Bonjour Olivier,
le mot "benet" était peut-être un peu vigoureux, mais il désignait l’article et non auteur.
Ce que j’ai voulu exprimer par là, c’est que nous sommes aujourd’hui submergés de tous côtés par les cris d’alarmes, mais qui, partant dans tous les sens, ne font qu’ajouter à la pagaille et aux désordres.
Bien sûr que le système actuel mène droit au mur ! Bien sûr que le pillage et les destructions écologiques sont un désastre pour tous ! Bien sûr que la surface terrestre ne suffirait pas pour offrir le niveau de vie dit "américain moderne" pour huit milliards d’humains, et que le principe de "croissance économique" est l’invention la plus criminelle et la plus stupide qui soit ! Bien sûr aussi que l’instabilité actuelle du climat est une terrible menace !
On pourrait y ajouter l’apparition des zones mortes dans les océans, qui sont à mon sens le présage le plus grave de tous : on pourrait imaginer de pouvoir s’adapter aux changements climatiques, mais à la mort des mers...
Vous ne nous apprenez rien, et vous ne faîtes pas avancer le "schmilblick" d’un pouce : votre article n’explique rien, ne fait rien comprendre aux gens, et ne leur propose pas une orientation intelligente et nouvelle de leur vie qui soit meilleure et réalisable...
Rien ! hormis quelques infos de détails et une critique assez malvenue de Nicolas Hulot ; et bien sûr la prétention militante exprimé par le titre, mais qui ne représente finalement qu’une "pose" personnelle, et qui rappelle fâcheusement les looks "rebelle" affichés d’office par les "stars" pour adolescents.
Votre article tient plus d’une collection de slogans ou de la démarche de vente d’un produit que d’une étude sérieuse où de la présentation d’un point de vue nouveau. Que cherchez-vous ? A expliquer des choses compliquées et subtiles à des gens intelligents, ou seulement à déclencher des réflexes mécaniques d’adhésion dans une foule primaires…
On le voit ici clairement : l’écologie peut parfaitement se décliner de manière populiste, comme certains projets politiques d’antan, et peut, elle aussi, devenir une nouvelle « consommation » parmi d’autres.
Et certains prêcheurs écologistes et ambitieux peuvent aussi devenir les « nouveaux curés » d’une époque « new age »…
Thierry