@ fouad et autres soi-disants bien-pensant derrière leurs claviers à Neuilly ou ailleurs,
Ce n’est pas du patriotisme et je vous emmerde d’autant.
IIs assignent le sale travail aux autres (incluant leurs propres enfants) comme pour garder le sang hors de leurs mains. Ils s’extasient sur le sauvetage d’animaux par des humains et puis s’assoient devant un délicieux hamburger dans un taudis repeint en blanc en bas de la rue et hors de vue. Mais encore plus hypocrite, ils paient des taxes pour financer une association professionnelle d’hommes célèbres collectivement appelés politiciens, et puis se plaignent de la corruption dans le gouvernement.
Encore une fois, la plupart des gens veulent être libres de faire les choses (explorer, etc.) mais ils ont peur d’échouer.
La crainte de l’échec est manifestée par l’irresponsabilité, en particulier en déléguant ses responsabilités personnelles à d’autres là où le succès est incertain ou comporte des obligations que la personne n’est pas préparée à accepter. Ils veulent l’autorité (racine étymologique - "auteur"), mais ils n’accepteront aucune responsabilité ou obligation. En conséquence, ils chargent les politiciens d’affronter la réalité pour eux.
J’ai acheté une mangeoire, je l’ai suspendue derrière la maison et remplie de graines.
En une semaine nous avions des centaines d’oiseaux qui venaient se nourrir dans cette cabane où ils avaient accès à cette nourriture si facilement accessible et gratuite.
Ensuite les oiseaux ont commencé à faire des nids sous la véranda, au dessus de la table et près du barbecue.
Et puis il y a eu les excréments, il y en avait partout, sur les tuiles de patio, les chaises, la table, partout. Certains des oiseaux sont devenus menaçants, Ils plongeaient vers moi et essayaient de me piquer avec leur bec, même si j’étais celle qui les avait nourris en payant de ma propre poche. Certains autres oiseaux étaient très bruyants. Ils restaient près de la mangeoire à hurler et caqueter à toute heure du jour et de la nuit en demandant que je remplisse la mangeoire aussitôt que les graines commençaient à diminuer. Après quelques temps je ne pouvais même plus m’asseoir dans mon propre patio.
J’ai enlevé la mangeoire et trois jours plus tard les oiseaux étaient partis.
J’ai nettoyé les dégâts et enlevé les nids qu’ils avaient bâtis un peu partout sous la véranda.
En peu de temps la cour arrière est redevenue comme avant, tranquille, sereine et personne n’exigeant le droit à un repas gratuit.