Je n’inverse rien du tout.
Ah !
Il insiste !
Voyons donc la définition d’égotisme :
Internaute encyclopédie : Culte du moi.
Tendance à s’
analyser et à ne parler que de soi
Msn encarta :
1. faculté ou plaisir à se prendre soi-même comme objet d’étude
Revers dictionnaire : égocentrisme, nombrilisme, introversion, oubli,endurcissement, autisme
[antonyme] allocentrisme, désintéressement
Larrousse : n. m. (du latin ego, moi). Manie de parler de soi. // Sentiment exagéré de sa personnalité, de sa valeur.
sensagent : .tendance à ne voir le monde qu’en fonction de soi-même.
Voilà pour l’ensemble des définitions, le sens commun du mot.
Pour Chateaubriand (donc) ;
- Étude sans complaisance qu’un écrivain fait de lui-même, de son physique et de son caractère, de sa personnalité ; tendance, disposition à parler de soi-même.
Égotisme de Chateaubriand, dans ses Mémoires d’outre-tombe.
- Jouissance raffinée de sa propre personne ; culte du moi, intérêt excessif accordé à sa propre personnalité, au développement de celle-ci.
Donc, outre l’interprétation (égotiste) de Chateaubriand, mais faite à propos du travail de l’écrivain, évidemment la seule retenue (mais amputée) par le Péripate
dont, par ailleurs, je ne savais pas qu’il était un écrivain : je le croyais cinéaste. Mais l’homme a tant de ressources...
On pourra donc relever le sens généralement admis, soigneusement détourné par l’égotiste Péripate, dont rien tant que les détours de sa propre pensée fascinent ; l’estime de soi qu’il revendique s’étant évidemment muée en un égotisme qui conditionne entièrement tout raisonnement.
Je me répète, mais quand ce fonctionnement totalement narcissique s’organise en une pensée discursive, qui conduit, entre autre, à adopter la posture du "seul contre tous", réhaussé de la haute image qu’on se fait de soi-même, se donne à entendre comme doctrine philosophique, et politique, sans jamais prendre en considération l’aspect politique et social, quà travers le prisme de sa propre glorification, c’est non seulement un biais qui fausse totalement l’analyse, mais, de plus, quand elle permet de dénier le réel, c’est une véritable forfaiture.
Péripate est mur pour fonder une secte, dédiée à la glorification de son culte ; mais, en politique, il est, forcément, du côté des autocrates, des puissants, des égotistes comme lui.
Ses positions (sur ce site) pseudo-politiques ne sont qu’une posture mégalomaniaque de "martyr", d’être supérieur, ayant raison contre tous, et destinées à glorifier la loi du plus fort ; race dont il s’estime un des fleurons.
Outre l’aspect proprement médical, qui peut représenter un intérêt, son discours politique est donc une propagande forcément portée à l’amalgame, aux sophismes, au déni du réel, et au mépris de la très grande majorité.
Un discours d’autocrate égotiste, ultralibéral ; donc, dangereux...