Marie Drucker en couverture de « Psychologies » : un exemple de promotion par le travail, à l’en croire
La famille Drucker n’est pas la plus maltraitée par les médias. Dans la quinzaine écoulée, elle a réussi à faire la couverture de deux magazines et a même été le sujet d’une émission de France 3, la chaîne publique. Après avoir posé sur Paris-Match avec Tonton Michel, Marie offre son visage en très gros plan sur « Psychologies ».
"L’information indifférente" aux mains des maîtres d’hôtel
C’est fou, serait-on tenté de conclure hâtivement, comme les médias tendent volontiers le micro à ceux qui n’ont rien à dire. On aurait tort. « L’information indifférente » qu’illustrent avec talent l’oncle et la nièce Drucker, est trop importante pour être laissée au hasard : 1- elle sert sans doute à l’entrée en relation comme « Allo ? ne quittez pas ! » ; 2- elle permet surtout l’exhibition de modèles avec les stars, et 3- par son omniprésence, elle contribue à l’exclusion des informations qui fâchent et, partant, à une forme de censure discrète. « L’information indifférente » ne saurait donc être en de meilleures mains que dans celles de maîtres d’hôtel, présentateurs d’émission de variétés ou de journaux télévisés, dont le métier est de n’avoir que l’opinion du patron et celle du client. Nulle fâcherie à redouter de leurs propos, on peut leur faire confiance. Ils n’ont pas leur pareil pour faire croire à la lune, comme le montre la couverture de Psychologies .
Une légende : le rituel éloge du travail
C’est un usage du magazine que de présenter son invité en gros plan. De face, à hauteur d’yeux, et hors-contexte sur fond uni, Mlle Drucker envahit donc la couverture pour attirer tous les regards et regarder le lecteur, selon le procédé de l’image mise en abyme qui feint d’instaurer une relation interpersonnelle avec lui. Hésitant entre gravité et esquisse de sourire, son expression est la métonymie d’une demoiselle sûre d’elle-même qui a à délivrer une pensée profonde, étincelante comme un diamant : « Le travail me protège des doutes, » lit-on en légende. On en est ébloui.
Mais une fois l’éclat jeté, l’aphorisme laisse perplexe. C’est du diamant ou du strass ? Par quel bout donc le prendre pour lui trouver un sens ? On flaire tout de suite la pose. Le doute en impose toujours depuis Descartes. N’est-il pas la preuve de la conscience qui s’éprouve et d’une exigence personnelle toujours insatisfaite ? « Je suis extrêmement exigeante », confirme justement la demoiselle en cours d’interview sans plus de manière après avoir parlé d’elle-même comme de « quelqu’un de pudique. » Il n’y pas de doute, on l’avait deviné !
Mais de quel doute la pauvre enfant paraît-elle donc rongée quand on la voit, après Paris-Match, dans la quinzaine, faire « la une » de ce magazine où elle ne laisse de place à personne ? Cette fringale d’affichage, en plus de ses expositions répétées à la télévision, ne contredit-elle pas une âme tourmentée ? Ne révèle-t-elle pas plutôt une demoiselle qui, ne doutant de rien, et n’ayant rien à dire, est emportée par un narcissisme insatiable courant après les projecteurs, sans rencontrer, il faut bien le dire, beaucoup d’obstacles. Quels doutes sur ses capacités peuvent bien naître d’une ascension professionnelle aussi rapide à 34 ans tout juste ? Ou alors, de façon lancinante, douterait-elle de la devoir à autre chose qu’à ses qualités propres et à un « travail » énorme ? La question mérite d’être posée.
Un profil qui en tout cas ne fait pas de doute
1- Un héritage culturel familial cossu
On connaît des candidats moins bien lotis. Nul doute que l’origine familiale ait pu servir de tremplin. À tout le moins, le fait d’appartenir à une famille qui s’est fait un nom dans le milieu de la télévision, ne paraît pas avoir été un obstacle à sa carrière. Un père qui pendant trente ans, à des postes de responsabilités divers, est passé de l’ORTF à la 1ère chaîne de télévision, puis à la SFP, à RTL, à Antenne 2, pour finir à M6 ne semble pas avoir beaucoup nui à sa fille, pas plus que, de son côté, l’oncle Michel n’a fait d’ombre à sa nièce.
2- Un bagage culturel initial un peu mince
Lirait-elle parfois, cependant, comme un reproche sur le visage de ses concurrents ? C’est humain de l’imaginer. Car, pour commencer, quel bagage culturel initial l’a-t-elle, sans contestation possible, distinguée à leur détriment ? À l’auteur de l’interview qui s’interroge et la froisse en prétendant qu’elle aurait été « mauvaise élève », Mlle Drucker réplique vertement qu’ « (elle) ne (lui) permet pas de dire ça ! » Si « (elle) détestait l’école, assure-t-elle, (c’était) au point de tout faire pour passer dans la classe supérieure, en trichant même parfois grâce aux petits papiers cachés dans (ses) poches. » Elle s’ennuyait. « (Elle a eu son) bac le plus tôt possible. (Elle a) fait un stage au « Figaro grandes écoles », (elle écrivait) des petits articles et ( se disait) : « Mon Dieu, que la vie est belle ! » Et, à partir de ce jour-là, (elle a) travaillé énormément. » Toujours avec des petits papiers ou en se glissant dans ceux des gens de pouvoir ? Elle ne le dit pas.
3- Un tri sur apparence physique
Mais après tout, on veut bien croire à son travail de forçat. Seulement, si peu d’années se sont écoulées avant qu’elle apparaisse en majesté sur les écrans ! Quel est donc ce travail acharné qui fait s’asseoir si vite dans le fauteuil d’une présentatrice de journal télévisé ? Est-ce affaire de travail ou d’apparence physique ? À regarder la faune des présentatrices, il semble que le critère physique l’emporte sur tous les autres : disgraciées s’abstenir ! Le travail est de bien peu de secours pour corriger la disgrâce, même celui d’une maquilleuse chevronnée. Mlle Drucker, il faut le reconnaître, n’en a pas eu besoin.
On objectera que c’est le profil professionnel qui l’impose, comme autrefois celui d’hôtesse de l’air. C’est vrai à une correction près toutefois : ce choix est en fait dicté par une soumission aux règles de « la relation d’information ». Le réflexe d’attirance sexuelle que déclenche une jolie fille ou un joli garçon n’est tant recherché que pour faire oublier les propos qu’ils tiennent. Du coup, qu’importe ce qu’ils disent, balivernes ou bobards, s’ils captent l’attention ! Tel est d’ailleurs l’un des sens du paradoxe de Mac Luhan « Le médium est le message ».
4- Un narcissisme apprécié
Il semble que ce type de péronnelle soit aujourd’hui activement recherchée pour la diffusion de l’information officielle. Même sans avoir l’héritage de Mlle Drucker, un bagage culturel initial modeste suffit à les rendre malléables à souhait dans les mains des maîtres des médias traditionnels. Elles ne connaissent pas grand-chose à la complexité de « la relation d’information ». C’est tant mieux ! On se souvient, par exemple, de Mlle Drucker s’asseyant de manière grotesque entre les consoles de la régie de France 3 pour faire croire ingénument à sa maîtrise de l’information universelle et de la technologie qui y accède (1).
Pour couronner le tout, cette ignorance se double d’un narcissisme bienvenu : comment ne pas se croire quelqu’un, fût-on une baudruche, à force de parader et de débiter son boniment à l’écran devant des millions de gens ? « Pour progresser, avoue ingénument Mlle Drucker elle-même, je me regarde beaucoup, je me réécoute, et je n’ai aucun problème avec ça. Je me vois telle que je suis. » On n’en doute pas. Voilà donc le travail dont parlait l’heureuse enfant.
On comprend mieux l’éloge du travail par la demoiselle, si famille, culture modeste, apparence physique et narcissisme sont des critères décisifs pour enlever une place. Comment affronter le regard des autres, voire supporter le sien quand on sait que le travail est le seul critère de légitimité qui suscite le réflexe d’adhésion en matière de postes et de biens. Qu’à cela ne tienne, il suffit de le balancer comme leurre de diversion au peuple qui n’y verra que du feu et feindre d’y croire soi-même par compensation pour tenter de masquer cette petite cuiller d’argent qu’en naissant on a eu dans la bouche et qui reste aujourd’hui en travers de la gorge. Paul Villach
(1) Paul Villach, « Une quête pathétique de crédibilité entre posture... et imposture », AGORAVOX, 1er juin 2006
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85 réactions à cet article
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P.VILLACH
Votre technique est au point.
A partir d’une analyse d’affiche qui n’engage que vous, vous concluez en dénigrant la réussite des personnes qui ne correspondent pas à vos critères personnels d’évaluation et en particulier la culture.
S’il est exact que dans la fonction publique, les seuls moyens de progresser sont conditionnés par le diplôme et l’ancienneté, les règles qui s’appliquent ailleurs sont la compétence et le mérite.
Croyez bien que si M.Drucker n’avait pas montré un potentiel suffisant, sa direction ne l’aurait pas recrutée (même avec un tonton connu) et si elle n’est pas virée, celà signifie qu’elle répond aux attentes de ses patrons. Ce n’est pas plus compliqué.
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Un n’ième complot dénoncé par Villach... Ca devient lassant et le coté anti-réussite et antisémite de la diatribe nous montre encore une fois qui est ce triste sire
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Antisémite ? Elle est juive ? J’avoue que je l’gnorais et que je m’en fous. Mais ce qui est certain, c’est que rien dans l’article ne permet de le déduire donc votre accusation est tout simplement mensongère.
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@ Traroth
Tous ces trolls ne sont pas à ça près ! Leur mission est de détruire ! Ils ne sont pas regardants sur les moyens !
Il faut salir, salir et encore salir !
Ils n’ont pas le niveau intellectuel suffisant pour soutenir une argumentation ! Le seul argumentaire dont il dispose c’est l’attaque personnelle comme leurre de diversion pour faire oublier une démonstration !
