Bonsoir,
je n’avais déjà pas apprécié l’article sur R. Dati, plein d’une hargne suspecte et partant du postulat erroné que la photo avait été prise dans l’intimité pour donner l’illusion d’une photo volée ...
(à ce propos, vous aviez réclamé, Mr Villach, des arguments appuyant mon désaccord sur votre thèse, je vous les ai fournis et vous n’avez jamais daigné me répondre...)
Là, je découvre un autre pan de la haine que Mr Villach voue à celles et ceux qui font la une des magazines.
L’auteur, qualifiant tous ceux qui s’opposent à cet étalage obsessionnel de trolls sans cervelle, a beau jeu de réclamer des arguments...
Il n’y a rien à critiquer dans cet article tant il est creux.
Il n’y a rien à y redire tant ce qui y est écrit n’est que le reflet de l’opinion de son auteur, opinion dont je commence à croire qu’elle trouve son origine dans une malsaine jalousie.
Alors vous trouverez dans les commentaires ceux qui sont d’accord, et ceux qui ne le sont pas, chacun d’eux ayant raison puisque, finalement, il n’est jamais question que d’apprécier, ou non, Marie Drucker ou de croire, ou non, qu’elle doit son parcours à son pédigrée.
Le seul qui ait tort, finalement, c’est Villach, qui sort l’artillerie lourde de la mauvaise humeur, de la mauvaise foi, de la méchanceté gratuite et de la bassesse alors qu’il aurait simplement pu dire : "j’aime pô cette fille".
Du vent pour rien,
Une tribune de plus pour l’égo de l’auteur,
Le renouveau des Villach’People.
cordialement,
Castor