@GDM
Quelques réponses à vos questions :
1. Oui, ils ont été indemnisés. Correctement ? C’est à voir. Ceux qui n’avaient pas de terres ont été perdants, car ils ont été indemnisés sur la base de la valeur de leurs terres, qui était leur bien principal. Certains s’en sont mieux sortis que d’autres pour traiter avec une administration qui les comprenait peu. Les indemnisateurs étaient des techniciens, pas des sociologues ou anthropologues.
2. Ils n’ont pas été dédommagés pour préjudice, mais seulement en fonction de leurs possessions.
3. Le fonds de commerce est un concept inexistant dans un village andin reculé.
4. Le financement provenait d’organismes multilatéraux (BID, etc.), le maìtre d’oeuvre était une société d’état, l’ingéniérie était française et italienne.
5. Je ne peux répondre à cette question.
6. Une fois indemnisés, les habitants ont été administrativement abandonnés et se sont réinstallés librement où ils le voulaient en suivant des stratégies propres.
7. Non. Il y a eu quelques manifestations suivies d’arrangements à l’amiable, mais aucune poursuite en justice.
L’ouvrage de Miguel Montoya cité dans l’article répond en détail à la question 6. Je vous le recommande si vous êtes intéressé par l’aspect social de cette immigration forcée.
12/12 22:20 - Jean-Luc Crucifix
@GDM Quelques réponses à vos questions : 1. Oui, ils ont été indemnisés. Correctement ? (...)
12/12 20:11 - gdm
@Jean-Luc Crucifix Peut-etre avez vous les réponses aux questions ci-dessous : 1. Les (...)
09/12 12:31 - K
texte interessant. Vous savez, ce probleme se pose a la construction de chaque barrage. En (...)
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