Dans le cas d’espèce, on se demande bien où on peut chercher une approche ethniste de ma critique de Mlle Drucker ! Mais l’accusation fait toujours son effet. Paul Villach -
Les Juifs souffriront un jour de la banalisation de cette accusation...
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C’est savoureux... d’autant plus que vous avez omis de mentionner sa relation avec M. Baroin...
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La Bulle a écrit des livres largement non lus et hélas non mis au cimetière des livres oubliés. Il a été universitaire, ce qui donne droit à jugement de valeur. Il fut aussi fondateur d’une association dont on cherchera l’importance et la trace, suivez mon regard.
Décortiquant toutes les failles de notre société, il réagit avec pertinence à toutes les couvertures de magazines « people » ou tout lancement de campagne de publicité. C’est un de ses credos ! Là où vous ne voyez, par exemple, qu’une unième Madame Machin , pin up ou pas, qu’un personnage amusant pour illustrer le thème, lui vous montre toute la duplicité de l’image, vous en martèle toute l’intericonicité, quitte à se répéter.
Ses articles intello-critico-éduco-socio sont pain béni ! D’une part, on en distingue peu la hauteur mais beaucoup y voit de la profondeur, d’autre part, faute d’analyse, le plus souvent, les commentaires brossent dans le sens du poil ce qui est qualifié par l’auteur d’apport d’importance ! Malheur à l’olibrius qui ose formuler quelque réserve, quelque critique il est vite et péremptoirement classé d’importun, de médiocre perturbateur, peu digne d’être apprécié, proche du vulgum pecus. Ceci est dit et non redit, qu’il baigne dans son jus le misérable !
La culture est-elle bien dispensée, bien partagée ? La Bulle ne le croit pas ! Aussi étale-t-il la sienne. Quelle fine analyse s’en suit. Toute notre société y passe, tous les travers sont montrés, toutes les fautes de langage sont répertoriées, du subjonctif au relatif tout est au passif, les manques repérés, toutes les mauvaises réformes signalées. Et toutes ces marionnettes du monde du devant de scène, politiques ou non, il vous les montre dans le vrai subconscient, dans les médiocrités, dans les agissements pernicieux. Ha ! Que n’a-t-on La Bulle comme ministre de l’Education nationale et de la Santé intellectuelle !
On subodore bien quelque rancœur à l’encontre de son ancienne maison : mésentente, désamour ? Qu’importe ! On sait ce que l’humanité doit au malheur ou à la souffrance et le poète a justement dit : « Les chants désespérés sont les chants les plus beaux ». Nous en bénéficions.
Aussi l’Internet étant là et Agoravox ici, on s’épanche donc, on glose, on juge. On forge, on triture, La Bulle faisant partie des esprits autoproclamés bien pensants et savants, il apporte sa généreuse contribution au jugement adéquat, à la rigoureuse volée de bois vert assénée à tous ces paltoquets, ces ineptes qui osent encore se targuer de penser ou d’agir sans respecter la vision « bulliène » du monde.
Ainsi passe-t-on d’articles sur des évènements médiatiques (surtout) à d’autres pour quelques faits sociétaux où le jugement importe plus que l’analyse : dura lex La bulle lex, mais sans perdre de vue les affaires du Mammouth si porteuses de polémiques beaucoup ! Là l’Olympe se prononce sans détour : simpla lex : a tort, a tort le grand cornac !
La Bulle a donc sa sphère, de sentences à sentencieux, il est reconnu, il peut adouber alors, ceci engageant toujours le même cérémonial : « Mon cher…. ».Il partage cela va de soi, avec d’autres cette vue pessimiste sur la plèbe et l’élite médiocre qu’elle mérite. Non déclaré on pense cependant à un aréopage émettant des vérités, sans doute, bonnes à méditer, que nul n’en ignore mais qu’hélas nous avons tellement de mal à percevoir.
Merci La bulle sans vous, notre déculturation eût été totale, grâce à vos écrits une lueur d’espoir point à l’horizon !
Jules Renard disait : « Un pédant est un homme qui digère mal intellectuellement ».
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Superbement exprimé, grangeoisi. Tous mes compliments.
Et voyez comme du Haut de sa Superbe Sagesse, et par le truchement de son intericonicité, la Bulle voit, juge et pense (aïe !) et nous livre ses attendus sur les vilaines gens coupables de monopolisationnisme des médias dont s’abreuve le populo, ignorant des dangers encourus !
Mais voyez comme la Bulle, par le double truchement de sa Métonymie et sa Mise Hors-Contexte, distille finement sa Très Grande Science, qui a cette fois posé son regard sur une publication dont le titre suffit à rassurer sur le grand Intellect de la Bulle : Psychologies, rien que ça !
Mais c’est que ça des véritables prétentions à l’intelligence, cette Bulle...
Et cette fois, la Bulle s’en prend à une personne dont il ne sait rigoureusement rien d’autre que ce qu’on peut y glaner dans les torche-c.. qui font son ordinaire : la dame a un père et un oncle.
- Ah ?
- Oui mais connus et riches !
- Ah, alors...
Mais qu’à cela ne tienne : la Bulle sait.
La Bulle sait extirper d’une photo format identité toute l’information que le bon peuple abruti ne sait pas y voir.
Et par le triple truchement de l’Aporie, la Mise en Abyme et l’Information Donnée, la Bulle exécute en quelques paragraphes l’outrecuidante "péronelle" qui eut l’audace d’être jeune, jolie, dotée d’un certain talent et affublée d’un père et d’un oncle connus, et riches de surcroît ! Et qui osa faire la couverture d’un magazine, alors que la Bulle en est à commettre ses crachotis sur Agoravox, espérant un jour faire, lui au moins ! une couv’ à la mesure de son Immense Talent. Punissant l’insolente de tant de célébrité indue, la Bulle a procédé à la mise à mort sous les yeux du public ravi de l’élégance du toréador (mais si ! puisqu’on vous le dit !).
C’est beau à en pleurer d’émotion ; merci à vous, la Bulle de nous révéler la Lumière. Pour un peu,je vous embrasserais, tiens... -
@ Grangeoisi
Manifestement vous digérez mal, et vous n’êtes pourtant pas pédant, car vous n’en avez pas les moyens.
1- Votre règle est non pas d’opposer des arguments à ceux qu’un article vous présente, mais, conformément aux méthodes des politicards sans foi ni loi, de procéder par attaques personnelles. Cela vous juge !
En ce sens, vous êtes ce qu’on appelle sur Internet un troll.
2- Vous ne servez donc à rien et surtout pas à enrichir un débat.
3- Vous venez simplement lire ce qui vous révulse avec une constance accablante. On est amené à ce demander si votre médecin ne vous à pas précrit quelques cures de masochisme. Je vois que ça vous fait du bien. Quelques autres trolls vous accompagnent dans la cure et ça leur fait du bien aussi !
Je vais devoir demander à la Sécurité Sociale si je ne pourrais pas vous facturer chacune de vos interventions ridicules, car j’ai le sentiment de faire de la concurrence déloyale au monde de la médecine et de la pharmacie.
Et - qui sait ? - si vous deviez payez à chaque intervention seriez vous moins prodigues en vomissures imbéciles.
Mais rassurez-vous, je le dis sans mépris, obéissant à la règle de Chateaubriand : "Il faut être économe de son mépris, vu le grand nombre de nécessiteux !" Vous avez beau faire partie de ces nécessiteux, vous repartirez sans rien ! Paul Villach
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Vous avez raison Paul : Charité bien ordonnée commence par soi même :)
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M’étonne qu’on vous ait moinssé Grangeoisi, mais comme d’hab, lisant les deux premiers paagraphes, certains ont cru que vous voliez au secours de l’auteur
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Pourquoi tant de haine ?
Qu’a fait cette journaliste pour mériter votre ire ?
Soyons objectif : le PAF a depuis une vingtaine d’années une solide tradition de népotisme, et l’on ne compte plus les "fils de" ou "fille de" au cinéma, dans les séries TV, ou sur les plateaux.
Il se trouve que, pour avoir observé Mme Drucker lors de son passage à France3, je lui ai trouvé des compétences au moins égales à celles de ses homologues. Et même une neutralité politique plutôt appréciable malgré sa vie privée. Et que donc, sur un critère strictement professionnel, je ne vois guère quoi reprocher à cette dame. Le reste n’est que pratique courante du milieu, et sans intérêt.
J’en reviens donc à ma question initiale... pourquoi tant de haine, envers cette journaliste en particulier ?-
D’accord avec Voltaire. Marie Drucker est plutôt compétente dans son job, du moins dans les limites qui lui sont assignées par sa rédaction. Personnellement, je déteste le népotisme, mais si le fait d’être "fils ou fille de" (ou nièce) ne doit pas constituer un avantage, il ne doit pas non plus être un handicap. Mon jugement serait évidemment différent si elle était moins compétente que ses collègues présentateurs sur France 2, ce qui n’est pas le cas, de mon point de vue.
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Paul Villach,
J’ai pu acquérir des notices pour micro ondes que je peux vous transmettre pour les besoins d’un futur article.
Cordialement.
Syrius.-
j ai jeté un coup d’oeil à votre article...
Deux choses :
- d’une part c’est un pur procès d’intention, je ne vois pas trace de journalisme.
- d’autre part, toujours ce procédé d’auto référence qui ne vous rend que plus drôle dans votre bouffissure suffisante. -
Parce que vous ça ne vous bassine pas de voir que le pouvoir de l’audiovisuel se transmette comme ça, de père en fille. Croyez-vous que d’autres journalistes tout aussi compétentes que Mademoiselle Drucker ne méritaient pas ce poste ? Seulement, elles n’appartiennent pas à la même communauté, ça commence à devenir un problème dans l’audiovisuel.
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C est tes propos ouvertement antisémite qui commencent à être le vrai problème. La communauté des frustrés qui n’arrivent à rien et rejettent systématiquement leur haine sur ceux qui d’après eux réussissent illégitimement (ce qui rendrait leur propre échec logique !) devient lassante. Reste dans ton trou à rats à pleurer que le monde est injuste, tu vas voir, ca va finir par porter ses fruits.
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Et alors ?
D’après toi Appoline, Marie Drucker devrait pointer au chômage parce qu’elle a des parents connus dans le métier ?
