"Je n’oublie pas en effet que nous aurions pu éviter de nous retrouver dans la situation actuelle où l’unité du Parti Socialiste est gravement en péril, pour peu qu’elle ait consenti à laisser sa candidature au frigidaire et de s’effacer devant un Vincent Peillon derrière lequel un large rassemblement semblait pouvoir s’opérer au soir du vote sur les motions, tant il semblait en mesure d’incarner mieux qu’elle le désir qui s’était alors déjà exprimé en faveur de la rénovation du parti, du changement de génération et d’un ancrage à gauche.."
Cette affirmation est fallacieuse : V.Peillon a tout autant été refusé, comme candidat, par les chefs de file des autres tendances que SR, au motif qu’il restait signataire de la Motion E La rupture s’est faite non sur la candidature de Ségolène mais sur l’ouverture au MODEM objet d’un référendum promis par Ségolène et Vincent Peillon auprès des militants ,-référendum que refuse comme la peste les bonzes du parti- ainsi que sur l’ouverture du parti aux jeunes des quartiers populaires et aux pauvres (’adhésion à 20€).
Plus généralement ce refus apparaît pure hypocrisie dès lors que nous savons tous que quel que soit la candidat(e )du parti en 2012, il (elle) ne pourra pas gagner sans une large alliance avec les centristes républicains. En ce qui concerne le MODEM ses positions actuelles ne le mettre pas plus à gauche que les radicaux du même nom ou que Jack Lang qui soutient Martine Aubry ! Je prétend même le contraire sur le plan des institutions.
Enfin la coalition Martine Aubry, Cambabélis, Lang, Delanoé, Hamon, Fabius est aussi hétéroclite que celle des congrès de Rennes et du Mans (dont on connaît le lamentable résultat) dans sa volonté de refuser le changement et de faire ce qu’a fait Martine à Reims : un discours de gauche en apparence pour gouverner ensuite avec ce qu’elle appelle la droite, sachant elle même qu’elle ne pourra pas plan faire autrement sur la plan national que ce qu’elle a fait à Lilles pour garder la Mairie. Cest du molletisme pur jus ! On n’avance pas on recule. Ou plutôt, soyons positifs, on avance à reculons.
Le changement a plus de chance de s’incarner dans l’équipe de Ségolène qui, si elle gagne, appelera Hamon (dont je doute qu’il refuserait) avec elle pour rénover le parti dans un sens plus "populaire", ce qui ne veut pas dire populiste, mais an faveur des plus menacés par la crise et la poltique de droite de NS. Il suffit d’uine électiion pour faire bouger les lignes et les alliances chez les militants dont aucun n’est la propriété des dirigeants ; on vient de la constater au premier tour et cela vaudra encore plus au second.
Une victoire change la donne ! Sauf que celle de Martine est trop marquée par l’absence de cohérence de ses soutiens pour pouvoir réformer le parti et l’ammener à la victoire en 2012.
23/11 23:20 - Traroth
"Amis socialos ne me remerciez pas" : Rassure-toi, Craignos, personne n’a eu ne (...)
22/11 08:19 - Kalki
22/11 00:56 - saint_sebastien
21/11 23:03 - Asp Explorer
Ça ne m’étonne pas de vous trouver aux côtés de cette pintade malfaisante.
21/11 22:54 - Asp Explorer
Il est facile de qualifier d’"éléphant" des hommes et des femmes qui ont des (...)
21/11 21:56 - La Taverne des Poètes
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