@ Mikadian & Internaute
1/ S’emparer si rapidement d’un fait divers pour "pondre" une nouvelle loi répressive c’est totalement du n’importe quoi. (de l’opportunisme répressif à toutes les sauces)
Par exemple, si demain les journaux relataient qu’une personne âgée, malade, renversait pour la troisième fois un enfant au volant de sa voiture, vous trouveriez normal de pondre immédiatement une loi interdisant de conduite TOUTES les personnes âgées ayant déjà provoqué un accident coporel ?
S’emparer du moindre fait divers pour légiférer sur le coup de l’émotion dans tout et n’importe quoi est une bêtise digne de nos politi-chiens actuels.
D’ailleurs, je ne comprends pas dans la même mesure pourquoi ne pas instaurer des peines bien plus lourdes pour les politi-chiens étant comdamnés pour abus de bien sociaux !
(Le contrôle judiciaire et l’obligation de soins, là OUI, il faut les moderniser de toute urgence, c’est de la comédie juridique à un prix fou)
2/ La peine de mort serait acceptable SI la justice était parfait et ne faisait jamais d’erreurs, ce qui est très loin d’être le cas .(affaire d’outreau, affaire Dills etc...)
Seriez-vous prêts à sacrifier des innocents ?
@ Internaute
Pour prendre vos propos au pied de la lettre.
Combien de chefs d’entreprises multirécidivistes retrouvons-nous devant les prud’hommes, ils ont un coût social énorme pour le contribuable et détruisent des familles entières .
Là vous avez bien raison, il faut à tout prix les dissuader de récidiver !
S’intérresser aux victimes c’est le parcours du combattant.
Si vous aviez été pénalement victime, vous comprendriez que les avocats s’intéressent bien plus aux coupables qu’aux victimes (ça leur fais de la pub) .
Le premier sévice ressenti par les victimes est la lenteur juridique.
Le second sévice est la manière dont les auditions sont menées lors de la procédure.
Le fonctionnaire de police pose les questions qu’il désire mais ne prends pas les éléments les plus judicieux au dossier d’instruction avancés par la victime.
Le troisième sévice est le manque d’information et de contacts avec le magistra instructeur lors de la période d’instruction.
Il faut réellement se battre pour avoir le numéro de son dossier d’instruction, les services de police ne vous laissent pas copie de votre déposition .
Là OUI, à ces niveaux là, la victime est une fois de plus victime !
(de lenteur, d’orientation de l’instruction, de non communication de sa propre déposition et de son dossier d’instruction)