Brillante idée ! Tu devrais en parler à Mazarine Pingeot ou à Martine Aubry ! -
@ Syrius,
Allons, mon cher, un peu de retenue dans vos propos. Sachez, que je ne fais que constater ce qui est. Je vous rassure, je n’ai pas pour habitude de pleurer sur qui que ce soit à commencer par moi-même. Je me soucie des autres, contrairement à certains.
N’employez pas de mot dont vous n’avez même pas idée de ce que cela représente. Par ailleurs, contrairement à beaucoup je sais assumer mes choix et faire face, que l’adversaire soit un très grand ou un tout petit. Echec, dîtes-vous ! si vous saviez..... -
@ Archibald,
Oh la bijou, on se calme, on s’organise. Nous n’avons pas élevé les biquettes ensemble -
@ l’homme pressé,
Remarque, tu n’as pas tout à fait tort. Je vais arrêter les comémo et les devoirs de mon père m’a transmis à sa mort. Après tout, il n’était qu’un héros de guerre. -
Hé, hé ! Bof ! Joli aussi votre texte !
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Le travail me protège des doutes
Grand bien lui fasse ! Si cela n’avait pas déjà été détourné de son sens, on pourrait dire Arbeit macht frei. Cette religion du travail (d’ailleurs il est question du rituel éloge du travail) ! En anglais on utilise workaholic, en France il est question d’avoir la tête dans le guidon.
C’est le doute qui permet d’avancer. Si vous ne doutez pas de votre orthographe, elle sera souvent mauvaise. Si vous ne doutez pas de votre idée, vous demanderez aux enfants de se souvenir d’un enfant victime de la Shoah.
Si vous ne doutez pas, comment élévez-vous vos enfants ?
Bien sûr, le doute ne doit pas empêcher de prendre des décisions, mais en son temps.
je pense que le choix de la photo en fin d’article n’est pas neutre :
elle pourrait presque être en noir et blanc, la couleur ne permet pas le binaire, le bon ou le mauvais
un homme et des femmes
l’homme tourné vers l’appareil photo
les femmes tournées vers l’homme mais qui regardent aussi vers l’appareil photo
Le bagage culturel de MD comprend, selon wikipedia, une licence de lettres modernes à la Sorbonne et je pense qu’elle a quand même appris certaines choses au cours de sa carrière
Pour le reste, je découvre cette dame et l’oublie tout de suite. Je retiens par contre les doutes qu’exprimait hier Jeanne Moreau sur France-culture en ce qui concerne l’interprétation d’une pièce. Cela vaut bien mieux que toutes les promotions au 20 heures.
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Vous n’avez pas lu Pascal ? Le jeu, le travail, l’occupation, protège, détourne du souci. Face à psychologie, elle explique par quelle méthode elle échappe aux soucis de son quotidien qui lui bouffent la vie.
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Excellent article
Je ne sais comment elle a réussi à embringuer gallo dans ses "émissions républicaines" ni comment elle "s’impose" à france télé ou europe 1 mais une évidence s’impose aussi : elle est nulle, sans aucune personnalité, il faut être aveugle (ou aveuglé par sa moue, seul vague attrait d’un visage fade) pour ne pas s’en rendre compte.
Il reste à espérer qu’on n’est pas parti avec elle pour un nouveau demi-siècle druckérien de mollesse trés ennuyeuse et largement étalée dans le paf. On en arriverait même alors à regretter son oncle qui lui au moins a certaines qualités (dont l’intelligence, la modestie et l’absence de susceptibilité ne font pas partie !).-
Marie Drucker ne m’intéresse pas, aussi n’ai-je pas lu cet article. De toute manière, je ne lis jamais les écrits de M. Villach. L’ego hypertrophié de ce rédacteur qui se cite lui-même à tout bout de champ dans ses articles (comme c’est encore le cas ici) et qui, à chacune de ses interventions, signe d’un autoritaire "Paul Villach", encadrant ainsi tous ses commentaires de ses nom et prénom, ne mérite qu’une indifférence polie.
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@ John Maclane
1- Au moins, vous, vous passez aux aveux avec une ingénuité dont vous ne percevez même pas le ridicule ! Je ne lis pas les articles d’un rédacteur mais j’éprouve le besoin de venir y déposer un commentaire sans intérêt pour le débat ! Vous n’avez rien d’autre à faire ? Allez donc écouter les Drucker !
Comprenne qui pourra la logique ! Vous faites partie vous aussi d’une bande de trolls qui écument Internet ?
2- Pour ce qui est des références à des articles précédents qu’il m’arrive de placer en notes, si vous m’aviez lu vous en auriez compris la raison : c’est tout simplement pour renvoyer le lecteur à de plus amples développements, si ça lui dit, quand j’ai dû faire allusion à un sujet que j’ai déjà traité. Je suis navré que ça vous attriste, puisqu’il faut encore lire et que vous ne savez pas faire !
3- Mais si vous voulez êtres crédible, lisez d’abord et puis, seulement après, faites votre commentaire si le coeur vous en dit et que vous pouvez apporter quelques arguments utiles au débat.
Maintenant je comprends que la critique des médias que je fais, vous insupporte. Ne consultez pas ! C’est normal ! Paul Villach -
Paul Villach,
l’humilité et le doute devraient vous conduire à réfléchir sur ce qui pousse un tel nombre de agoranautes indifférents au mieux, agressifs sinon à votre égard à témoigner railleries et attaques à votre égard. Encore faut il en être (raisonnablement) pourvu.
Vous ne prenez pourtant aucune posture idéologique, aucun risque dans vos articles. Vous ne pouvez donc mettre la faute sur le partisianisme. Alors Paul Villach. Quid ? Nous gratitiferez nous d’un "Pourquoi je dérange les béotiens" bardé d’auto références avec une couverture de Télé7jours en guise d’illustration ? -
@ Syrius
"réfléchir sur ce qui pousse un tel nombre de agoranautes indifférents au mieux, agressifs sinon à votre égard à témoigner railleries et attaques à votre égard."
Mais c’est tout réfléchi, monsieur !
1- Des individus qui ne connaissent que l’injure et l’attaque personnelle !
2- Des esprits limités qui sont incapables d’opposer un argument à un autre argument !
3- Des trolls qui polluent le débat pour des raisons qui leurs sont propres, comme le besoin de se soigner !
4- Une poignée de tristes sires, toujours les mêmes !
Vous manquez singulièrement de perspicacité ! Normal, puisque vous en faites partie ! Paul Villach
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Oh Paul VIllach, vous me décevez. Le plus étonnant est que vous y parveniez encore !
Vous tombez dans l’insulte gratuite et débilitante du plus triste effet. A peine un sentiment de supériorité, des phrases bien courtes qui ne traduisent pas votre besoin maladif de reconnaissance. Même pas une référence à vous même ! Et vous finissez avec une bien maigre attaque, tout juste stylisée.
Vous ne serez décidément jamais pour moi plus qu’un amuse gueule et une gueule amusante.
Cordialement
Paul Villach
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Mon cher Paul
Comme vous y allez ! Il ne me semble pas que les commentaires de Syrius contiennent la moindre attaque personnelle.
Ses interventions d’une manière générale sont plutôt argumentées et cohérentes, je ne vois pas ce qui vous permets de le classer aussi froidement parmi les trolls sur de simples assertions qui plus est lorsqu’elles vous interrogent. Vous poser une question serait-il le signe d’un trollage ?
Faut-il avaler sans broncher vos disgressions - quasi obsessionnelles sur la presse people vous en conviendrez- et sans esprit critique ?
Croyez-vous que nous soyons préoccupés par les titres du magazine Psychologie au point de s’interroger comme vous le faite à chaque fois qu’un exemplaire vous tombe entre les mains ?
Faudra-t-il marquer en épitathe : Il lisait trop la presse, il ne lira pas le dernier titre.
PS : Une question d’ordre technique si vous le permettez, lisez-vous aux toilettes tous ces magazines ou arpentez-vous les trottoirs près des kiosques à journaux déguisé en panthère rose pour voir les titres ?
J’espère tout de même que vous n’allez pas dans cette quête quasi mystique gaspiller votre budget en alimentant la tirelire de ces magazines, ce serait un comble ! -
@ Concombre démasqué
Il est tout de même curieux que des individus qu’un article n’intéresse pas, viennent perdre leur temps, se répandre en injure et répéter jusqu’à plus soif que ça ne les intéresse pas !
Mais, messieurs, c’est votre droit ! Allez donc voir ailleurs où l’herbe est plus verte ! Et laissez ceux que ça intéresse s’y intéresser ! Faites un "fan’club Drucker" par exemple !
Ou alors faut-il en déduire que vous poursuivez d’autres objectifs en polluant le fil ? Vous soigner serait le plus noble et le plus légitime ! Paul Villach -
Pour ma part je trouve en effet vos sujets d’un manque d’intérêt pétrifiant.
Néanmoins, je viens m’y amuser quand je suis las des conflits pour votre suffisance et le délice de vous voir attaquer à l’envi une couverture de magasine. Ou déblatérer sur des sujets que vous ignorez (comme la justice). Vous êtes la consécration même de ce système qui n’a rien à dire mais qui ne peut s’empêcher de prendre de l’espace public commun pour satisfaire son ego. De fait vous vous exposez davantage, et un lectorat digne de ce nom saura railler le gros fat suffisant qui se cache derrière vos lignes. Dont acte. -
@ Syrius
Vous me voyez ravi de contribuer à votre thérapie !
Un conseil ! Cette thérapie serait plus efficace si vous pouviez formuler un seul argument qui tenterait de réfuter ceux que j’avance pour montrer les effets pervers du recrutement de péronnelles ignorantes dans un domaine aussi essentiel que celui de l’information. Paul Villach -
Commencez par démontrer qu’elle est ignorante.
On ne vous a pas entendu tellement plus pour la promotion canapé de Laurence Ferrari, si ? Parler de népotisme etr de superficialité dans les médias ou la communication, c est comme parler de l’utilité des peoples. Et ne comptez pas sur moi pour enfoncer des portes ouvertes.
