Il est certain qu’il faut mettre un terme à cette immigration non désirée de populations non assimilables et inemployables.
50 % de ces populations sont au chômage, elles n’ont reçues aucune éducation digne de ce nom. Ces immigrants ne peuvent donc pas vivre chez nous selon nos critères et nos pratiques sociales de pays civilisé. Les autres vivotent d’emplois non qualifiés, tirent les salaires de ces emplois vers le bas, et complètent leur revenus en émargeant à toutes les caisses de solidarité sociale qu’ils peuvent taper : ANPE, Allocations Familiales, Sécurité Sociale.
L’Europe a décidé de mettre un frein avant de mettre un point final à cette immigration illégale, avec l’instauration de la "carte bleue" qui nous permettra d’accueillir les gens qui peuvent réellement se rendre utiles et être assimilés.
Il faudra aussi, dans un deuxième temps, organiser le retour de la plupart des immigrants installés chez nous, qui n’ont pas vocation à rester en Europe et qui seront mieux employés dans leurs pays d’origine, où ils pourront participer au développement économique.
Cette question de l’immigration va rester au centre du débat politique dans les années à venir et sera un élément déterminant dans toutes les élections à venir. Ce qui signifie que tous les partis politiques vont être amenés à se prononcer de façon claire, et même tonitruante, si ce n’est pas déjà fait. Car il est clair que cette question favorise partout en Europe l’extrème droite, comme on l’a vu encore récemment en Autriche.
D’ailleurs pourquoi ne pas soumettre à référendum une grande loi cadre qui traiterait le problème de l’immigration ?
Si le trouble à l’ordre public que l’immigration illégale provoque partout en Europe continue, celà deviendra indispensable