il ne connait pas l’existence des illuminatis qui fonctionnent déjà « au-dessus » des gouvernements depuis tellement longtemps... ces messieurs se croient sages en maintenant la guerre partout où leurs intérêts seraient en danger... ils ont inventé la technocratie, ensemble de moyens de pression, suprêmes atifices vaudous sous couvert de société matérialiste... et un organisme supra-naional auxquel les pays doivent se plier : le conseil de sécurité, réservé lui à une élite richissime faite des pays les plus riches...idéal pour de grands manipulateurs... et certains voudraient reproduire ce genre de folie élitiste insensée qui ne sait en définitive que se casser la gueule...
la vérité je crois est que tout système est mauvais quand la bonne volonté entre les hommes fait défaut, quand elle est présente tout système s’améliore.
Voter est un droit, respirer aussi... a-t-on le droit de ne pas respirer ? Questions parfois inutiles. Cherchons-nous un consensus pour construire la société ? Ou cherchons-nous à éradiquer ceux qui nous déplaisent ? Dans le deuxième cas inutile d’argumenter, on n’est déjà plus dans la société des hommes.
La cave de Platon est plus profonde que décrite... regardons-nous le feu initial qui nous prête vie ou croyons-nous exister en tant que formes indépendantes, comme les ombres projetées et nous hypnotisons-nous de leurs danses nerveuses ? Dans le cas où c’est le feu que nous regardons nous oublions nos particularismes, nos différences sont l’expression de la multiplicité de la lumière du feu, les ombres sont les formes de nous-mêmes vouées à disparaître aussi sûrement qu’elles dansent devant nous. Le lien à l’origine de notre existence ou la foi absconne en nous-mêmes devant l’évidente incapacité de maîtriser une existencee qui ne nous appartient pas, qui nous est prêtée seulement ? La question aux hommes reste toujours ouverte et renouvelée.
La question du vote ou non ressemble étrangement aux passagers d’un trois-mats qui se demandent s’il ne vaudrait pas mieux refaire une galère.