@ Tous :
Bois-Guisbert expose le problème du métissage dans son commentaire de 15 h 23, Gilles celui de son côté bénéfique, 14 h 03 et 15 h 08.
La diversité des races est une richesse et le métissage qu’une transition passagère, à une condition ! Que nous n’en fassions pas une apologie ! Comme les nazis faisaient celle de la race pure aryenne ?
Voir le problème sous l’angle de la richesse que représentent les races, c’est être positif. Chaque race à ses qualités et ses défauts.
Un lévrier est nul comme chien de recherche dans une avalanche, un chien policier dressé est excellent. Il sera nul pour la chasse au lièvre, etc.
Un Lapon dans une forêt tropicale sans un équipement sophistiqué est comme moi un homme mort, s’il doit y survivre plusieurs jours, tout comme un Africain sur la banquise (Ce qu’il en reste).
Le croisement des canidés et des chevaux n’est pas obligatoirement négatif, celui des métisses non plus.
Le croisement des " pur-sang ", chevaux arabes, avec des Percherons a donné les chevaux de courses que nous avons aujourd’hui, ce sont des chevaux qui ont subi un croisement (métissés). Ils sont une bénédiction pour les jockeys, mais pour la charrue ou comme cheval de trait, ils ne valent rien, tout dépend donc de l’utilisation !
Pour les mondialistes et les marchands, les métisses sont une aubaine, apatrides, issus de nationalités et de races différentes, facilement manipulables par l’argent et la réussite personnelle qui deviennent leurs buts essentiels.
Nous pouvons dore et déjà supprimer les Jeux Olympiques, comme le préconise Attali, Ils courront ou nageront, Coca cola, Danone, etc.
Le principal problème, celui que vous cachent les scientifiques, il est biologique… !
Les métisses sont des ponts à virus bactéries et autres maladies.
Si nous décidions de faire une seule espèce d’arbre, celle qui ne perd pas ses feuilles, qui réclament le moins d’eau, qui est la moins sensible aux feux ! Il suffirait d’un parasite ravageur pour en faire disparaître la quasi-totalité… !
Alors, Monsieur Gilles, la meilleure des choses c’est la diversité, d’ailleurs l’ennui naquit de l’uniformité.
En architecture, rien n’est plus dépriment que les cubes et leurs angles pointus et vifs. La beauté de certaines villes vient de la diversité de l’architecture des civilisations passées et à venir, quelques cubes deviendront des curiosités pour les générations futures. Si nous réussissons à modérer notre croissance ! Autrement la nature se chargera de nous renvoyer au chaos, soit aux grottes dont nous venons à peine de sortir, au regard de l’infinité du temps.
Bonne soirée à tous.