Et encore une allégation pour une enième histoire de l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours.

Le gars qui s’effondre en larmes et soulagerait sa conscience, pas de nom...Un technicien de chez Thomson qui dit que le premier tir ayant bien fonctionné dézingue la Caravelle... rien que ça ! Et pas de nom !

Votre observateur de dauphins, celui nommé, ouf enfin un, qui regarde des dauphins... au niveau 70 !!!! Et paf du premier coup de jumelles dit c’est le réacteur gauche qui est touché !

Quant aux séquences appropriées dans l’avion ... heu jusqu’à preuve du contraire la procédure d’arrêt d’urgence du réacteur,quelque en soit la cause, prévoit l’isolement en alimentation kérosène, le reste des manoeuvres des pilotes , commandant de bord ou non, ne relèvent surement pas des élucubrations du sytème "Morice". L’explosion du RR Avon est sans plus probable avec incendie et si le carburant a sans doute pu être isolé les liquides hydrauliques et huile ont sans douté été de bons combustibles. Probable aussi la déterioration classique de l’empennage : direction-profondeur.

La procédure si risque de collision, croiser un missile à 2000 mètres n’en n’est pas un,était à l’époque la procédure airmiss laquelle était nécessairement déclenchée par un message de l’avion au contrôle de zone aérienne ( tour, approche cta ou tma), message devant être confirmé par écrit avec les formulaires ad hoc et le document envoyé à la DGAC "régionale". Pour la petite histoire les contrôleurs aériens ont souvent eu des dépôts de procédure le 24 décembre, le traîneau du Père Noël occasionnant de multiples croisements intempestifs.

Quant aux boîtes noires ( pas noires d’ailleurs), là il faut lire les comptes rendus d’accidents.Il est permis de gloser.. si.. on en a envie.