C’est le fait de voir "journaliste citoyen" (rarement l’un et l’autre de ces termes auront été aussi mal portés !) dans vos interventions auprès des médias suisse qui vous excite ? Avouez tout, canaillou ! -
Mr Paul (J’aime bien vous appeler comme ça, ça a un côté Audiard qui n’est pas pour me déplaire)
Ne vous en déplaise, à défaut de trouver vos articles sur la presse intéressants et utiles pour diverses raisons que si vous le souhaitez je peux vous exprimer, je me plais à lire les commentaires qui s’y trouvent. Evidemment mon chez Paul j’ai d’autres préoccupations que la recherche d’explication des titres de Voici et autres magazines qui semblent avoir sur vous un attrait que je qualifierais gentimment de démesuré.
Je vous trouve bien critique à l’égard d’une femme que vous ne connaissez pas, et je sens derrière vos propos sur cette jeune femme une pointe de jalousie, que je peux néanmoins comprendre, mais que je résumerais ainsi : Pourquoi ne suis-je pas mieux né ?
Il est de notoriété publique que le monde de la télévision est un monde de bisounours où les médiocres, je parle bien sur des critères propres aux chaines de télé actuelles, puissent faire un parcours durable juste parce qu’ils sont le fils ou la fille de.
N’avez-vous pas le sentiment que c’est un procès d’intention un peu trop rapide et surtout facile qui vous attirera certes les compliments des frustrés et des jaloux, mais qui ne feront pas de vous le journaliste citoyen que vous pourriez espérer.
L’année 2009 commence mon cher Paul, les titres ne s’amélioreront pas, mais si cela peut vous permettre d’occuper une retraite que je vous souhaite bien méritée, qu’à cela ne tienne ! Mais cependant je vous remercie de me laisser me promener à loisir sur Agoravox et de venir lire et même intervenir sur certains commentaires même si l’article sus-concerné ne m’a pas déclenché la moindre étincelle d’intérêt.
PS : je vous conseille bien amicalement les revues de presse de l’émission télé-matin, un vrai régal quand le chroniqueur est amusant
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@ Concombre démasqué
"Je vous trouve bien critique à l’égard d’une femme que vous ne connaissez pas, et je sens derrière vos propos sur cette jeune femme une pointe de jalousie, que je peux néanmoins comprendre, mais que je résumerais ainsi : Pourquoi ne suis-je pas mieux né ? "
D’abord, de grâce, la thérapie, c’est vous qui venez la chercher chez moi ! Je ne viens pas sur votre fil, si toutefois vous en avez un aujourd’hui. Je ne suis pas sûr que j’y trouverais de l’intérêt, à lire vos commentaires. Et voyez, si votre fil existe aujourd’hui, moi, j’ai la correction de ne pas venir polluer la discussion légitime que vous pouvez avoir avec des lecteurs.
Mais enfin vous m’opposez un argument, même s’il est bien léger : "Je vous trouve bien critique à l’égard d’une femme que vous ne connaissez pas". Aussi vais-je y répondre.
1- Je ne critique pas une personne physique, mais un plan-média que la demoiselle a développé cette dernière quinzaine pour sa publicité. Point n’est besoin de connaître personnellement la demoiselle. Ce n’est pas le sujet ! Sans doute ne faites-vous pas la différence ! Moi, si ! Il y a chez vous certaines lacunes qu’à votre place je chercherais à combler.
2- Mlle Drucker a tenu à se présenter comme quelqu’un qui doit tout à son travail : voyez la légende de la photo. Je n’ai rien inventé. Et que ça soit dans "Psychologies" ou ailleurs, cela mérite attention !
3- Je me permets de montrer que des indices font douter de son message : famille, culture des plus modestes, apparence physique et narcissisme paraissent à des degrés divers avoir joué dans son recrutement ; son prétendu travail n’y est pas pour grand chose. Mais pas folle la guêpe ! On lui a appris quelques tours de passe-passe sur le champ de foire, c’est-à-dire des leurres : on lui a dit que le travail est le seul critère de légitimité en la matière. Aussi, comme d’autres, en use-t-elle mais la ficelle est un peu grosse !
4- Je vois surtout dans cette demoiselle un exemple de ces péronnelles au bagage léger qui envahissent les ondes depuis quelques temps et paraissent peu conscientes du rôle qu’on leur fait jouer, car leur narcissisme y trouve son compte.
Voyez l’article que j’ai consacré à cette autre journaliste de France Inter qui a pratiqué "la confusion intellectuelle" au sujet des explosifs trouvés au Printemps-Haussmann, sans le savoir sans doute, mais en étant sans doute pilotée comme il faut,
Sauf à interdire la critique argumentée, je ne vois pas où est le blasphème quand on critique un système médiatique qui ne peut que jeter le discrédit sur l’information diffusée. Nous sommes en démocratie, que je sache !
La qualité de l’information ne peut s’élever que si l’émetteur rencontre un récepteur exigeant. On ne raconte pas de bobards à qui est capable de s’en apercevoir et inversement ! Il est donc utile, pour aider - qui sait ? - à l’élévation à venir de la qualité de l’information, de dire que des péronnelles dans la fonction qui leur est assignée, ne sont pas crédibles. L’information est chose sérieuse. Paul Villach
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Qui écrit dans "Psychologie" ? Pour quel lectorat ?
Si je veux vraiment m’instruire je n’achète pas Psychologie, je m’intéresse à d’autres supports.
Les pommes ne tombent pas loin du pommier, Marie n’est pas loin de son oncle. La famille Drucker fait partie de la classe dominante peut-être pas au niveau de sa fortune mais sur le plan symbolique.
Il y a une chose contre laquelle il est facile d’agir quand on sait que pour exister , ils ont plus besoin de notre regard que nous du leur : fermer la télé.
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Le népotisme n’existe pas que pour les Drucker.
Mais si on était obligé d’en avoir toujours un dans le PAF, moi je la verrai avantageusement remplacer le tonton qui vieillit mal, malgré bien d’artifices...
Casse-toi vieux con !
Maintenant, est-elle encore en odeur de sainteté auprès du dieu Sarko, inventeur du commandement ci-dessus, avec les fréquentations douteuses qu’elle a : Quelle horreur, un Chiraquien !
Ou me trompe-je ?
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Paul Villach en couverture " d’Agoravox " : Un nouvel exemple de sagacité et de fulgurance, à l’en croire.
1 - Un cadeau de plus.
Vous nous gatez en ce début d’année !
Marie Drucker après Rachida !
Que nous réservez-vous encore comme immenses surprises ?
2 - Une intelligence acérée qui sait toujours rester modeste.
Quelle maestria dans cette critique des médias !
Quel juste choix dans vos cibles !
Quelle pertinence dans la dénonciation courageuse des leurres médiatiques qui nous sont proposés, auxquels nous ne voyons rien et que vous seul pouviez discerner !
Enfin, ajouter la dénonciation du népotisme à la longue liste de vos talents : Brillante idée, mais quelle témérité !
3 - Les laissés pour compte de la culture.
Je pense souvent à ces millions de pauvres gens, qui, ne lisant pas Agoravox et vos chroniques régulières, vivent lamentablement dans un monde truffé de leurres d’une importance capitale, qu’ils ne sauront pourtant jamais percevoir. Pauvre petit peuple qui n’y voit que du feu.
4 - 2009, La consécration ?
Vraiment Paul, mille mercis de nous faire profiter si régulièrement de votre puits de science et de l’immensité de vos savoirs !
Ne changez rien, Enchantez-nous encore.
2009 sera sûrement votre apothéose ! Une chronique dans Vergèze-Matin pour bientôt ?
Philippe_D-
@ Philippe D
Je vois que, vous aussi, vous ne pouvez pas vous passer de venir faire un tour, comme ces trolls du dessus... même pour y déposer ce que que vous déposez et qui, il faut l’avouer, n’a pas grand intérêt ! Petit curieux, va !
L’article ne vous intéresse pas, mais vous avez besoin de venir le dire puisque vous ne pouvez faire autre chose.
C’est votre heure de thérapie ?
Alors interrogez-vous ? Ne vous mentez-vous pas à vous même ? Qui sait si vous ne finissez pas par apprendre quelque chose, quoique vous vous en défendiez ?
Merci quand même d’être passé. À la prochaine ! Je compte sur vous ! Vos commentaires sont si utiles et nourrissent le débat avec tant intelligence. Paul Villach -
@ haddock
Toujours votre penchant pour le péché mignon du capitaine !
Vous venez vous aussi pour votre thérapie ? Il va falloir que j’ouvre un cabinet, pas celui où vous courez !
Paul Villach -
oui, ouvre un cabinet
avec ton grand sens de la lecture et du dialogue je te donne pas 1 semaine
avant qu’un patient t’empale sur le premier truc qu’il trouvera.
Incroyable d’avoir un esprit aussi creux, tordus si bouffi d’égo.
Ah si, peut être, qu’aprés 35 ans (greves comprises) de monologue, confotablement
assis au chaud face à une armée d’elèves contraint de la fermer parceque t’avais le "pouvoir" de les noter.
Heureusement que je t’ai pas eu, mais un de tes ex confréres n’a pas eu cette chance quand il a rencontré
maladroitement ma chaise qui lévitait soudainement lors d’une de ses envolées semblable aux tiennes.
Continue à la ramener et je vais me renseigner au rectorat à ton sujet
et vérifier ton preténdu glorieux parcours. Vu le profil, ça m’étonnerait pas d’en apprendre
de belles, et qui sait, de quoi faire une couverture, non ?
La charte du site implique aussi l’absence d’indications commerciales
alors lâche nous la grappe avec tes "ouvrages" aux éditions ceci cela
si t’as du mal à vendre tes bouquins va sur e-bay -
Castor 6 janvier 2009 18:43Bonsoir,
je n’avais déjà pas apprécié l’article sur R. Dati, plein d’une hargne suspecte et partant du postulat erroné que la photo avait été prise dans l’intimité pour donner l’illusion d’une photo volée ...
(à ce propos, vous aviez réclamé, Mr Villach, des arguments appuyant mon désaccord sur votre thèse, je vous les ai fournis et vous n’avez jamais daigné me répondre...)
