Ca part d’un bon sentiment... MAIS, quel GARDE-FOUS avons-nous ? Quelle sécurité au cas où ?
R I E N
Ce mot englobe, l’action des psychiatres considérée omnipotente, les mesures de justices absolument vagues et totalement INAPPLICABLES ( comme l’obligation de soins (( A VOMIR)) et le contrôle judiciaire
((qui ne fait même plus rire)) ) ce mot sous-entend également, la position des services de sécurité (police, gendarmerie) qui ne savent plus quand, ni dans quel cas ils doivent intervenir, sans oublier les pompiers, qui sont tellement baladés par TOUTES les AUTORITES ( ils ne les comptent plus)
QUE L’ ON EST EN DROIT DE SE DEMANDER :
Mais pour finir, ces gens dangereux, ils sont dangereux ou pas, à la fin de leur peine ?
PERSONNE NE VA PRENDRE LA RESPONSABILITE DE LE DIRE !
D’ailleurs, comment juger des sujets qui vivent enfermés ? Sont -ils EUX-MEMES à ce moment-là ?
Alors, pour finir, Badinter a mis un terme à la peine de mort, qui ne sert à RIEN, C’EST BIEN ! Il laisse entendre que les hommes mauvais (c’est de ceux-là qu’il s’agit) PEUVENT RE-DEVENIR des gens comme les autres ; Ce n’est pas IMPOSSIBLE .
Là où ça devient DRAMATIQUE ! C’est qu’après l’effet de manche de l’avocat (évidemment, bien introduit)
aucun contrôle n’est POSSIBLE, aucune mesure d’évaluation n’est ENVISAGEABLE, et, surtout, personne
N’A AUCUNE IDEE de l’état psychologique de la personne libérée.
BADINTER OUI !!! LA POLITIQUE DE POESIE SOCIALE NNNOOONNN !!! !!! !!!