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Commentaire de Diogene

sur Obama : le hasard et la nécessité


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Diogene 8 novembre 2008 23:01

 Intéressant la liste de ses futurs collaborateurs :

Dennis Ross, bien connu pour ses points de vue belliqueux. Il a soutenu l’invasion américaine de l’Irak et est étroitement lié aux néo-conservateurs. Après avoir quitté le Département d’État en 2000, il a rejoint le think tank de droite pro-Israël - le Washington Institute for Near East Policy (Institut de Washington pour la politique du Proche-Orient) - et a signé un contrat en tant qu’analyste en matière de politique étrangère pour Fox News. 

Ashton Carter et Ross ont également participé à la rédaction d’un rapport pour le bipartisan Center for a New American Security (Centre bipartite pour une nouvelle sécurité de l’Amérique), publié en septembre, et qui concluait que l’action militaire contre l’Iran devait être "l’élément d’une véritable option". Alors que Ross examinait les options diplomatiques en détail, Carter définit les "éléments militaires" qui devaient les sous-tendre, en ce compris une analyse des coûts et bénéfices d’un bombardement américain aérien de l’Iran. 

Comme le New York Times l’a fait remarquer, le conseiller d’Obama en ce qui concerne la défense, Richard Danzig, ancien secrétaire de la marine sous Clinton, assista à une conférence sur le Moyen-Orient rassemblée, en septembre, par le même think-tank pro-Israël. Il dit à l’assistance que son candidat croyait qu’une attaque militaire contre l’Iran était un choix « terrible », mais "qu’il se pourrait que, dans un certain monde terrible, nous devions faire face à un tel terrible choix". Richard Clarke, qui était également présent, déclara qu’Obama estimait que "l’influence croissante de Téhéran doit être enrayée et que l’acquisition par l’Iran d’une arme nucléaire est inacceptable". Alors que « sa première inclinaison est de ne pas tirer sur la gâchette », Clarke déclara : "si les circonstances exigaient l’emploi de la force militaire, Obama n’hésiterait pas. " 

Il ne reste plus qu’a souhaiter qu’un commando de méchants iraniens n’assassinent pas le président élu, mais si c’était le cas, son équipe saurait quoi faire pour le venger.

Surtout que les terroristes ont une arme secrete, ils peuvent controler les services de sécurité américains : souvenez vous du 11/9 : les térroristes avaient réussi a distraire la chasse américaine pour qu’elle n’intervienne pas pendant les 1 heure et demie de l’attaque alors que l’année précédente, cette meme chasse avait intercepté 100% des avions douteux et cela en moins de 10 minutes. Ils sont forts ces terroristes. Alors pour Obama un conseil, si ses gardes du corps s’absentent 1 heure et demie, pour faire un exercice, il a intéret a se planquer.


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