Là, je découvre un autre pan de la haine que Mr Villach voue à celles et ceux qui font la une des magazines.
L’auteur, qualifiant tous ceux qui s’opposent à cet étalage obsessionnel de trolls sans cervelle, a beau jeu de réclamer des arguments...
Il n’y a rien à critiquer dans cet article tant il est creux.
Il n’y a rien à y redire tant ce qui y est écrit n’est que le reflet de l’opinion de son auteur, opinion dont je commence à croire qu’elle trouve son origine dans une malsaine jalousie.
Alors vous trouverez dans les commentaires ceux qui sont d’accord, et ceux qui ne le sont pas, chacun d’eux ayant raison puisque, finalement, il n’est jamais question que d’apprécier, ou non, Marie Drucker ou de croire, ou non, qu’elle doit son parcours à son pédigrée.
Le seul qui ait tort, finalement, c’est Villach, qui sort l’artillerie lourde de la mauvaise humeur, de la mauvaise foi, de la méchanceté gratuite et de la bassesse alors qu’il aurait simplement pu dire : "j’aime pô cette fille".
Du vent pour rien,
Une tribune de plus pour l’égo de l’auteur,
Le renouveau des Villach’People.
cordialement,
Castor-
@ Castor
Vous alors, vous êtes un récidiviste !
Vous venez aussi pour votre thérapie ! Eh bien allons-y !
Votre ignorance de la communication est si crasse (de "crassus, a, um" en latin qui veut dire épais !) que vous en êtes à croire que les photos des notables peuvent être à volonté diffusées sans leur accord.
Voyez donc les procédures présidentielles contre ceux qui ont utilisé des images sans accord préalable !
Mais vous avez un long parcours avant de comprendre ce qu’est "la relation d’information" !
Voilà ce sera tout pour aujourd’hui ! Dormez bien ! Paul Villach -
Cher docteur Villach, c’est pour une consultation, si vous avez le temps.
je vois des Drucker partout : Y’en a partout et à toutes les heures a la télé, y’en a dans les hopitaux, dans les avions... et voilà qu’ils se multiplient, maintenant.
Docteur c’est terrible, répondez-moi, je n’en dors plus : " Comment donc font les stars pour se reproduire en famille ? ".
Trop tard.
Aaaaaaarghhhh.......................... & Couic !
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Castor 6 janvier 2009 19:25Votre morgue n’a d’égale que la bêtise des prétendus arguments que vous mettez dans votre réponse.
Plan média ? et alors ????
Comme je vous l’indiquais sur votre autre article, chacun y trouve son lot, le canard qui espère un tirage conséquent, le sujet qui ne vit que par l’existence par et au travers des médias.
Vous avez découvert l’Amérique ???
Vous allez dénoncer toutes les Unes de France et de Navarre ?
Quant au renouvellement de votre argument sur les photos prises et leur diffusion, laissez moi vous dire que les clichés pris lors de manifestations publiques sont utilisés comme bon nous semble, spécialement lorsque celui qui en est la cible est un personnage ... public.
Regardez la Une de R Dati (puisque c’est de celà que vous parlez), vous verrez que le cliché a été pris au milieu d’une foule assise, vraisemblablement lors d’un meeting.
Dès lors, dire qu’il y a eu mise en scène d’une prétendue intimité est une supercherie dont vous vous êtes servi allègrement dans votre article pour dégueuler votre haine de celle qui en était l’objet.
Bonne nuit à vous aussi.
Pour l’anecdote, je ne suis pas en thérapie mais en sevrage de conneries agoravoxiennes.
Saluez votre égo de ma part. -
@ Castor
"Regardez la Une de R Dati (puisque c’est de celà que vous parlez), vous verrez que le cliché a été pris au milieu d’une foule assise, vraisemblablement lors d’un meeting."
Bravo pour votre don de voyance ! C’est un nouveau procédé, le "Castorama" ?
Regardez donc la photo de Mme Dati, prise en gros plan ! Rien ne vous permet d’affirmer que le contexte que vous retenez, soit fondé ! Aucun indice ne l’autorise !
Allez donc essayer de prendre une photo de Mme Dati (ou de n’importe quel notable) dans une scène aussi intime, vous verrez les gorilles vous demander d’aller voir ailleurs si l’intéressée n’a pas envie de se faire tirer le portrait !
Vous n’avez pas entendu le président Sarkozy, le 8 janvier 2008, au cours de sa conférence de presse, dire en substance aux malheureux journalistes accrédités : quand vous êtes à mes basques, c’est que je vous ai sifflés ; sinon vous ne pouvez pas m’approcher !
Vous avez encore du chemin à faire ! Dans l’attente, soyez moins présomptueux dans vos séances de voyance en Castorama ! Paul Villach
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Castor 6 janvier 2009 20:51L’avez-vous bien regardée, cette photo, Villach à la suffisance démesurée ?
Avez-vous noté la présence de personnes aux côtés de R. Dati, derrière elle ?
Pensez-vous vraiment qu’il s’agisse d’une photto prise dans l’intimité ?
Mais je comprends votre obstination...Sans ce postulat que vous avez pris, pas d’article à faire !!!
Allez, je quitte là, vous êtes décidément trop stupide. -
Castor 6 janvier 2009 20:53Quant à cet article présent, rien que le titre est une arnaque...
Vous trouverez autant de personnes qui vous diront qu’elle mérite son poste que de gens qui vous diront le contraire.
C’est de toute façon indémontrable, cette histoire.
Reste votre opinion, si insignifiante que vous seul avez pu croire qu’elle méritait un article. -
Ayant lu plusieurs billets concernant l’image et les médias, je remarque :
- que ces billets comprennent au moins une part objective
- que cette part ressemble à ce que j’ai pu lire/apprendre depuis longtemps avec des professionnels (j’ai commencé vers 1970 avec les livres La grammaire de l’image, Albert Plécy et The Hidden Persuaders, Vance Packard)
- qu’aucune observation, dans un sens ou dans l’autre, n’a été émise par quelqu’un qui est du métier de l’image ou de la presse, éventuellement de la publicité (si je me trompe c’est que j’ai mal lu ou pas tout lu)
- qu’en autres endroits, comme par exemple ici , moins courus, de pareilles analyses donnent lieu à des commentaires moins nombreux et plus en rapport avec l’image
- cela peut même concerner les logos (allez donc voir comment on présente le nouveau logo du CNRS qui a été très commenté parmi les amoureux de la typographie et des membres du CNRS)
Si tout ne correspond pas à mon avis, les livres, les revues, la télévision, internet... nécessitent une réflexion ou une analyse, au moins de temps en temps
Donc merci, non pour une connaissance de sachant à ignorant mais pour la "fourniture" de points de départ de réflexions.-
L’image est à la fois le fond et la forme. il y a donc intérêt de l’image et intérêt de l’image et ce sont deux choses distinctes. On peut rater une image qui sera chef d’oeuvre et en réussir une qui sera un pet dans l’eau.
Après il y a l’image dans son milieu et là c’est grave. Car intentionnel : L’artiste qui vous livre a conscience n’a plus le droit au chapitre après avoir offert son oeuvre au public... Il me fait me questionner et la tout va bien, il m’a eu c’est un bon. Il m’a fait douter donc avancer.
Mais en étudiant, en retouchant, en mettant en page, etc, pour finir par la présenter, l’image, en couverture d’un magazine de quai de gare, meriterait-t-on encore que l’oeuvre en question soit ne serait-ce qu’évoquée dans un forum citoyen ?
Docteur, vite ! une rechute ! -
@ Marignan 155
Je vous remercie de votre témoignage. Trop rares, en effet, sont les critiques des images et surtout avec une grille de lecture précise incluse dans une théorie de l’information.
C’est sûrement cette carence qui me vaut des éructations souvent injurieuses de certains commentateurs ! Paul Villach -
Petit complément accessible à tous :
trouvé il y a quelques minutes sur le web
http://www.yodawork.com/images/BORDAS-COLLEGES-LYCEES/da/pdf2003/729690/729690_chap22.pdf
Bordas en 2003 pour les écoles
je n’ai pas touvé les autres chapitres, c’est probablement un exemple de chpitre d’un manuel
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@ Marignan 155
Merci de cette documentation. Elle m’inspire toutefois les plus grandes réserves. Cette analyse de l’image s’inscrit dans la théorie erronée de l’information que diffuse l’École.
Voyez l’inscription de l’image dans "le discours argumentatif", puisqu’il est question de "l’image argumentative" !
Sachez que cette typologie des discours (narratif, descriptif, explicatif, argumentatif, informatif ) est d’un formalisme très dangereux.
Le but est de faire croire qu’il existe "un discours informatif " dont l’originalité par rapport à tous les autres est de ne pas influencer. C’est la théorie promotionnelle de l’information diffusée inlassablement par les médias.
Or, toute information influence ! On ne peut faire autrement, même quand elle reste secrète ! Que je parle ou que je garde le silence, j’influence ! Et l’argumentation pénètre d’une manière ou d’une autre tous les discours prétendument distincts répertoriés. Il n’existe donc pas de discours informatif tel que l’entendent l’École et les médias ! Tout discours est par nature informatif !
Toute image est donc informative, c’est-à-dire argumentative, c’est-à-dire vise à influencer par des arguments, je dirais plutôt des procédés d’expression (mise hors-contexte, métonymie, intericonicité, etc...) Sans boîte à outils, impossible de démonter le moteur ! !
La faute grave de l’école est de ne pas donner à ses élèves les moyens de reconnaître la fiabilité d’ une information. Son classement formaliste des discours ressemble à un classement des champignons que ferait un mycologue inconscient par formes de chapeau et de pied. Il est à craindre que cela ne suffise pas pour distinguer un champignon comestible d’un champignon vénéneux ! Bonjour les dégâts ! C’est ce qui arrive du reste aujourd’hui avec les campagnes d’influence, comme celle de Mlle Drucker ou de Mme Dati.
Rien n’est plus important que de distinguer une information fiable et une autre qui ne l’est pas. Voyez le brouillard où sombrent nombre de commentateurs, parce qu’ils n’ont jamais appris ça ! Ils ne comprennent pas l’analyse que je propose.
