@ Cher Colonel,
J’ai répondu à l’objection de Trash Titi avant d’en avoir pris connaissance. À vous, spécialiste de l’information et du renseignement, il n’est pas besoin de l’expliciter.
Mais il est vrai que l’enseignement aujourd’hui multiplie les catégories sans nécessité. Pardonnez-moi de toujours revenir à Guillaume d’Occam ! Mais son conseil est superbement ignoré pour le malheur des citoyens. Il demandait au 13ème/14ème de ne pas multiplier les catégories sans nécessité ! On risque en effet d’égarer son monde !
C’est le but de l’opération !
1- Or la publicité n’est qu’une information donnée (volontairement) qui répond aux contraintes du principe fondamental de l’information énoncée ci-dessus.
2- Les seules catégories qui vaillent d’être aujourd’hui retenues, quel que soit le contexte de leur emploi sont : "l’information donnée", "l’information indifférente" et "l’information extorquée".
3- La publicité est "l’information donnée" dans le cadre spécifique de la promotion d’une idée, d’un homme (ou femme) ou d’un produit.
4- Quant aux différences entre information et communication, journal d’information et journal d’opinion, on est en pleine stratégie d’influence ("intoxication" disent les services de renseignements) pour égarer les citoyens.
5- Ce qui importe par dessus tout, ce sont les contraintes qui s’exercent sur l’information : qu’il s’agisse d’un journal en papier, par onde ou sur internet ou qu’il s’agisse d’une publicité ou encore d’une propagande ou d’une homélie, les mêmes contraintes s’exercent ! Paul Villach