Bonjour,
Tout ça à l’air de tourner en rond, chacun en juge selon sa chapelle.
On pourrait penser que la situation n’est pas si mauvaise puisque les jeunes se réunissent pour débattre, ont envie de s’exprimer et qu’ils se réfèrent à diverses sources ; mais dans la pratique le doute me parait aussi de mise parce que je n’arrive pas à être rassuré quand notre société moderne prend les bébés à six semaines pour les mettre à la crèche et les lâche ,au mieux, seize ans plus tard, et au pire vingt à vingt cinq ans après ! le Q.I. en est peut-être amélioré mais quand est-il de l’autonomie sous tous ses aspects, de la créativité, de la santé mentale, de l’estime de soi, de l’empathie etc... quand on a subi cet enfermement toujours assorti d’un chef chargé de maintenir l’obéissance et de sanctionner les conformités aux dogmes ? quels besoins de routines se sont installés dans l’inconscient de ceux qui ont été réveillés toujours à la même heure (à l’âge où le sommeil est sacré) et qui ne peuvent jamais savoir ce qu’est la liberté, la liberté de créer car on les assoie sur une chaise et on les enferme, soit dans une salle de classe soit dans un habitat urbain inadapté ? heureusement, d’autres sont en alternance ; ceux-là ont quelques chances de se rétablir et de rééquiilibrer leurs fonctions mentales avec leurs compétences physiques, mais je suis à peu près sûr qu’il est trop tard à cet âge pour que leurs personnalité affective/émotionnelle
se guérisse d’un passé trop lourd.
Quelle époque !