Je vous renvoie aux articles où j’ai analysé souvent une image sur les trois cents publiés sur AGORAVOX, ou si vous préférez à un récent ouvrage que j’ai publié, "Les médias, la manipulation des esprits, leurres et illusions". Paul Villach -
@Marignan
Ah, c’est pas de chance, même en abondant si peu que ce soit dans le sens de l’auteur, vous avez manqué votre coup et puisé une référence tout droit sortie de l’éducation nationale.
Or ça ne peut pas être l’EN qui a raison puisque c’est Paul Villach qui détient la vérité.
@P. Villach
Il faut bien dire, M. Villach, que c’est bien l’essentiel du message que vous faites passer, en pourfendant tout contradicteur dès qu’il n’abonde pas complètement dans votre sens.
Marie Drucker a un "plan média", dites-vous. Ma foi, c’est probalement vrai. C’est sans doute vrai pour Rachida Dati, ou pour Zidane, ou encore Claude Bébéar, chacun dans son domaine... Et alors ?
Moi-même, je me suis occupé un certain temps de communication pour des sportifs (eh oui, eux aussi), j’ai donc quelques petites connaissances sur le sujet. Les personnages publics veillent (souvent, pas systématiquement) à leur image publique. Ben oui. Quoi d’étonnant alors à ce qu’ils aient des plans comm’ ?
C’est surtout une simple question de bon sens : on n’est plus au temps où l’on disait "c’est forcément vrai puisque c’est écrit dans le journal". Tout le monde sait ça, alors on ne voit pas trop l’intérêt de disséquer minutieusement comme vous le faites les couvertures de magazines.
Ceci dit, c’est votre droit. Avec cette réserve que de la même façon que Marie Drucker s’expose à la critique (la vôtre en particulier) en posant pour une couverture, vous-même en développant ici ce que vous pensez de cette couverture, vous exposez à la critique. Il serait logique que puisque vous vous autorisez à critiquer Marie Drucker (ou son plan comm’), vous acceptiez d’être critiqué vous-même. (Notez que si vous n’admettez pas d’être critiqué, vous justifiez implicitement les plans comm des célébrités). Mais décidément, vous ne voulez entendre que des approbations élogieuses.
Comme beaucoup, je remarque que vos analyses sont plus que mordantes et franchement orientées dans un sens désobligeant. Vous n’aimez pas Marie Drucker, Rachida Dati, Nicolas Sarkozy ? C’est votre droit.
Mais vous accumulez les insinuations malveillantes et les parti-pris que vous argumentez dans vos analyses que vous voudriez faire croire objectives.
Vous n’aimez pas la Droite au pouvoir. Pourriez-vous alors faire une analyse similaire du plan comm’ de Martine Aubry ? Ou Besancenot ? ou Nicolas Dupont-Aignan, François Bayrou, Arlette Laguiller... bref celui pour qui vous avez de la sympathie.
Vous vous apercevrez que le plan comm’ est à peu près identique, mais que votre vocabulaire sera nettement adouci, curieux hein ?
Chiche ! Faites-en donc l’expérience, et faites-nous en profiter.
Mais de grâce, cesser de vous jeter sur les couvertures de presse des gens que vous n’aimez pas pour écrire ici tout le mal que vous en pensez.
Pas la peine de m’expliquer que je n’ai rien compris, qu’il est important de dénoncer, que l’information n’est pas innocente. Tout ça, je le sais déjà : j’ai pratiqué.
Ce dont il est question, c’est le mépris qui transpire de vos textes, quel qu’en soit le contenu analytique. C’est cela précisément qui commence à devenir fatigant.
Mais je pressens que cette remarque-là ne vous plaira pas plus que les autres
Cordialement
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@ Aldebaran
"Il serait logique que puisque vous vous autorisez à critiquer Marie Drucker (ou son plan comm’), vous acceptiez d’être critiqué vous-même. "
Mais j’accepte volontiers. J’attends des arguments et non éructations, des injures ou des attaques personnelles, !
Répondez-donc aux arguments vous-même qui vous targuez d’une expérience !
Mais pour l’instant, je n’en vois pas un qui pointe ! Je reconnais que ça fait mal quand on est le bec dans l’eau !
Reste que pour cette bande de trolls "au front de taureau", il faut qu’ils soient bien atteints pour éprouver le besoin de venir perdre leur temps sur un fil qui les met en boule ! Ils sont en mission ou quoi ? Qu’ils aillent donc ailleurs lire "Fripounet et Marisette" ! Paul Villach
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À Aldebaran
Pas de chance ! écrivez-vous. Mais si, mais si !
Je fournis un exemple qui permet de faire une analyse d’image. PV me signale que cet exemple fait partie d’une optique qui ne lui convient pas. M’étant intéressé à la rhétorique pendant un certain temps, y compris le pavé de Chaïm Perelman, je découvre une nouvelle classification mais je ne pense pas avoir été contredit.
Je le cite
- « Cette analyse de l’image s’inscrit dans la théorie erronée de l’information que diffuse l’École », donc pas d’objection au contenu même du document
- « cette typologie des discours (narratif, descriptif, explicatif, argumentatif, informatif ) est d’un formalisme très dangereux », c’est une mise en garde, je vais y réfléchir (l’électricité aussi est dangereuse)
Vous remarquerez que plus haut je prêchais pour le doute, cela s’applique à toute information, y compris à celle fournie par PV , et éventuellement j’en tiendrai compte. (je me cite : C’est le doute qui permet d’avancer. [...] Bien sûr, le doute ne doit pas empêcher de prendre des décisions, mais en son temps.)
Pour le doute sur internet, je vous suggère les mots Zététique, penombre.org, hoaxbuster.com entre autres, les sites comme AgoraVox.fr, maitre-eolas.fr avec des interventions souvent instructives (et cela répond aussi à PV lorsqu’il écrit Rien n’est plus important que de distinguer une information fiable et une autre qui ne l’est pas.)
Maintenant si vous pensez que me répondre avec des arguments qui expliquent un point de vue c’est affirmer avoir la vérité, libre à vous, pour moi ce n’est pas parole d’évangile.
Fin du fil pour moi et bonsoir.
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@ P. Villach
Vous n’y êtes pas du tout. Mais je m’y attendais
C’est bien du fond de votre texte que je vous parle, mais pas celui auquel vous vous accrochez.
Vous vous targuez d’une analyse objective de cette photo, son contenu, sa signification. Pourquoi pas. J’avoue que dans le monde de la somm’ je n’ai jamais pratiqué ni vu pratiquer de telles analyses, mais peu importe. Je veux bien croire qu’il est possible de trouver toutes ces significations pertinentes dans une photo de couverture.
Ce qui pose problème à pas mal de monde sur ce fil, c’est qu’à côté de cette analyse objective, et s’appuyant dessus, il y a une quantité d’appréciations dévalorisantes pour Marie Drucker, et surtout un ton général qui ne dissimule guère le mépris que vous portez à celle que vous qualifiez de pauvre enfant, de péronnelle, etc.
Sous prétexte d’analyse, vous multipliez les insinuations malveillantes, accusations de népotisme et d’incompétence, tout ça sans apporter le début d’un argument. D’où ma suggestion d’écrire un article similaire sur quelqu’un qui serait en photo de couverture d’un magazine, et qui aurait l’heur de vous plaire. Je vous ai fait quelques suggestions, en éliminant des personnages de droite, que vous semblez détester particullièrement, mais il y a sûrement encore plein de gens que vous aimez bien ?
Ne m’en veuillez pas de ne pas m’attarder davantage sur ce fil : je vais bosser ! -
@ Aldebaran
Serait-ce la leçon que vous a administrée Marignan 115 ? Vous en venez à présenter enfin des arguments.
1- "Vous vous targuez d’une analyse objective de cette photo, son contenu, sa signification. Pourquoi pas. J’avoue que dans le monde de la somm’ je n’ai jamais pratiqué ni vu pratiquer de telles analyses, mais peu importe. Je veux bien croire qu’il est possible de trouver toutes ces significations pertinentes dans une photo de couverture. "
Je comprends votre désarroi. Mon analyse de l’information s’oppose à la théorie promotionnelle de l’information diffusée par les médias et reprise par l’École. C’est celle que, je suppose, vous avez apprise, sans jamais la remettre en cause. Elle repose malheureusement sur des erreurs. Aussi, au lieu de rejeter d’emblée une analyse qui vous est si étrangère, seriez-vous bien inspiré de commencer par voir sans a priori si la théorie qui sous-tend mes analyses n’est pas fondée. Si vous l’aviez connu, la qualité de vos campagnes de publicité aurait pu en être relevée. N’oubliez pas que vous, vous vous situez du côté du chasseur qui cherche à atteindre sa cible et moi du côté du gibier : voilà la raison de votre effarement. Que le gibier ne partage pas la théorie du chasseur, est-ce si étonnant ? J’ai dû pour cela pendant trente ans désapprendre et réapprendre !
2- "Ce qui pose problème à pas mal de monde sur ce fil, c’est qu’à côté de cette analyse objective, et s’appuyant dessus, il y a une quantité d’appréciations dévalorisantes pour Marie Drucker, et surtout un ton général qui ne dissimule guère le mépris que vous portez à celle que vous qualifiez de pauvre enfant, de péronnelle, etc. Sous prétexte d’analyse, vous multipliez les insinuations malveillantes, accusations de népotisme et d’incompétence, tout ça sans apporter le début d’un argument. "
Vous avez raison : les observations que je fais me conduisent à un jugement péjoratif non seulement sur cette demoiselle, mais sur les autres qui ont été recrutées depuis quelques années derrière micros et caméras. J’ai analysé, par exemple, il y a peu, la présentation de l’affaire du Printemps Haussmann faite par le journal de 13h de France Inter. Je m’en explique.
- Mlle Drucker veut faire croire que le travail a été déterminant pour sa promotion. Voyez la légende (dans les deux sens du terme).
- Or, je souligne des indices où le travail n’a que peu de chose à voir avec la promotion : famille, formation initiale sommaire, apparence physique, narcissisme.
