Les Turcs sont un peuple d’envahisseurs ataviques ultra nationalistes (s’agissant surtout de la classe dirigeante, militaire et urbaine en regard des peuplades rurales pacifiques et authentiques comme partout ailleurs), qui ne voient en l’Europe qu’une brèche bien pratique pour y engouffrer leur soif de conquête marchande (chacun son tour).
Comme chez nous et le reste du monde, l’Islam y a entrepris sa savante reconquête urbi et orbi, par devant et par derrière, tantôt lente tantôt brutale.
Il suffit de vouloir visiter en touriste une mosquée à Istanbul, pour servir de TP (tendre poupée) aux stagiaires barbus de l’université islamique voisine qui vous admonestent et vous foudroient du regard et de l’index, Coran dans la main, en se faisant accessoirement passer pour le service d’ordre, par ailleurs présent et compatissant, afin de vous dissuader de pénétrer dans la cathédrale du prophète...
Il est probable, si ce n’est déjà fait, que l’économie turque subisse, comme le Maghreb émergeant, le contrecoup du dumping chinois : la crise s’installant sur un tissu social fortement contrasté et politiquement artificiel, c’est un domino de plus qui va basculer en vert sur l’échiquier statégique mondial, d’autant plus si l’on considère les bases stratégiques encore détenues par les USA in situ.
Les trésors archéologiques gréco-romains, déjà bien délaissés et entamés, ne sont pas près d’échapper à l’érosion du temps et à la destruction des iconoclastes.
On cite souvent les Arméniens, mais n’oublions pas Chypre colonisée, ainsi que nos cousins Grecs, et par extension tous les Européens de notre flanc est, dont le coeur a plus ou moins saigné sous le joug du sabre ottoman.
Notre lâcheté perfide consisterait justement à se le mettre dans notre poche pour le retourner éventuellement contre le cimeterre de la coalition arabo-musulmane, qui, et c’est le comble, elle aussi s’en souvient grave.
D’où l’idée plutôt, d’un futur axe bloc pôle continuum porte-avions avec les racines originelles et compatibles des anciennes républiques centrales finissant en an (Turkmenistan, Ouzbek, Kazak, Kirghiz...), équilibrant ainsi les masses géantes du continent... au détriment des minorités apatrides entre deux...
Un coup de trépanation religieuse et toutes ces vieilles rancoeurs seront négationnées et ethniquement épurées, certes.