Ah ! quelqu’un de gentil et galant avec les femmes de cinquante ans !
Une fois n’est pas coutume.
Ca n’empêche. Les belles femmes de 50 ans, qui ont l’air jeunes, qui, à force de discipline, massages coûteux, sport chiant, chirugie "gardent" une silhouette acceptable ou même mince, celles qui se font arranger la tronche comme Ségolène (quand même naturellement esthétique et qui n’a pas eu trop de mal à combattre l’outrage des ans), celles qui se font refaire le pif, défriser, relooker, retailler (madame Obama, qui elle avait un physique ingrat à 25 ans avec un oeil bizarre ! Comparez sur le net les photos d’avant son mec et d’après la carrière politique d’icelui !) ...
Donc les belles femmes de 50 ans, ce sont les richardes. Les pauvresses sont trop grosses ou trop sèches, elles ont des rides au coin des yeux, elles accusent la fatigue d’une vie de labeur, elles ont des vergetures, suite aux enfantements, elles ont des rides au coin de la bouche, d’avoir aimé sans retour ou pour toute autre expérience, etc. Elles ont des cheveux blancs.
On les aime quand même et pour ça même. Ce sont les mères, copines, épouses, soeurs des lecteurs de ce site.
Des femmes, pas des images que nous payons trop cher.
Le gars qui pose derrière sa douairière, on ne le plaint pas ! Il s’éclate, sans nul doute. Est-ce qu’il l’aime ?
Oh ça ne nous regarde pas, nous qui payons la redevance télé ! Oh ouiche, il l’aime, comme on aime sa tata gâteau.
Jadis, on en faisait des charivaris de ce genre d’histoire, que le "veuf" fût mâle ou femelle, quand le remariage concernait quelqu’un de bien plus jeune.
On en rigolait, quoi.
Parce que les jeunes, avec les jeunes. Les vieux sont là pour montrer le chemin.
C’était la chronique pour les droits et devoirs des grands-mères à remettre à jour ! 