@Léon
Un libéral peut se définir comme celui qui refuse de violer le droit de propriété d’autrui, qui refuse de violer le consentement d’autrui, et qui n’accepte pas d’être receleur d’argent volé. Et celui qui ne respecte pas cette règle ne peut se prétendre libéral. En persistez vous alors à dire que tout libéral, dans une telle définition, serait une "crapule libérale" ?
Je vous avais déjà posé cette même question en d’autres termes. Vous réponse fut positive. Vous aviez ajouté que ce terme de "crapule libérale" était un terme générique, car tout libéral ne peut être qu’un crapule qui se dissimule derrière un paravent de vertu.
Je cite une de vos déclarations sur ce thème : "crapule libérale est un terme génrique qui a pour but d’attirer l’attention sur le fait que les libéraux en se parant de toutes les vertus du monde ne sont que des hypocrites au service du plus fort et de l’exloitation de l’homme par l’homme."
Confirmez-vous encore une fois que tout libéral serait nécessairement une crapule ? Confirmez vous que le terme "crapule libérale" vise tout individu libéral ou qui s’affirme comme étant libéral ?
Cette question politique du respect du droit de propriété est au centre du débat entre socialistes et libéraux depuis bientôt deux siècles. Le socialisme viole le droit de propriété au non d’un droit à réduire une inégalité sociale, et "donc" à rétablir une "justice sociale". Les libéraux sont opposés à ce raisonnement socialiste de philosophie du Droit.
On peut se poser valablement la question de savoir si Robin des bois était une crapule qui vole pour donner aux pauvres. Mais accuser celui qui refuse de voler d’être un voleur exige des explications théoriques.