Bonjour l’auteur, merci pour ce passionnant article. Et oui, la crise nous montre crument ou sont les timbrés, prêt à jeter des millions de personnes dans la pauvreté pour continuer à défendre les dogmes auxquels ils croient. Et il le soutiendront jusqu’à l’absurde, car avouer leur erreur signifierai pour toute cette classe politique de devoir céder sa place. On ne peut renier en quelques jours le libéralisme que l’on défends bec et ongles depuis 30 ans. C’est pourquoi il apparait évident maintenant que rien de bon n’arrivera sans qu’un nombre suffisant de dirigeant actuels soient remplacés par des hommes d’état aux idées neuves. La voie politique peut permettre cela en une dizaines d’années, ou la guerre (civile ou standard) avec un résultat peut-être un peu plus rapide. Merci aussi à Forest Ent dont les interventions sont toujours aussi intéréssantes. Je partage assez son idée qui, si j’ai bien compris, prone la régulation et un protectionnisme modéré mais pas dans un contexte de crise systémique ou l’urgence, c’est de ne pas sombrer corps et âme. En effet, la Finance, les marchés boursiers et la libre circulation des capitaux ont ceci de particulier qu’il faut les encadrer et fortement les restreindre, mais lorsqu’ils sont en bonne santé. Le faire alors qu’ils sont sur le point de tous faire faillite, c’est une pure folie, la folie furieuse de cette Europe là ! La Finance, les bourses, l’Europe de Barosso, Sarkozy et autre a effectué le hold-up parfait sur les contribuables. Sauvons-leur la mise parce que c’est notre intérêt à tous (même si quand même, ça fait sacrément mal aux fesses), mais n’oublions pas de réguler tout cela dès lors que on se retrouvera en eaux un peu plus calme.