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Commentaire de Pierre

sur Le jour où rien ne changea


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Pierre 5 novembre 2008 00:47
Le roman noir : la seule perspective réaliste qu’on puisse avoir sur l’état objectif des Etats-Unis et la sclérose politique, financière, économique, militaire, industrielle et sociologique qui tient la majorité de ses habitants en otage. Votre ton, votre langage et vos métaphores sont idoines, Monolecte, et vos réponses aux commentaires « right on the money », comme on aime à dire aux Etats. Obama, qui va probablement devenir président, pourra s’estimer heureux s’il arrive à éviter un bain de sang lorsque le pays n’arrivera plus à s’acquitter des paiements de sa dette extérieure astronomique et que le dollar coule à pic, emportant avec lui les économies des petites gens, ainsi que leurs fonds de retraite.
Pauvre Obama, un type bien somme toute, un Mensch, comme disent les New Yorkais, il ne lui restera plus que de la merde, du désespoir, de la hargne, des dettes, des guerres, de la déprime, du chômage, des incendies de forêt, des inondations, des ponts qui s’écroulent, des écoliers qui assassinent leurs camarades de classe et le prix de l’essemce à gérer.

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