* Personne ne peut nier la possible interférence familiale, même si aucune preuve ne peut en être apportée. C’est le genre d’influence qui ne laisse jamais de traces sauf un résultat, toujours le même : voyez le népotisme assez répandu autour de vous. Tout le système français repose sur le réseau des relations : quand ce n’est pas la famille, c’est "l’écurie, la coterie ou le réseau idéologique", dixit François BAYROU pour le choix des inspecteurs pédagogiques de l’Éducation nationale dans "La décennie des mal-appris", Flammarion, 1993. Peut-on imaginer que Mlle Drucker n’ ait pas bénéficié du réseau familial ? Au minimum, ce réseau ne lui a pas nui. C’est bien le résultat auquel aboutit la dévaluation des diplômes. À diplôme dévalué égal que font valoir des candidats par centaines pour une même place, le réseau des relations fait la différence pour le recrutement !!!
* Justement, la formation initiale sommaire de Mlle Drucker, convenez-en, la met en concurrence avec une foule de candidats de même niveau. C’est bien le drame, encore une fois, quand l’École, renonçant à sa mission, dévalue ses diplômes. Il faut savoir ce qu’est le niveau d’un bac et même d’une licence pour deviner que la connaissance de "la relation d’information" du lauréat est quasiment nulle. Pourquoi ? Pour la raison susdite en n° 1, ci-dessus.
* Pour le narcissisme, lisez l’interview de Mlle Drucker. J’en cite un passage : elle livre elle-même le mode d’emploi du narcissisme dans son interview.
En conséquence, je me crois fondé à parler de "péronnelle" qu’on place derrière des caméras pour livrer la représentation de la réalité que sa chaîne entend donner. Il va de soi qu’ignorance et narcissisme aident beaucoup à faire ce genre de besogne où les leurres pullulent ! Mais ces péronnelles ne le savent même pas, c’est ce qui leur donne cette indécente arrogance qu’on retrouve dans la campagne d’influence que mène Mlle Drucker dans "Psychologies" : elle prend les gens pour des imbéciles. Elle a raison, puisque vous ne vous en rendez même pas compte !
Maintenant, vous n’êtes nullement obligé de me suivre. Vérifiez, mais de grâce, pas d’injure avant tout examen !
3- "D’où ma suggestion d’écrire un article similaire sur quelqu’un qui serait en photo de couverture d’un magazine, et qui aurait l’heur de vous plaire. Je vous ai fait quelques suggestions, en éliminant des personnages de droite, que vous semblez détester particullièrement, mais il y a sûrement encore plein de gens que vous aimez bien ?"
Mais j’ai déjà dit tous le bien que je pensais de certaines publicités : vous allez en trouver dans les quelques trois cents articles que j’ai publiés sur AGORAVOX. Paul Villach
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comme ça ,la beauté est un handicap ? être une femme brune également ....ou peut être une femme tout court ? et en plus ...... .de bonne famille ?.....carrément louche !......
et puis Drucker ,c’est comme Dati ,c’est pas tellement de chez nous ça ! ça sent sa carpe farcie ou son couscous !
et puis qu’est ce qu’elles ont du faire pour réussir ? hein ? c’est pas clair tout ça ! si ça se trouve ,ça s’est décidé sur le canapé !
j’ai retenu un passage ...
à force de parader et de débiter son boniment !!!!!!......
comme c’est drôle de tendre le bâton pour se faire battre quand ça s’applique à soi même sur Agoravox ,qu’on a été pendant 34 ans dans l’enseignement secondaire ,et que l’on traite les intervenants de haut ,parce qu’ils n’achètent pas de la presse de salle d’attente chez le dentiste ,vous savez,ces vieux trucs où les pages sont écornées ou même arrachées par des gamins turbulents ,et quand la mère excédée hurle à sa progéniture " touche pas ,c’est sale ! "-
Moi je ne vois que ça http://www.youtube.com/watch?v=nFWlR2NRRQQ&feature=related
et je ne vois rien à redire. La petite Drucker, c’est de la bombe
Allez Villach ! http://www.wat.tv/video/avoue-jamais-kgop_lcxs_.html-
oui, elle assure quand même bien sur les formes et sur le fond.
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Heureusement que Villach est né en 45 et pas en 14 sinon adieu la belle, zou dans le train
pour un stage de journalisme intensif en pologne..
Mais ce qui est surprenant dans cette énième pseudo analyse d’une couverture
de notre hervé villach de la plume c’est qu’il ait eu entre les mains un exemplaire de psycho magazine ?
Déja que sa précédente analyse de la couv de Dati dans VSD qu’il a du longuement étudiée
chez le coiffeur était non seulemnet pitoyable mais immorale de surcroit, il vient de monter
en grade, à moins qu’il soit cette fois ci dans la salle d’attente de son psy cherchant
quelque part à comprendre sa haine des couvertures, de ceux qui réussissent, lui qui n’a
de mérite qu’un vague diplome de lettres obtenue en 68 lors de la distribution générale.
Et puis bon tout le monde sait qu’à l’époque finir prof c’était soit un échec soit par vocation
et son dégout pour autrui et surtout ceux qui le critiquent me confirme sur l’idée que je retiens.
Bref, moi j’aime bien marie drucker et tant qu’à se faire ponponner la cervelle par les médias
autant que ce soit par une belle nana, et là franchement y’a plus moche que la Marie sur nos ondes.
J’apprécie à nouveau l’attaque à peine sournoise de Villach quant à la rareté des diplomes de la miss
qui souligne à nouveau sa haine des femmes (2 couvertures d’affilé, et chaque fois une femme), sa haine de ceux qui réussissent, et du haut de son estrade où il devait se sentir si puissant, il tente de nous
faire redescendre sur l’idée que quelqu’un sans diplome ne vaut forcément rien. Pas de bol camarade diplome intelligence et réussite n’ont rien à voir.
Là je m’adresse directement à l’homo simplus de Villach en lui disant qu’il digère peut être mal le fait
d’avoir "échoué" dans sa vie malgré ses si nombreux diplomes étalés dans son cv sans avoir accepté
l’idée qu’un diplome ne fait pas grand chose et que dans la vie, c’est la vie qui compte. Et oui mon gars, toute ta vie à gratter des papiers sur des auteurs dont tu n’as ni le talent ni l’éttoffe à part ton égo ca n’a rien fait gonfler, par contre là tu nous gonfle avec tes analyses de couv, cherche un vrai sujet, un truc qui touche vraiment les gens ; la vie, l’amour, l’espoir..toi qui te prétend président d’une assoc du droit au respect je te trouve franchement à la limite du délateur de base.
Ok sur l’idée que son nom a bien du joué dans son parcours, et puis quoi ?, chaque famille pistonne ses rejetons, c’est normal et pour ta gouverne y’a un dicton sicilien qui va plus loin en disant "qui paie ses impots vole sa famille", ca te devrait te faire réfléchir, encore que c’est avec nos impots qu’on paye ta retraite....
Et puisque t’es (je ne te vouvois plus ca te donnerait encore trop de plaisir) un ex prof, tu ferais mieux
de nous proposer un bel article sur l’éducation qui je te le rappelle concerne nos enfants, notre avenir...
ah mais oui, les enfants tu t’en fous, et l’avenir aussi puisque semble t-il il cessera avec toi.
Arrête avec tes couvs à la c... sinon je vais t’en préparer un beau d’article sur l’éducation nationale
L’homo sapiens sapiens.
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@ Homo sapiens
Longue est la route pour que vous parveniez au stade l’homo sapiens sapiens ! Paul Villach -
et oui toujours vos petites phrases et jamais rien sur le fond..
manque d’argument, manque d’idée, manque de pertinence et même d’humour..
La route est longue certes pour passer d’homo sapiens à homo sapiens sapiens,
en tout cas plus longue que de passer du banc d’élève au banc du prof, grassement payé
16 h par semaine à flatter son égo.
Arretez de pondre vos truc dans la salle d’attente de votre psy, ou bien la prochaine fois
prenez "parents magazine" qu’on rigole un peu.
Quand à votre pseudo travail sur la manip des médias on peut rarement tomber
plus bas dans le hors sujet total. Franchement durant mes études sur un sujet pareil
avec une reponse telle que la votre on ne vous aurait même pas noté.
Faut pas vous relacher comme ça.
Au fait la charte du site implique l’absence de commentaires sexistes pensez y pour
votre prochaine analyse de couv, trouvez nous une bonne vielle couv avec jean paul sartre -
C’est marrant, elle a un petit coté pervers dans le regard.
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" Quel est donc ce travail acharné qui fait s’asseoir si vite dans le fauteuil d’une présentatrice de journal télévisé ? Est-ce affaire de travail ou d’apparence physique ?"
Elle est bien bonne celle la. Mais vous n’avez doncrien compris ou bien vous faite l’idiot. Elle appartient à la diaspora, c’est tout. C’est le sezame aujourd’hui. En dehors de ça, point de salut.-
@ Paul Villach
Ce qui me gêne, c’est que vous tapiez très en dessous de la ceinture pour le coup.
En quoi le fait d’avoir un bagage culturel mince (que vous dites) devrait forcément lui barrer l’accès à sa profession ? Si elle était nulle, ça se saurait. Jugez là donc par rapport à ses pairs et pas autrement.
L’école n’est pas le seul lieu d’apprentissage que je sache et vous devriez savoir que certains s’épanouissent bcp mieux loin d’elle.
Beaucoup d’autodidactes grandissent et réussissent sans passer par les études supérieures, créant des entreprises, plus souvent que vos chères têtes diplômées, plus promptes à pantoufler dans les grandes entreprises ou l’administration.
Ceux qui ont ces parcours hors école devraient d’ailleurs être plus souvent au rendez vous de la réussite si la culture du diplôme ne s’ingéniait pas tant à leur barrer la route.
Vous semblez reprocher donc à Marie Drucker de devoir à son père d’avoir ouvert cette route que vous lui auriez interdite probablement. Tant mieux pour elle, j’aimerais que d’autres aient plus souvent cette chance.
