Commentaire de Indépendance des Chercheurs sur « Gagner sa vie, ce n'est pas vivre »

Indépendance des Chercheurs 2 janvier 2009 10:56

En tout cas, les jeunes veulent gagner leur vie et vivre, et ils ont raison. C’est pourquoi il y a une ambiance de révolte à laquelle il ne semble pas que les institutions françaises et européennes sachent répondre.

S’il faut que les Etats donnent de l’argent à des industriels ou à des financiers pour qu’ils daignent ne pas délocaliser, pendant que les gens sont au chômage et ont de plus en plus de mal à vivre...

Justement, la science et la technologie fournissent des cas flagrants de vagues de délocalisations motivées par la simple recherche des standards sociaux les plus bas possible aux cours des deux dernières décennies.

Voir par exemple, dans notre blog "La Science au XXI Siècle" ( http://science21.blogs.courrierinternational.com/&nbsp ; ), ces articles de l’année 2008 :

Vers une délocalisation générale de la recherche scientifique française et européenne ?

Délocalisations, recherche scientifique et propagande politique

Recherche scientifique et technologique : où est la « guerre économique » ?

La déclaration du sommet du G20 du 15 novembre

Europe, jeunesse, révolte, délocalisations, dumping

Union Européenne, temps de travail et dumping social

Recherche, universités : une année de fausse route

etc...

Bonne année malgré tout !

Le Collectif Indépendance des Chercheurs

Répondre Signaler un abus

03/01 10:04 - marcoB12

J’ai aimé (votre texte, pas seulement la vie...). Je pense aussi que pour beaucoup (...)
03/01 09:40 - Gustm

Belle formulation ! Je m’étais fait le même genre de réflection, sous cet angle : ça (...)
03/01 06:37 - Absurde

GENIAL !!!!! LE MEILLEUR COM, VRAIMENT ! UN GRAND, GRAND, GRAND MERCI (...)
03/01 06:33 - Absurde

Salut Archibald ! L’aptitude au bonheur... Là on est dans une énigme métaphysique du (...)
03/01 00:22 - maharadh

Un peu d’humour nous en avons grandement besoin. Tu t’aperçois que tu vis en (...)
02/01 19:07 - Absurde

Bravo Archibald, ce temps-là je l’ai connu aussi, j’ai vécu il n’y a pas si (...)