@Céline Erlatif
Le discours explicatif macro-économique n’est pas pertinent pour comprendre les mécanismes monétaires. L’approche contractuelle de la monnaie est plus féconde et plus exacte. De plus, cette analyse contrcatuelle inclut les mécanismes monétaires des Banques privées écossaisses entre 1700 et 1850. Ces banques écossaises étaient des entreprises comemrciales concurentes et indépendante de l’Etat ecossais. Pendant 150 ans aucun usager n’a été lésé. Quelle que soit la banque qui l’avait émis, chaque billet a conservé sa valeur en or. Donc aucune inflation en 150 ans et un pays alors prospère.
Chaque billet de banque était alors un contrat unilatéral entre un banquier et un usager. Chaque banquier avait des actifs composé des reconnaissances de dettes et d’autres capitaux.
Aujourdhui, il est pertinent de rapeller qu’un billet de banque, quel que soit son support matériel, est une obligation du banquier envers l’usager. Le discours des actifs d’une entreprise est très précis à l’euro pres. La précision de la comptabilité d’une entreprise est toujours plus pertinent que de parler des "contreparties sur l’économie" ou, pire, de fumeuses "production en contrevaleur".
Votre définition par "des contreparties de la création économique réelle" est trop imprécis. Une creance est une valeur réelle. Elle se vend et s’achate. Elle a donc une valeur. Nul ne l’acheterai si elle n’avait pas de valeur. Parler de la valeur des actifs et de la valeur des créances sur les emprunteurs est plus compéhensible que ces expressions "fourre-tout" dont la seule définition est un autre débat universitaire.