Moi ce que je retiens avant tout, c’est qu’elle fait très correctement son job, aussi bien sinon mieux que ses collègues sortis pourtant des hautes école de journalisme et de communication.
Sortez donc un peu de vos repères étriqués et confits et apprenez à ne pas juger les gens à partir de vos propres présupposés.-
Paul, il y a une chose que je trouve amusante dans l’interview de Miss D :le journaliste évoque sa nullité à l’école et elle parvient à retourner la situation en insinuant qu’au contraire elle était une surdouée (s’ennuyer à l’école, sauter des classes etc...). Au passage je note qu’elle n’hésitait pas à tricher pour parvenir à ses fins.
Le fait que, pour elle, "travailler énormément" c’est se regarder et ses re-regarder, je compatis, c’est un travail très éprouvant : je l’ai vue il y a quelques jours présenter un JT et je l’ai trouvée ennuyeuse.
Mais il semblerait que ce soit une qualité essentielle pour ce job.
Rares sont les vraies personnalités comme Bruno Masure il y a quelques années. Il y a Pujadas et Delahousse actuellement. Mais tous les autres ne sont que des machines à débiter des textes en bégayant plus ou moins. Je ne comprends pas qu’on les porte aux nues...-
@ Pourquoi ?
Vous avez-vu cet essaim de trolls qui s’est déchaîné, comme des drogués qu’on priverait de leur "cam’ elotte " !
Il est singulier de les voir s’abattre ainsi sur un article dont ils soutiennent qu’il ne les intéresse pas.
Mais par leur seule conduite, les malheureux, ils montrent le contraire ! Paul Villach -
Monsieur Villach,
Est-ce si surprenant de trouver Marie dans Psychologies-Magazine après la couverture de Paris-Match ? Walpole, un peu ingénument, rappelle que ces deux grands magazines - qui font honneur à la France de Little Nikos - sont aux mains manucurées du Frère Lagardère.
Walpole-
Paul,
Toute la famille de Drucker, et cela se comprend à la lecture du bouquin de Michel, a été construite pour faire de « bons citoyens » travailleurs et qui réussissent à la force du poignet, du travail ou de l’intelligence. Michel Drucker était l’exception et a été rejeté par son père. « Éloge du travail » très probablement en opposition actuellement avec l’arnaque reconnue de la productivité. Vieille idéologie qui se reflète tout de même dans la filiation. Le patronat aime ce genre de personnalité.
« Appartenir à une famille qui s’est faite un nom dans le milieu de la télévision » ?
Là, je dis nom, c’es un accident de parcours.« Pudique, elle » ? Pourquoi l’être ? Au contraire, c’est une marque de fabrique que l’on voudrait présenter et qui prouve que cela réussit.
« Narcissique » ? Probable aussi. Histoire de famille qu’il faut prendre dans sa globalité. J’ai fait un article sur l’oncle Michel, à l’occasion de son passage chez ous, si cela intéresse en URL.
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@ L’enfoiré
Je souscris volontiers à vos remarques, cher Enfoiré. Mais avez-vous vu le déchaînement de la bande de trolls qui vient perdre son temps sur un article qui, disent-ils, ne les intéressent pas ? On ne saurait mieux prouver son intérêt par la dénégation !
Mon analyse, vous l’avez compris, ne porte pas sur une famille, mais sur une campagne d’influence faite par l’un de ses membres, assez représentatif du petit monde de péronnelles qui peuplent les ondes. Et pour cause ! Paul Villach -
Cher Paul,
J’ai bien compris le sens de l’article. Le trolleybus, je connais depuis un certain temps sur AV, en temps que routier de la modération de la « belle époque ».
C’est vrai que les ondes passent souvent des « ondines » pour attirer les regards « obliques des passants honnêtes ».
Les télés publiques sont encore moins touchées que TF1 dans le domaine, quand on se rappelle de la sortie de PPDA.
Nous sommes à une époque de jeunisme et ce n’est pas les télés italiennes et berlusconiennes qui démentiraient. Là cela devient une maladie chronique.
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puisqu’il est question d’image télévisuelle ,et également de présentatrices ...
quels seraient vos propres critères Monsieur Villach ?,pour obtenir grâce à vos yeux .......
plutôt une petite grosse mal foutue mais surdiplômée ,et de gauche bien entendu ,capable de tenir la dragée haute à toutes les sommités lors de débats ,qu’il s’agisse aussi bien de littérature ,de politique ,ou de faits de société ?
et qui ne passerait pas dans la presse People ,soit parce qu’elle ne se commettrait pas à se livrer à des marchands de feuilles de choux ,soit par timidité ,et par crainte d’offrir la fixité d’un physique ingrat !
on dit de ces personnes qu’elle ont la beauté intérieure ,quelle foutage de gueule ! allez dire ça à une mocheté ," t’as la beauté intérieure " elle vous balance son sac à main en pleine tronche !
désolé ,la télé ,c’est avant tout une image ,que l’on soigne ,comme vous soignez vous même votre image en nous produisant une photo avantageuse de vous même d’il y a 10 ou 15 ans ......
et bien ,la télé a toujours voulù introduire dans les foyers l’image d’une femme jeune ,jolie ,mais pas provocatrice ,bien faite dans sa tête également ,parce que l’agrément physique est un plus ,comme dans beaucoup de professions exposées au public ,on recherche des personnes d’un commerce agréable ....
après ,bien entendu ,à chacun de juger si le ramage vaut le plumage .....mais c’est là une interprétation subjective ,c’est selon ce que chacun ressent .....
il vous reste à écrire aux chaînes télé pour demander plutôt une petite boulote ,mais cultivée ,avec des diplômes ,et capable d’éclipser et de faire oublier sa laideur par sa pertinence ,et de gauche ,ça va de soi !...
il y aurait bien Martine Aubry ,mais elle n’est pas libre en ce moment !-
@ Maxim
Je vois que je vous ai perturbé. C’est bon signe.
1- "désolé ,la télé ,c’est avant tout une image ,que l’on soigne ,comme vous soignez vous même votre image en nous produisant une photo avantageuse de vous même d’il y a 10 ou 15 ans ......"
Voyez comme vous m’appliquez vos critères ! Vous faites du datage à la dendrochronologie ?
La différence tout de même est que je ne viens pas la goule enfarinée pour vous dire que je dois ma place au travail ! Voilà le "foutage de gueule dont vous parlez, de la part d’une péronnelle !
2- "et bien ,la télé a toujours voulù introduire dans les foyers l’image d’une femme jeune ,jolie ,mais pas provocatrice ,bien faite dans sa tête également ,parce que l’agrément physique est un plus ,comme dans beaucoup de professions exposées au public ,on recherche des personnes d’un commerce agréable ..."
Voyez comme vous projetez vos fantasmes ! La tête bien fête que vous projetez, est démentie par l’interview que j’ai anaysée !.
Vous êtes sur le bon chemin ! Continuez ! Peut-être demain allez-vous trouver dans mon prochain article de quoi compléter votre formation ! Paul Villach
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Cher Monsieur Villach,
Vous aviez écrit sur Rachida Dati
"Ce serait très drôle si Mme Dati n’occupait pas une fonction remplie avec la dignité que l’on sait, par Edmond Michelet, René Capitant et Robert Badinter."
Walpole attend toujours votre réponse à sa Question :
"Le Silence de Badinter couvrant les agissements et les positions aveugles d’un Ex-President épinglé à la Francisque n’a t-il pas plus deshonoré la fonction ministérielle que le Silence de Madame Dati sur le "géniteur" ou le futur père de son enfant ?"
Autrement Walpole est plutôt d’accord avec vous sur la famille Drucker...
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@ Walpole
Pardonnez cette omission.
Mais ne jouons pas à échanger les insuffisances des uns et des autres. Je vous avoue franchement ne pas connaître exactement quelle a été la réaction de Robert Badinter en apprenant au début des années 90 le passé de F. Mitterrand.
Il reste que R. Badinter, R. Capitant (dont vous pourriez aussi douter de l’attitude dans l’affaire qui a tenté de salir G.Pompidou et son épouse) et Edmonf Michelet sont d’une tout autre envergure. Paul Villach -
Merci de votre réponse.
Voilà celle de Badinter : des maux d’estomac, la tête baissée et pas un mot sur les amitiés plus que suspectes de son Ami.
Pour le reste, là encore, d’accord avec vous : Rachida Dati n’a pas la carrure mais en attendant, légitimée par l’élection et l’appui de Little Nikos, elle aggrave et multiplie les injustices. Et nous n’en sommes qu’au début : l’élimination du juge d’instruction va entrainer l’enterrement avant éclosion des Affaires des Copains-coquins du Président. -
C’est curieux, ces temps çi on veut nous imposer un certain type de femme pas tellement française type. Marie Drucker, c’est un peu comme Cecilia Attia, Carlita Sarkozy, Scott-Thomas, Julienne Bertaux, Tonya Kinzinger, Lydie Melki et bien d’autres. A quand de belle femmes comme Carole Bouquet ? Ca c’est une belle femme.
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J’ai vu la couverture papier du périodique. (deux formats)
il n’y a pas « Le travail me protège des doutes, » mais « Le travail me protège de mes doutes, » !
Comme quoi les légendes :
- il faut les lire
- elles changent
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@ Marignan 155
Sur la couverture exposée par le site que j’ai reproduite, je ne crois pas me tromper, c’est bien "Le travail me protège des doutes".
Mais cela ne change pas grand chose Paul Villach -
bonsoir
c’est bien ce que j’avais lu aussi, alors dans le doute, j’ai vérifié l’image que vous proposiez ce qui m’a amené à terminer par "elles changent", d’ailleurs le site propose toujours la version DES doutes
Cela ne change pas grand-chose à votre billet mais « ... » est une convention typographique indiquant une citation mot à mot. Les deux phrases auraient-elles été prononcées ? Pour quelqu’un qui voudrait faire un billet sur le doute, cela change beaucoup. Dans le premier cas on pourrait lire qu’elle n’en a pas, dans le second qu’elle en a mais qu’ils n’ont pas d’effet. Inquiétant de la part d’un journal qui parle de psychologie.
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