Bis répétita mais l’auteur sera indulgent ..
D’après le peu d’informations que nous avons eu du G20, la donne est claire nous pouvons compter sur le pire :
Je ne fais absolument pas confiance aux marchés, l’auto-régulation est la même chose "qu’espêrer qu’un enfant de 7 ans cesse de manger des bonbons alors qu’il est laissé sans surveillance dans le palais des friandises..."
La seule solution à long terme est d’arriver à rendre interdépendants : économie / écologie / social .
Tout exès dans un des trois domaines, toute négligence d’un de ces 3 domaines, a des conséquences sur les deux autres .
Il faut repenser nos méthodes de calcul sur le long terme là ou elles ne visent que le très court terme (comme des junkies ...)
Tout est lié, même si l’économie actuelle fais mine de l’ignorer, les politiques en sont complices, ils trainent les pieds pour faire du social et de l’écologie.
Aide sociale et écologie sont les conséquences de cette économie de toxicos ...
Le signe majeur des choix politiques (leurs intentions sur notre avenir) se fera par les choix de la sortie de la crise actuelle (repenser l’ économie en l’associant à l’écologie et au social).
A mon sens, si nos "élites" décident de continuer à faire reposer le système économique mondial sur la consommation croissante indéfiniment, c’est qu’ils ont décidé de ne s’occupper ni de l’écologie, ni de l’accroissement de la population mondiale . (forcément le social ne leur en parlez même pas !)
Personnellement, ce sera le signe fort d’une volonté de "laisser faire la nature" afin d’opérer une "sélection naturelle" ...
C’est le parfait exemple du "pragmatisme-alibi" en phase terminale !