Pour moi, cet article n’aurait jamais du passer la modération et être publié, même dans une tribune libre.
Voici quelques éléments :
Vous dites que les races existent et que vous n’allez pas prendre du temps à le prouver, les informations se trouvant sur internet. C’est un argument (très) facile. Avec ce type d’argument, je peux même prouver l’existence des Klingons, des elfes et du père Noël.
Si ces informations sont si faciles à trouver, pourquoi ne nous donnez-vous pas les liens ?
Dans votre analogie entre les gènes et des pièces de monnaies, vous confondez statistique et probabilité. Mais surtout vous ne prouvez rien. Pourquoi ne nous donnez nous pas la probabilité qu’un pompier japonais et une ballerine norvégiennes aient 85 pièces de monnaies identiques ? Ce n’est pas parce que un fait est concevable qu’il existe !
A moins de se référer à la loi du grand mathématicien Ul-Ul, la loi dite d’existence : "Tout ce qui existe est concevable, donc tout ce qui est concevable existe (à part ce qui est impossible)" (1)
Vous mélanger génétique, sociologie et géopolitique. Les définitions de "race", que vous utilisez dans ces trois domaines sont différentes. Mais cela vous ne le signalez pas !
Vous sous-entendez qu’un société homogène serait préférable. Malheureusement, les hommes n’ont pas besoin d’être différents pour se taper dessus.
Vous avancez la petite différence génétique entre le chimpanzé et l’homme comme preuve de l’importance des différences génétique minimes. Mais ainsi, votre définition de race n’a pas/plus de limite. Il existe des différences génétique entre mes frères et moi. Donc nous sommes de race différentes ! De même pour mes parents. Ils ne sont pas de la même race que moi. En fait je suis le premier, le dernier et le seul représentant de ma race selon votre définition !
De même, vous hiérarchisez les différences sans les argumenter. Pourquoi le critère de la couleur de la peau est-il plus important que celui de la couleur des cheveux ? Les blonds sont-ils une race à part ?
Valère Doumont
(1) "Le concombre masqué, la dimension poznave 1", Mandrika, p 14