Well, well, well,
There’s a fucking mess in this box !
(voilà, ça c’était pour nos ami(e)s anglophones)
Quel bordel dans cette boîte !
Un peu dans le texte aussi, qui pourtant suit la ligne moricienne classique.
C’est à dire que ça part gentiment. Le contexte et les protagonistes sont introduits (aie !) simplement, calmement (yes !). On apprend les visites intéressées de nos trois sommités américaines. Jusque là tout va bien.
Une petite évocation des futures relations diplomatiques à la sauce Obama.
Et nous voilà aux commandes d’un RC-7B (le bien nommé) pour traquer du téléphone satellitaire de Colombie jusqu’en Afghanistan.
C’est donc la transition moricienne habituelle où l’on passe de l’humain au technologique (qui vole le plus souvent), qui fait bip bip et qui permet aux américains (en général) de faire la pluie et le beau temps, du fond des océans jusqu’à la planète mars, en passant par l’intégralité des orbites satellitaires disponibles autour de notre planète.
Evidemment on commence à redouter les passages in english, qui ne se font plus attendre, et, ce qui devait arriver arriva : on décroche rapidement avec ces histoires de téléphones...
Heureusement une rafale de HK MP5 (concurrent du UZI depuis des années ; puisque je vous le dis) vient nous rappeler le pourquoi de la photo avec le beau fauteuil tressé.
Et c’est reparti avec cette fois des bateaux, des hôtels, la base de Tarbella, du RDX par SMS surveillé par des drones...
Tout ça pour finir sur le coup de grâce : "Le coup d’état n’est pas loin"
La panique me prend. Mon dieu, je ne sais même plus de quel pays parle l’article. Quel coup d’état ? Par qui ? Où ça ? qui tire les ficelles ? (ah si, pour cette question je connais la réponse...).
Et en plus il faut recommencer demain avec la suite qui va certainement s’appeler
La boîte de Pandore des attaques de Bombay (2). C’est la seule chose dont je sois sûre après cette terrible épreuve.