lieu de parler propriété intellectuelle, on ferait mieux de parler de partage.
Qu’au lieu de parler capital, on ferait mieux de parler temps et loisirs.
Qu’au lieu de dire droits de l’homme, on ferait mieux dire minimums pour l’homme…
Cordialement.
Jérôme