@Cogno1
Vous soulevez un problème social :
Les hommes doivent être virils, les femmes doivent être douces et fragiles...
Personellement, je connais l’autre côté : on me reproche d’être indépendante, de ne pas sombrer quand un mec me laisse tomber avec un môme que j’assume très bien (3 mecs, 4 mômes et finalement seule), et en plus il y en a pour se se demander si je ne suis pas de l’autre bord !
Je n’en suis pas et je parie que si j’en étais, il y aurait d’autres réponses à la vérité qui est :
Je suis et j’agis en fonction de mes convictions et les responsabilités que j’assume (assumer est quelque chose qui n’est pas à la portée de tous, il faut croire), et cela n’a rien à voir avec le sexe, ni par ce qu’il différencie, ni par ce qu’il inspire "loisirement" parlant...
J’imagine que cet homme se sentait tellement plus important que la vie d’autrui, qu’il n’a fait que destruction et n’a même pas eu le courage d’affronter sa remise en question et je déplore que d’autres se soient sentis suffisament proches de sa conception égocentrique pour lui faire hommage (mais je peux me tromper, je reste ouverte à toute autre explication).
Si vous croyez vous apprécier en désapréciant "l’autre", vous faites partie des fléaux de l’humanité car vous n’êtes même pas capable d’amour : L’amour, c’est aprécier que l’autre EXISTE et qu’il soit DIFFERENT, qu’il pense autrement et (tant qu’il n’est pas nuisible, ce à quoi vous vous exposez avec votre logique) non l’ambition de possession exclusive.
Pour l’article, je vous remercie Imhothep pour l’info, mais pas pour l’effet... Au moins, vous savez que vous n’êtes pas le seul à être "dég".
Cdlt